Once again CSI Calgary is sending a strong contingent to the upcoming SPort INnovation (SPIN) Summit, hosted every year by Own the Podium (OTP) in a different Canadian city, this year in Montreal.
The SPIN Summit is Canada's leading-edge symposium for professional development and networking in the areas of applied sport science, sports medicine, and innovation. This annual conference combines experts from around the globe to build knowledge and tools, for future Olympic and Paralympic sport success through technological and scientific research.
The energetic, cutting edge conference will include one full day of applied workshops at the Institut National du Sport du Québec, providing hands-on performance enhancement opportunities in their facility. Building off these workshops, the second day will be dedicated to plenary sessions, alongside a variety of poster displays, culminating into the Dr. Gord Sleivert Young Investigator Awards.
Dr. Erik Groves, Research and Innovation Lead at CSI Calgary, says that the conference provides an opportunity for Canada’s best and brightest to collectively advance the sport science that supports Canada’s top athletes. “SPIN brings together Canadian experts who all work in amateur sport across the country,” says Groves. “It’s a chance to network, share, learn and foster relationships within the sport community.”
CSI Calgary is well represented at this year’s conference, with the presentation of findings from numerous, ongoing research projects. CSI Calgary staff will present findings in the areas of concussion, ACL reconstruction and return to sport protocols in alpine skiing, among others.
Nathaniel Morris, a graduate student at the University of Calgary and research intern at CSI Calgary, is short-listed as one of the finalists for the Dr. Gord Sleivert Young Investigator’s Awards. The awards are presented each year to the top three graduate students whose research addresses an athlete performance gap relevant to high performance sport.
Morris’ research is focused on recovery from ACL reconstruction surgery, specifically looking at the size of the hamstring muscle (which is used to reconstruct the ACL of the injured knee) post-surgery, relative to the healthy leg. The goal is to understand the impact that the size of this muscle has on the recovery period, and to provide a more objective measurement of the recovery process.
Groves, and colleague Graeme Challis, Exercise Specialist at CSI Calgary, are presenting their research on the communication of complex training and monitoring information to coaches. “It’s a pretty complicated environment,” explains Groves. “We’re looking at how to simplify the communication of this information without ignoring its inherent complexity.”
Andrew Smit, a graduate student and CSI Calgary research intern, will be presenting his research focused on the differences in physiological determinants of successful and unsuccessful athletes in long track speed skating. The goal of Smit’s research is to help Speed Skating Canada develop a better understanding of the athlete development pathway by using more objective steps in identifying what factors lead to success.
All of these projects represent CSI Calgary’s ongoing efforts to improve athlete performance through applied research and innovation. The 13th annual SPIN Summit will be held October 31st to November 2nd, 2018 in Montreal, Quebec.
Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by: Dave Holland @csicalgaryphoto
1/11/18
Nelson Mandela a dit : « L’éducation est l’outil le plus puissant que vous pouvez utiliser pour changer le monde ». L’éducation combinée aux qualités développées dans le sport de haute performance donne sans aucun doute une grande capacité à atteindre le succès dans la vie, et même de changer le monde.
Un partenariat de huit ans entre le Comité olympique canadien et la Smith School of Business de l’Université Queen’s a été conclu en 2015 pour faciliter l’obtention d’une éducation de calibre mondial.
Le programme est offert par l’intermédiaire de Plan de match (propulsé par Deloitte), le programme canadien de mieux-être total des athlètes permettant aux athlètes admissibles (athlètes olympiques, paralympiques et des équipes nationales) de demander des bourses pour suivre divers programmes à la Smith School of Business, y compris une maîtrise en administration des affaires. Plusieurs athlètes de l’ICS de Calgary ont obtenu des bourses d’études complètes pour la Smith School of Business grâce à ce programme, dont Nathaniel Miller (water polo) et Jessica Zelinka (athlétisme).
Elspeth Murray, professeure adjointe et doyenne associée pour les programmes de maîtrise en administration des affaires de la Smith School of Business, affirme que ce partenariat donne une excellente occasion au Comité olympique canadien et à la Smith School of Business d’ajouter de la valeur à leur organisation.
« Le comité olympique canadien et la Smith School of Business ont en commun une culture de haute performance », explique-t-elle. « Chaque partenaire a un approche unique et très efficace et partage ses pratiques gagnantes lors d’ateliers et de réseautage. »
La patineuse de vitesse sur longue piste Lauren McGuire est en transition après avoir passé sa vie dans le domaine du sport de haute performance et figure parmi les athlètes de l’ICS Calgary ayant récemment reçu une bourse d’études pour la Smith School of Business grâce au programme Plan de match, tout comme le sauteur à skis Eric Mitchell qui a gagné une bourse d’études pour le programme accéléré de maîtrise en administration des affaires.
Après deux années de frustration passées à supporter une hernie discale dans son dos, Lauren a réalisé qu’elle devait explorer les options qui s’offraient à elle en dehors du sport. Elle a entendu parler des bourses d’études de Plan de match à l’ICS Calgary et elle a été intriguée.
Lauren, titulaire d’un baccalauréat en sciences biologiques et en italien de l’Université de Calgary, commencera le programme d’un an de maîtrise en administration des affaires en janvier.
Même si elle n’avait jamais vraiment envisagé de faire une maîtrise en administration des affaires (elle voulait aller en médecine ou en médecine dentaire), une expérience de travail en tant que mentor de l’équipe nationale pour filles âgées de 8 à 15 ans participant à des sports d’hiver au sein du programme « Girls Only Athletic Leadership » de WinSport l’a amenée à réaliser qu’elle adorait le mentorat et aider les autres à atteindre leur plein potentiel.
« C’était très engageant d’aider ces filles à persévérer dans le sport, qu’elles soient athlétiques ou non », affirme-t-elle. Elle mentionne également que cette expérience l’a poussée à modifier ses plans. « J’ai compris que je ne me sentirais pas aussi engagée en faisant des chirurgies dans la bouche des gens », plaisante-t-elle.
Elle estime que son engagement à tirer profiter au maximum des ateliers sur les compétences de vie offerts aux athlètes de l’ICS Calgary (comme apprendre à parler au public et l’autopromotion) lui a permis de développer des compétences nécessaires pour le programme de maîtrise en administration des affaires de la Smith School of Business. « Un petit investissement de temps au fil des années m’a permis de bâtir un bon curriculum vitæ, » dit-elle. « Ils cherchaient des gens ayant mes compétences et tout s’est passé très vite ».
Elle affirme que les athlètes de haut niveau possèdent plusieurs des caractéristiques que la Smith School of Business recherche chez ses élèves. « Ils ont des compétences en leadership, sont déterminés, savent collaborer et sont persévérants, » dit-elle. « Nous savons aussi que ces athlètes seront réceptifs à notre approche d’apprentissage en équipe. Ils savent comment contribuer à une équipe de haut niveau et seront un atout dans tous nos programmes. »
Lauren s’intéresse surtout au domaine du développement organisationnel et à l’amélioration des environnements de travail d’équipe dans les entreprises et au sein des ressources humaines. Elle affirme être impatiente de travailler avec des étudiants qui partagent ses idées au sein du programme de maîtrise en administration des affaires. « Je suis heureuse et reconnaissante d’avoir l’occasion de passer d’une super équipe à une autre, » dit-elle.
Dans le cadre du partenariat stratégique de huit ans, jusqu’à 1 200 athlètes de Plan de match sont admissibles à une bourse d’études dans 11 programmes différents. Au cours des deux ans écoulés depuis l’annonce du partenariat, 11 athlètes canadiens ont joint les rangs des diplômés de la Smith School of Business. De plus, 49 athlètes sont actuellement inscrits dans des programmes de maîtrise.
Les bourses d’études couvrent tous les frais des programmes à temps plein de Queen’s de maîtrise en administration des affaires, de maîtrise en administration des affaires accéléré, de la MBA pour cadres, de la MBA pour cadres américains, de la maîtrise en entrepreneuriat et en innovation, de la maîtrise en finances à Toronto, de la maîtrise en gestion de l’intelligence artificielle, du diplôme universitaire supérieur en affaires, du certificat en affaires et de la formation pour cadres.
Les demandes peuvent être envoyées à Plan de match à l’adresse https://www.mygameplan.ca/resources/education . *Les demandeurs ne recevront pas tous une bourse.
Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: Dave Holland @csicalgaryphoto
11/10/18
Maillon héritage
Kyle Shewfelt : Le seul et unique
Après avoir longuement marché dans le centre-ville de Calgary en un après-midi de lʼautomne 2012, Kyle Shewfelt a réfléchi à une grande question : « Quʼest ce que je fais? »
Le champion olympique en gymnastique de 2004 venait tout juste de conclure une entrevue avec une équipe de recrutement. Depuis sa retraite, il voguait d’une aventure à l’autre, dans des domaines comme l’immobilier, le mentorat, et l’enseignement du yoga. L’entrevue devait mener à un emploi dans une grande entreprise, avec sécurité et permanence. Mais dès son départ, il savait que quelque chose clochait.
« Au cours de cette longue marche, j’ai dû me demander ce que j’étais en train de faire, » se souvient Shewfelt. « Après Beijing, j’ai passé quatre ans à passer d’un emploi à un autre. Je nʼavais pas d’objectif central. Jʼétais perdu et je nʼavais aucune responsabilité. » Trouver un endroit où se poser semblait être la bonne chose à faire.
Toutefois, une idée née il y a plusieurs années continuait de faire son chemin dans sa tête. Tout au long de sa carrière, Shewfelt a admiré de nombreux gymnastes américains exceptionnels, dont certains ont ouvert leur propre gymnase. « Je me sentais inspiré par ces champions olympiques qui ont aussi créé un héritage après leurs carrières, » dit-il. Lui aussi aimait l’idée d’un jour ouvrir son propre gymnase.
Il est allé jusquʼà dévoiler son projet à son amie de longue date Krystal Boychuk lors d’une fête, alors qu’ils étaient dans la mi-vingtaine. Il s’est tourné vers moi et m’a dit : « Je vais ouvrir un gymnase un jour, et tu vas devenir ma directrice, » se souvient Boychuk avec un éclat de rire. À ce moment, elle a accepté avec enthousiasme, sans se douter qu’un jour, l’entente serait officialisée.
Shewfelt nʼen était pas certain non plus, et il a souvent douté sérieusement de sa capacité à faire le saut dans le monde de l’entrepreneuriat. « Je voulais ouvrir un gym, mais je nʼavais pas le courage, » avoue-t-il. « Je ne savais pas tout ce que ça impliquait. »
En fin de compte, sa vision s’est forgée autour des souvenirs récurrents de sa jeunesse, alors qu’il aspirait à devenir un athlète olympique, et qu’il s’entraînait quatre heures chaque après-midi, avant de revenir à la maison pour manger et faire ses devoirs. Il était extraordinairement méticuleux et consciencieux au gymnase et à l’école, mais une fois par mois, lorsque son magazine de gymnastique arrivait, il lâchait tout pour le dévorer d’une couverture à l’autre.
Ce souvenir a rappelé à Shewfelt à quel point il aimait la gymnastique. « Je ne faisais pas semblant, » s’exclame-t-il. « Le sport mʼa apporté tellement de joie, et quand je m’y suis finalement reconnecté, tout est devenu très clair. »
À la fin de sa longue marche, Shewfelt, maintenant âgé de 36 ans, a pris la grande décision qui allait tracer son destin : il allait ouvrir son propre gym. « Je ne suis pas un gars d’entreprise, » explique-t-il. « Je voulais être mon propre patron. Jʼétais prêt à affronter mes peurs, et je voyais mon avenir dans ce gymnase. »
Avec sa vision en tête, il a appelé Boychuk, qui, à ce moment, élevait ses deux jeunes enfants à la maison. En quelques minutes, ils ont conclu une entente, et à partir de ce moment, Shewfelt s’est lancé à temps plein dans la réalisation d’un plan d’affaires, en travaillant seize heures par jour pour en faire une réalité.
Après avoir trouvé lʼemplacement idéal au printemps 2013, les choses sont devenues sérieuses. Shewfelt a trouvé du financement, et a suivi plusieurs cours d’entrepreneuriat à l’Université Mount Royal. Ces expériences, dit-il, lui ont finalement donné la confiance pour devenir un entrepreneur.
« Jʼai connu du succès dans le sport parce que j’étais prêt à travailler plus fort que tout le monde, à tout donner », dit-il. « Je suis pareil en affaires. »
Moins dʼun an après cette décision cruciale, Shewfelt a ouvert son gymnase dans le sud de Calgary, le Kyle Shewfelt Gymnastics. Il se distingue des autres centres par sa vocation purement récréative, une priorité pour Shewfelt. « J’ai déjà suivi le parcours compétitif, et je n’en voulais plus dans ma vie », dit-il. « Jʼai tâté le marché, et je savais quʼil y avait déjà de nombreux gymnases axés sur la compétition à Calgary. »
Shewfelt dirige les athlètes qui présentent un potentiel compétitif vers d’autres gymnases et demeure ancré dans son approche originale. « En ouvrant son gym, Kyle a créé un espace pour tous, peu importe l’âge et le degré d’habileté », affirme Boychuk, la directrice du programme. « Cʼest son héritage. »
Bien sûr, l’héritage de Shewfelt dans le monde de la gymnastique est largement reconnu et admiré. Il est le seul médaillé olympique canadien dans l’histoire de ce sport, grâce à sa médaille dʼor lors de l’exercice au sol en 2004. Son exploit héroïque, soit de revenir à la compétition après s’être cassé les deux jambes onze mois avant les Jeux de Beijing en 2008, a consolidé davantage sa position comme lʼun des meilleurs et des plus courageux athlètes canadiens de tous les temps.
Mais maintenant, cʼest son héritage en tant que bâtisseur de communauté, d’entrepreneur, de mentor, de bénévole, de mari et de père qui motive Shewfelt chaque matin.
Il sait pertinemment que ses succès dans le sport et dans la vie s’appuient sur les mêmes fondements : un puits profond de motivation intrinsèque et une extraordinaire minutie. Malgré tout, ce qui est peut-être le plus remarquable à propos de Shewfelt, c’est son énergie sans bornes, son enthousiasme et son optimisme qui le suivent dans tous les aspects de sa vie.
« Il est sérieux et a la bosse des affaires », remarque Boychuk. « Mais il est aussi très amusant! Parfois, au beau milieu de la journée, il monte le volume au max dans le bureau et nous dansons tous ensemble. » C’est ce qui fait qu’il est « le seul et unique ».
Shewfelt affirme quʼil est toujours à la poursuite de la meilleure version possible de lui-même, et il reconnaît qu’il y est presque. « Jʼai reconnecté avec mon but », dit-il joyeusement. « Je sens que je fais exactement ce à quoi j’étais destiné. »
Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
20/09/18
Legacy Link
After walking forty long blocks through downtown Calgary one afternoon in the fall of 2012, Kyle Shewfelt pondered a big question: ‘What am I doing?’
The 2004 Olympic gymnastics champion had just finished an interview with an executive search team, after years of dabbling in various post-retirement ventures like real estate, life coaching and teaching yoga. The interview was supposed to lead to a corporate job, one with security and predictability. But as soon as he left he knew something about the idea wasn’t right.
“During that walk I had to ask myself what I was doing,” recalls Shewfelt. “For four years after Beijing I was just floating, going from thing to thing. I didn’t have a focal point. I was lost and had no accountability.” Finding a place to land seemed like the right thing to do.
Still, an idea he’d had years earlier lingered in the back of his mind. Throughout his career Shewfelt admired many of the great American gymnasts, several of whom had opened their own gyms. “I looked up to these guys who had won Olympic gold and also created a legacy after their careers,” he says. He was inspired to one day open his own gym too.
He went so far as to declare the idea to long-time friend Krystal Boychuk at a house party when they were in their early twenties. “He turned to me and said, ‘I’m going to open a gym one day and you’re going to be my director,’” recalls Boychuk with a laugh. At the time she agreed wholeheartedly, not knowing that one day the deal would come to fruition.
Shewfelt wasn’t sure it would either and there were times when he seriously doubted his capacity to take the leap into entrepreneurship. “I wanted to open a gym, but I didn’t have the courage,” he confesses. “I didn’t know what it would take.”
Ultimately, his vision galvanized around a recurring memory from his days as a young, aspiring Olympian, training four hours every afternoon then coming home to eat and do his homework. He was extraordinarily meticulous and conscientious in his training and schoolwork, but once a month his gymnastics magazine subscription would arrive and at that moment, he dropped everything until he read it cover to cover.
That memory reminded Shewfelt of how much he loved gymnastics. “That wasn’t fake,” he exclaims. “The sport brought me so much joy and when I finally reconnected with that everything became very clear.”
By the end of his long walk Shewfelt, now 36, made the bold decision that would chart his life’s course – he was going to open his own gym. “I’m not a corporate guy,” he explains. “I needed to be my own boss. I was willing to push past the fear and I could see my future as that gym.”
With the vision in his mind he called Boychuk, who at the time was home raising her two young children. Within minutes they had a deal and from that point on Shewfelt dove full tilt into crafting a business plan, working sixteen hours a day to make it a reality.
After finding the perfect location in the spring of 2013, things got serious. Shewfelt secured funding and audited a number of entrepreneurship classes at Mount Royal University. Those experiences, he says, finally gave him the confidence to become an entrepreneur.
“I was successful in sport because I was willing to work harder than anyone, to do whatever it takes,” he says. “I’m the same in business.”
Less than a year after that fateful decision, Shewfelt opened his gym in south Calgary, Kyle Shewfelt Gymnastics. It differs from other centres because the focus is purely recreational, something Shewfelt knew he wanted from the outset. “I did the competitive thing, I didn’t want that in my life,” he says. “I looked at the market and knew there were so many great competitive gyms in Calgary.”
Instead, Shewfelt sends those with competitive potential to other gyms and stays rooted in his grassroots approach to the sport. “By opening the gym, Kyle has created a space for everyone, all ages and abilities,” declares Boychuk, the gym’s Program Director. “That’s his legacy.”
Of course, Shewfelt’s legacy in gymnastics is widely known and admired. He’s the only Canadian Olympic medalist in the sport with a gold in the men’s floor exercise in 2004 and his heroic feat of coming back from breaking both his legs just eleven months prior to the 2008 Games in Beijing further cemented his position as one of Canada’s greatest, and grittiest, athletes of all time.
But now it’s his legacy as a community builder, entrepreneur, mentor, volunteer, husband and father that gets Shewfelt out of bed every morning.
He is keenly aware that what made him successful in sport is the same as what drives him in life today: a deep well of intrinsic motivation and an extraordinary degree of conscientiousness. What is perhaps most remarkable about Shewfelt though, is his boundless energy, enthusiasm and optimism that bubble over into every aspect of his life.
“He’s serious and very business savvy,” remarks Boychuk. “But he’s also a lot of fun! Sometimes he will just crank up the tunes in the office when we’re working and we’ll have a big dance party right in the middle of the day.” Adding, “He’s one a of kind.”
Shewfelt says he is perpetually chasing the best version of himself and has a keen self-awareness that guides his quest, recognizing he’s just about there. “I’ve reconnected with my purpose,” he says joyfully. “I feel that I’m doing exactly what I was meant to do.”
Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
20/09/18
Nelson Mandela said, “Education is the most powerful weapon which you can use to change the world.” Combine education with the qualities gained in high-performance sport and the result is no doubt a profound capacity to achieve great success in life, and even change the world.
Facilitating the acquisition of a world-class education is an eight-year partnership established in 2015 between the Canadian Olympic Committee (COC) and the Smith School of Business at Queen’s University.
The program is offered through Game Plan, powered by Deloitte, Canada’s total athlete wellness program, where eligible athletes (Olympians, Paralympians and National Team Athletes) can apply for scholarships to pursue a number of programs at Smith, including an MBA. Several CSI Calgary athletes have earned full ride scholarships at Smith through the program, like Nathaniel Miller (water polo) and Jessica Zelinka (athletics).
Elspeth Murray, Associate Professor and Associate Dean of MBA and Masters Programs at the Smith School of Business, says the partnership provides a great opportunity for the COC and Smith to add value to each other’s organizations.
“Both the COC and Smith share a high-performance coaching culture,” she explains. “Each partner brings a unique and highly successful approach to coaching to the partnership, sharing best practices through workshops and networking.”
Long Track speed skater Lauren McGuire is transitioning out of a lifetime in high-performance sport and is one of the latest CSI Calgary athletes to be awarded a scholarship at the Smith School of Business via the Game Plan program, along with ski jumper Eric Mitchell, who won a scholarship to the Accelerated MBA program.
After two frustrating years of dealing with a herniated disc in her back, McGuire realized she needed to explore her options outside of sport. She learned about the Game Plan scholarships at Smith through CSI Calgary and her curiosity was piqued.
McGuire, who has an undergraduate degree in Biological Sciences and Italian from the University of Calgary, will begin the one-year MBA program in January.
Although she had never really considered pursuing an MBA – she initially wanted to pursue either medicine or dentistry – it was an experience working as a national team mentor for girls aged 8-15 in winter sport through the Girls Only Athletic Leadership program at WinSport that made her realize she was passionate about mentorship and helping others achieve their potential.
“It was super empowering to help these girls pursue sport, whether they were athletic or not,” affirms McGuire. She says the experience changed the direction she wanted to take. “I realized I wasn’t going to get this feeling doing surgery in people’s mouths,” she laughs.
McGuire credits her commitment to taking full advantage of the life skills workshops available to CSI Calgary athletes (like public speaking and self-marketing) with building her skillset with skills that programs like the MBA at Smith are looking for. “A small investment of time over the years accumulated to a very strong resumé,” says McGuire. “They were looking for people with my skills and everything lined up.”
Murray says that high-level athletes possess many of the characteristics that Smith looks for in students. “They have skills in leadership, determination, collaboration, resilience,” she says. “We also know that these athletes will thrive in our team-based approach to learning. They “get” how to contribute to a high-performance team and have and will continue to be an asset to all our programs.”
McGuire is most interested in the field of organizational development and enhancing team environments in business and human resources. She says is looking forward to working with like-minded students in the MBA program. “I’m thrilled and grateful to have the opportunity to step from one great team to another great team,” she says.
As part of the eight-year strategic partnership, up to 1,200 Game Plan athletes are eligible for scholarships across 11 different programs. In the two years since the partnership was announced, 11 Canadian athletes have joined the Smith alumni family. Another 49 are currently enrolled in graduate programs.
Scholarships cover all program fees associated with the full-time Queen’s MBA program, Accelerated MBA, Executive MBA, Executive MBA Americas, Master of Management Innovation & Entrepreneurship, Master of Finance – Toronto, Master of International Business, Master of Management Analytics, Master of Management in Artificial Intelligence, Graduate Diploma in Business, Certificate in Business and Executive Education offerings.
Applications can be made through Game Plan, https://www.mygameplan.ca/resources/education. * Not all applicants receive a scholarship
Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by: Dave Holland @csicalgaryphoto
11/10/18
Une fois de plus, l’ICS Calgary envoi de nombreux représentants au prochain Sommet du Sport et de l’Innovation (SPIN), qui est organisé tous les ans par À nous le podium (ANP) dans une ville canadienne différente. Il se déroulera à Montréal cette année.
Le Sommet SPIN est le symposium canadien d’avant-garde de perfectionnement et de réseautage des professionnels dans les sphères des sciences appliquées du sport, de la médecine du sport et de l’innovation. Ce congrès annuel rassemble des experts internationaux pour renforcer les connaissances et créer des outils en vue de favoriser la réussite dans le domaine des sports olympiques et paralympiques grâce à des recherches technologiques et scientifiques.
Ce congrès dynamique à la fine pointe de la technologie comprendra une journée complète d’ateliers pratiques qui offriront des occasions concrètes d’améliorer la performance dans les installations de l’Institut national du sport du Québec. Tirant parti de ces ateliers, la deuxième journée sera consacrée à des séances plénières agrémentées d’une série d’expositions d’affiches et se conclura par la remise des prix « Les Jeunes Chercheurs Dr Gord Sleivert ».
Pour M. Erik Groves, Ph. D., directeur de la Recherche et de l’Innovation de l’ICS Calgary, ce congrès offre une occasion aux plus grands experts du Canada de se réunir pour faire progresser les sciences du sport qui soutiennent les meilleurs athlètes canadiens. « Le Sommet SPIN rassemble des experts canadiens qui travaillent tous dans un sport amateur au pays, affirme M. Groves. Il s’agit d’une occasion de réseauter, de partager, d’apprendre et d’entretenir des relations au sein de la communauté sportive. »
L’ICS Calgary est bien représenté au congrès de cette année, avec la présentation des résultats de nombreux projets de recherche en cours. Le personnel de l’ICS Calgary présentera des résultats pour différents domaines de recherche, notamment les commotions, la reconstruction du ligament croisé antérieur et les protocoles de retour au sport en ski alpin.
Nathaniel Morris, étudiant diplômé de l’Université de Calgary et stagiaire en recherche à l’ICS Calgary, a été présélectionné parmi les finalistes des prix « Les Jeunes Chercheurs Dr Gord Sleivert ». Ces prix sont remis chaque année aux trois meilleurs étudiants diplômés dont les recherches abordent des écarts de performance chez les athlètes qui sont pertinents pour les sports de haut niveau.
Les recherches de M. Morris sont axées sur la récupération après une chirurgie de reconstruction du ligament croisé antérieur. Il évalue plus précisément la taille du muscle ischiojambier (qui est utilisé pour reconstruire le ligament croisé antérieur du genou blessé) après la chirurgie par rapport à celui de la jambe non opérée. L’objectif est de comprendre les répercussions de la taille de ce muscle sur la période de récupération et de fournir une mesure plus objective du processus de récupération.
M. Groves et son collègue Graeme Challis, spécialiste en exercices de l’ICS Calgary, présenteront leurs recherches sur la communication de données complexes d’entraînement et de suivi aux entraîneurs. « Il s’agit d’un environnement plutôt complexe, explique M. Groves. Nous cherchons des moyens de simplifier la communication de ces données sans toutefois ignorer leur complexité inhérente. »
Andrew Smit, étudiant diplômé et stagiaire en recherche à l’ICS Calgary, présentera ses recherches axées sur les différences entre les éléments physiologiques déterminants chez les athlètes couronnés ou non de succès en patinage de vitesse sur longue piste. L’objectif des recherches de M. Smit est d’aider l’équipe Patinage de vitesse Canada à acquérir une meilleure compréhension du parcours de perfectionnement des athlètes grâce à des étapes plus objectives servant à déterminer les facteurs qui mènent au succès.
Tous ces projets représentent les efforts continus de l’ICS Calgary pour améliorer les performances des athlètes au moyen de recherches et d’innovations appliquées. Le 13e Sommet SPIN annuel se tiendra du 31 octobre au 2 novembre 2018 à Montréal.
Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: Dave Holland @csicalgaryphoto
1/11/18