A Growth Mindset for Para Sport
For some athletes, moving beyond sport can be completing their education and finding a job. For others, the transition may evolve into a full-blown apocalyptic, existential crisis. Leaving competitive sport behind is a tough pill to swallow.
During the weeks and months following an Olympic Games, many athletes fall into a post-Olympic malaise characterized by a letdown after the intense build up to what is often the biggest event of their careers. Regardless of whether one returns home as a newly-minted Olympic medallist or a disappointed competitor, unease about the future emerges.
This post-Olympic period can be fraught with changes at an organizational level, in coaching staff and in program structure. This, combined with an athlete’s inner search for clarity and the desire to continue competing, can make for a tumultuous period.
In anticipation of this phase, the 2016 Game Plan Summit was held this past last weekend to explore each of the five Game Plan elements: career, education, health, network, and skill development. Game Plan is a collaboration between the Canadian Olympic Committee (COC), Canadian Paralympic Committee (CPC), Canadian Olympic and Paralympic Sport Institute Network (COPSIN), Deloitte and Sport Canada. This second event of its kind, brought together the Game Plan partners and national team athletes at the recently completed Deloitte University, a learning campus at the Deloitte building in downtown Toronto.
The Summit presented opportunities for athletes to network with alumni and industry leaders, reconnect with athletes, attend skill development workshops, and leave with concrete tools and experiences. The theme of the event was ‘Breakthrough’ and the goal was to provide athletes with access to knowledge and resources to perform at their best in and out of sport.
Jessica Zelinka, a two-time Olympian in heptathlon and CSI Calgary athlete, fell just short of her goal of competing in Rio. With lingering feelings of disappointment and love of sport, she’s not quite ready to walk away yet. While she works through what comes next in her life, she continues to train and has taken on two jobs.
In addition to the sessions and workshops at the summit focusing on the practical aspects of transition, what Zelinka appreciated deeply about the experience was the ability to connect with other athletes. “It was a really good opportunity to see everyone and hear their stories, to know that I’m not alone and that there is a lot of support out there.”
This sentiment was echoed by 2016 Olympic Champion in wrestling and CSI Calgary athlete, Erica Wiebe. While Wiebe’s schedule is currently overflowing with appearances and public speaking, leaving little time to address future plans, she welcomed the chance to connect with her fellow athletes.
“I’m so inspired by my peers,” she says. “We are all doing the same thing but we all have a unique story. It’s amazing to learn about how everyone handles the challenges in their lives.”
Cara Button, Director of Stakeholder Relations at the CSI Calgary, was a presenter at the summit. She observed was that the event provided a new connection for many athletes. “It exposed the athletes to the Game Plan program and the wealth of resources available to them as they develop their plans for the future,” she says.
The challenge of transition is not unique to athletes. One of the recurring messages at the summit was the idea that transition happens to everyone throughout their lives and the necessity of embracing it is infinite and universal. For some athletes, difficulty arises in being frank and honest about how they are truly feeling.
“The summit helped open up the conversation I was afraid to have with myself, to learn about the options and resources that are available to me,” says Zelinka. “I know there are some other things I could love but I don’t know what those are yet.”
The Game Plan program is having impact developing mentally stronger athletes who apply what they have learned as leaders in the sport to the betterment of themselves and their communities.
Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
09/11/16
18 Novembre
Trente-huit participants ont démontré qu’ils étaient #PARAFORTS lors de la toute première édition de l’événement Paralympiens recherchés, organisé par le Comité paralympique canadien (CPC) et l’Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary) le 14 novembre dernier. L’événement donnait aux personnes vivant avec un handicap physique ou une déficience visuelle l’occasion de faire montre de leurs potentiels athlétiques dans un centre de haut niveau, avec l’espoir de devenir de futurs paralympiens.
Les représentants de Basketball en fauteuil roulant Canada, Canada alpin, Ski de fond Canada, Cyclisme Canada et Hockey Canada ont été ébahis par la détermination des athlètes soumis à une série de tests par le personnel de l’ICS Calgary. Ces tests comprenaient des évaluations anthropométriques, des sprints à pied ou en fauteuil roulant, des sauts en hauteur, des lancers de ballon médicinal, des mesures de force de préhension et d’endurance au moyen d’un ergomètre à bras et d’un vélo ergométrique.
Jason Poole, directeur des services à la performance à l’ICS Calgary, est d’avis que l’événement est historique pour le sport paralympique. « L’ICS Calgary est très heureux de collaborer avec le CPC pour dépister des athlètes potentiels et les initier au sport de compétition. Paralympiens recherchés est une merveilleuse initiative qui réunit plusieurs partenaires différents, dont le CPC, les organismes nationaux de sport et le Réseau ISOP. »
L’athlète ambassadeur Matt Hallat, trois fois paralympien, a galvanisé les athlètes d’un jour avec un vibrant discours d’ouverture. Il a été épaté par le nombre de gens prêts à mesurer leurs aptitudes athlétiques : « Le nombre de participants est incroyable. Paralympiens recherchés est un événement fabuleux parce qu’il permet à des gens de partout au pays de faire du sport et les incite à être actifs en tout temps. » D’actuels paralympiens, comme le cycliste Brayden McDougall qui a participé aux Jeux paralympiques en 2008 et 2012, étaient aussi présents pour se prêter à la série de tests.
Catherine Gosselin-Després, directrice générale du sport pour le CPC, a également été impressionnée par le nombre de candidats et leur désir de pratiquer des sports. « La prochaine étape est de transmettre les résultats des tests aux organismes nationaux de sport », a-t-elle précisé. « Selon les résultats et le profil des athlètes, les organismes pourront ensuite les inviter à prendre part à un programme d’entraînement de haut niveau ou leur fournir d’autres options de participation dans les sports. Chaque participant recevra une réponse de notre part et la possibilité de poursuivre son parcours sportif. »
Des journées de dépistage du programme Paralympiens recherchés auront bientôt lieu à Toronto, Montréal et Vancouver. Le CPC espère aussi s’arrêter ailleurs au pays au cours de l’année à venir. Ne ratez pas la chance de prouver que vous êtes l’un des #PARAFORTS. Visitez le site paralympique.ca/paralympiens-recherches pour vous inscrire en vue des prochains événements et savoir quand le CPC sera dans votre région.
Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto
La préparation de Lowell Taylor pour l’événement Paralympiens recherchés de 2015 à Calgary n’a vraiment pas été idéale. Il venait de passer une semaine à Disneyland avec sa famille et s’était réveillé à 4 h afin de faire le voyage vers la maison, puis d’aller directement à l’événement, où il est arrivé en retard et fatigué.
Mais la participation de Lowell était grandement attendue et, tout au long des tests, il pouvait voir les yeux ronds des gens autour de lui, alors que ses résultats ne faisaient que s’améliorer. Le paracycliste a facilement atteint les normes de performance et s’est éventuellement qualifié pour le programme de paracyclisme Prochaine génération, ce qui lui a ouvert les yeux sur la possibilité de participer aux Jeux paralympiques de Tokyo en 2020.
Le retard et la fatigue n’étaient que de minuscules obstacles par rapport à ceux que Lowell a surmontés au cours de ses 36 ans. Il est né avec la rétinite pigmentaire, un trouble de la vision héréditaire causant une perte graduelle de la vision (il est maintenant aveugle au sens de la loi), et, à l’âge de trois ans, il s’est fait renverser par une voiture, ce qui lui a causé des problèmes intestinaux à long terme.
« J’étais l’enfant gros, aveugle, solitaire et puant », blague Taylor. C’est drôle à dire, mais à un jeune âge, la vérité blesse. Il était intimidé et malheureux. À ce moment là, ses handicaps l’empêchaient de faire du sport et il se sentait perdu tout au long de sa jeunesse et au début de sa vie d’adulte.
Après avoir obtenu son diplôme universitaire, il a eu ce qu’il dit être une crise du quart de vie. « On m’a retiré mon permis, ma petite amie et moi nous sommes séparés et mes plans de carrière étaient un vrai gâchis », se souvient-il. Quand il est retourné vivre chez ses parents, il a touché le fond.
Heureusement pour Lowell, le seul endroit où il pouvait aller après avoir touché le fond, c’était vers le haut, et, à l’automne 2004, il s’est fait une promesse simple : il n’écouterait la télévision que s’il était assis sur un vélo. Il a écouté beaucoup de télévision et cet objectif simple a tout changé.
Au printemps suivant, il a commencé à courir et à participer à des triathlons pour personnes non handicapées et il a connu quelques succès précoces. Puis, il a retrouvé sa petite amie, Julie, et ils se sont mariés en 2007. Il est également retourné aux études afin de devenir psychologue et lui et Julie ont fondé une famille. Même s’il lui a fallu un peu de temps pour reprendre sa vie en main, il en est ressorti avec une attitude positive dynamique qui alimente tout ce qu’il fait.
Avec une nouvelle carrière et une jeune famille, le temps que Lowell pouvait consacrer au vélo a diminué. Mais une fois qu’il a remis sa vie sur pied, il a ressenti le besoin de retourner sur son vélo.
Sa vision s’était détériorée au point où il avait besoin d’un pilote. C’est à ce moment qu’il a découvert le sport paralympique et, à partir de ce moment, il n’y avait plus de limite. « Le sport a conquis mon cœur », dit-il. « Il m’a donné une direction. »
Après une série d’événements, des résultats impressionnants et prometteurs ainsi que du réseautage avec des entraîneurs dans le système du sport paralympique, cette direction l’a mené à l’événement Paralympiens recherchés, un événement d’identification des athlètes conçus pour tester la capacité à exceller des participants dans divers sports paralympiques et à possiblement gagner des médailles dans les prochains Jeux paralympiques.
Lors de l’événement d’une journée, chaque participant est soumis à une série de tests anthropométriques, physiologiques et facultatifs propres au sport par les entraîneurs de l’équipe nationale et d’autres experts en science du sport et en médecine du sport. L’événement est ouvert à tous les athlètes de 14 ans et plus ayant un handicap physique ou visuel.
L’objectif global de ce processus de recherche est de faciliter le dépistage et le transfert de l’athlète. Le transfert aide à trouver les athlètes d’un sport qui pourrait exceller dans d’autres sports et le dépistage sert à augmenter le nombre d’athlètes dans le système à tous les niveaux de performance.
Après que Lowell a ébloui la foule en 2015, il a finalement pris un congé sans solde de son emploi, ouvert son cabinet privé, s’est lancé en affaires avec sa femme, Julie, et s’est entraîné à temps plein pour le cyclisme et a même fait un saut à l’émission « The Amazing Race » avec Julie. C’est une vie occupée pour un jeune père et un mari, mais Lowell dit qu’il ne voudrait pas qu’il en soit autrement.
Il dit beaucoup de bien du processus Paralympiens recherchés et il reconnaît que l’événement lui a offert une occasion dont il ignorait l’existence il y a peu de temps.
« Je suis vraiment content d’être allé [à Paralympiens recherchés]. Cela m’a ouvert des portes », dit-il. Et il reconnaît que son handicap, même s’il représente un défi incroyable, est devenu une manière pour lui d’atteindre un nouveau but. « Ma vue n’est pas très bonne », dit Lowell. « Mais maintenant, j’ai une vision. »
Paralympiens recherchés à Calgary aura lieu à WinSport le 24 novembre, en partenariat avec le Comité paralympique canadien et l’ICS Calgary.
Pour plus d’information ou pour vous inscrire, visitez http://paralympique.ca/paralympiens-recherches
Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
18/10/18
Lowell Taylor’s preparation for the 2015 Paralympian Search event in Calgary was less than ideal. He had just spent a week in Disneyland with his family and woken up at 4am to travel home and directly to the event, where he arrived late and tired.
But Taylor’s participation was highly anticipated and throughout the testing, he could see some eyeballs pop around him as his scores ticked steadily upwards. The para-cyclist handily met the performance standards and eventually qualified for the Next Gen para-cycling program, which opened his eyes to the possibility of competing at the Paralympics in Tokyo in 2020.
Being late and tired were tiny obstacles compared to what Taylor has overcome in his 36 years. He was born with Retinitis Pigmentosis, a genetic eye disorder that causes a gradual loss of vision (he is now legally blind) and at age three he was run over by a car, which resulted in long-term bowel issues.
“I was the fat, blind, lonely, stinky kid,” jokes Taylor. It’s funny to say, but the truth, at a young age, hurt. He was bullied and unhappy. At the time, his disabilities prevented him from participating in sport and he felt lost throughout his youth and early adulthood.
After graduating from university, he had what he says was a quarter-life crisis. “My license was taken away, my girlfriend and I broke up, and my career plans were a mess,” he recalls. When he moved back in with his parents he hit rock bottom.
Thankfully for Taylor, the only place to go from rock bottom was up, and in the fall of 2004, he made a simple commitment to himself – he would only watch TV if he was sitting on a bike. He watched a lot of TV, and that simple goal changed everything.
The following spring Taylor started running and racing in able-bodied triathlons and enjoyed some early success. Then he reunited with his girlfriend, Julie, and they married in 2007. He also went back to school to become a psychologist and he and Julie started a family. Even though it took some time for Taylor to turn his life around, he emerged with a vibrant, positive attitude that now fuels everything he does.
With a new career and a young family, Taylor’s time for riding faded. But when everything was back on track he felt the itch to get back on his bike.
Taylor’s vision had deteriorated to the point where he needed a pilot. That is when he discovered parasport, and from then on, the sky was the limit. “Sport captured my heart,” he says. “It gave me a channel.”
After a series of events, some impressive and promising results, and connecting with coaches in the parasport system, that channel eventually led to Paralympian Search, an athlete identification event designed to test participant aptitudes to excel in various Paralympic sports and potentially represent Canada at future Paralympic Games.
At the one-day event, each participant goes through a set of basic anthropometric, physiological and optional sport-specific tests conducted by national team coaches and other sport science and sport medicine experts. The event is open to all athletes ages 14 and up with a physical or visual disability.
The overarching goal of the search process is to facilitate both athlete transfer and identification. Transfer helps to find athletes in one sport that may excel in other sports and identification serves to increase the number of athletes in the system at all levels of performance.
When Taylor wowed the crowd in 2015, it set him on course to eventually take a leave of absence from his job, open his own private practice, start a business with his wife Julie and train full-time for cycling, and even a stint on The Amazing Race with Julie. It’s a busy life for a young father and husband, but Taylor says he wouldn’t have it any other way.
Taylor speaks highly of the Paralympian Search process and credits it with providing him with an opportunity that, just a short time ago, he didn’t even know existed.
“I’m so glad that I went [to Paralympian Search]. Doors opened up for me,” he says. And he recognizes that his disability has become a way for him to fulfill a new purpose. “I don’t have a lot of sight,” says Taylor. “But now I have a vision.”
Paralympian Search in Calgary will be held in partnership between CSI Calgary and the Canadian Paralympic Committee at WinSport on November 24.
For more information or to register, please visit Paralympic.ca/paralympiansearch.
Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
24/10/18
November 18, 2015
Thirty-eight participants were #PARATOUGH at the first ever Paralympian Search held by the Canadian Paralympic Committee (CPC) and the Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary) on November 14. The event offered individuals with a physical disability or visual impairment the opportunity to test their athletic potential in a high performance environment with the hope of becoming a future Paralympian.
Representatives from Wheelchair Basketball, Alpine Canada, Cross Country Canada, Cycling Canada, and Hockey Canada were inspired by the athletes’ determination as they were put through a series of tests by staff from the CSI Calgary. Tests included anthropometric measurements, wheelchair or running sprints, vertical jumps, medicine ball tosses, grip strength, and endurance using an arm ergometer or velotron bike.
Jason Poole, Director of Performance Services at the CSI Calgary, declared the event to be an exceptional day for Paralympic sport. He emphasized, “The CSI Calgary is happy to collaborate with the CPC to identify potential athletes and to show them a path into sport. The Paralympian Search is a great initiative with many different partners including the CPC, the National Sport Organizations (NSOs), and the COPSI Network.”
Athlete Ambassador Matt Hallat, a three-time Paralympian, fuelled the athletes’ determination by kicking off the event with a rousing speech. He was impressed by the number of people who bravely tested their athletic skills, saying, “It’s amazing how many people showed up. Paralympian Search is great because people across the country can get into sports and be active for life.” Also present were current athletes such as cyclist Brayden McDougall, a 2008 and 2012 Paralympian, who was able to challenged himself in the testing environment.
Catherine Gosselin-Després, Executive Director of Sport for the CPC, was also impressed with the number of attendees and their desire to participate in sport. “The next step is to provide the test results to the NSOs,” she said. “They will make the decision to either invite the athletes into a high performance program or provide them with other options for participation based on the profile identified throughout the testing phase. Everyone who attended will be contacted and will be getting a response from us and an opportunity to continue in sport.”
The Paralympian Search plans to continue on to Toronto, Montreal, and Vancouver. CPC is also hopeful that they will be able to add more venues in the coming year. Don’t miss the chance to see if you are #PARATOUGH. Visit paralympic.ca/paralympian-search to register for future events and find out when the CPC is in a city near you.
Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @BSchussler
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
Pour certains athlètes, la vie après le sport peut signifier terminer leurs études et trouver un emploi. Pour d’autres, la transition peut devenir une crise existentielle aux proportions colossales. Abandonner le sport de compétition est une dure pilule à avaler.
Lors des semaines et des mois suivant les Jeux olympiques, beaucoup d’athlètes ressentent un malaise post-olympique caractérisé par une déprime après l’anticipation intense de ce qui s’avère souvent la compétition la plus importante de leur carrière. Peu importe si l’athlète revient nouvellement médaillé olympique ou déçu de ses performances, un doute quant à son avenir s’installe.
Cette période post-olympique peut être ponctuée de changements dans l’organisation, le personnel d’entraîneurs et la structure du programme. Tous ces facteurs, combinés avec la quête identitaire et le désir de poursuivre la compétition d’un athlète peuvent rendre cette période très chaotique.
À l’approche de cette étape, le Sommet Plan de match 2016 la fin de semaine dernière avait pour but d’explorer les cinq composantes de Plan de match : carrière, éducation, santé, réseau et perfectionnement des compétences. Plan de match est un programme collaboratif du Comité olympique canadien (COC), du Comité paralympique canadien (CPC), du Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (RISOP), Deloitte et de Sport Canada. L’événement, deuxième du genre, a rassemblé les partenaires de Plan de match et les athlètes des équipes nationales dans la toute nouvelle Université Deloitte, un campus d’apprentissage dans l’immeuble Deloitte, au centre-ville de Toronto.
Le Sommet donnait la chance aux athlètes de réseauter avec d’anciens athlètes et des dirigeants d’entreprise, de revoir d’autres athlètes, d’assister à des ateliers de perfectionnement et de repartir avec des outils et des expériences concrètes. Le thème de l’événement était « Percée », et l’objectif était de donner accès à des connaissances et à des ressources aux athlètes pour qu’ils offrent leur meilleur rendement, tant dans le sport que dans la vie.
Jessica Zelinka, double olympienne en heptathlon et athlète de l’ICS Calgary, a tout juste raté son objectif de participer aux Jeux de Rio. Malgré sa déception, son amour du sport persiste et elle n’est pas prête à jeter l’éponge. Alors qu’elle prépare son avenir, elle poursuit l’entraînement et a accepté deux emplois.
En plus des séances et des ateliers du Sommet ciblant les aspects pratiques de la transition, Jessica a vraiment aimé pouvoir tisser des liens avec d’autres athlètes. « C’était vraiment une belle occasion de voir tout le monde et d’entendre leurs histoires, de savoir que je ne suis pas seule et qu’il y a beaucoup de soutien offert. »
Erica Wiebe, championne olympique de 2016 en lutte et athlète de l’ICS Calgary, partage ce sentiment. Bien que l’horaire d’Erica déborde d’apparitions publiques et de conférences, lui laissant peu de temps pour planifier son avenir, elle a saisi l’occasion de rencontrer les autres athlètes.
« Mes pairs m’inspirent tellement, a-t-elle déclaré. Nous faisons tous la même chose, mais nous avons chacun notre propre histoire. C’est génial de découvrir comment tout le monde gère les défis dans sa vie. »
Cara Button, directrice des relations avec les intervenants à l’ICS Calgary, était conférencière lors du Sommet. Elle a remarqué que l’événement a permis à de nombreux athlètes de découvrir une ressource. « On a présenté aux athlètes le programme Plan de match et la richesse des ressources qui leur sont offertes alors qu’ils préparent leur avenir », a-t-elle souligné.
Les défis associés aux transitions ne touchent pas que les athlètes. L’un des messages récurrents du Sommet était que la transition touche tout le monde à un moment ou à un autre et que le besoin de s’y adapter est perpétuel et universel. Pour certains athlètes, faire preuve d’honnêteté face à leurs véritables émotions est difficile.
« Le Sommet a facilité le début du questionnement intérieur que je redoutais et m’a permis de découvrir les options et ressources qui me sont offertes, a souligné Jessica. Je sais qu’il existe d’autres choses que je pourrais aimer, mais je ne sais pas encore quoi. »
Le programme Plan de match permet de rehausser la force mentale des athlètes qui appliquent ensuite à titre de leaders les connaissances qu’ils ont acquises afin de s’améliorer et d’améliorer leur communauté.
Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
09/11/16
A needle in a haystack meets a diamond in the rough – so hopes the innovative RBC Training Ground campaign that is currently gaining momentum across the country. Now in its second year, the unique athlete recruitment program is searching far and wide for Canada’s next great Olympian. Who will it be?
The search is on at 25 local qualifying events and five regional finals throughout Canada. The program is open to athletes aged 14-25, targeting both young athletes that are talented in their sport as well as older athletes with untapped potential to transfer to a new sport. Sports like bobsleigh, rowing and athletics are filled with explosive athletes who come to these sports later in life – and RBC Training Ground knows there are hidden stars waiting to be found.
Athletes are evaluated on their speed, power, strength and endurance through several different tests. They are also aiming to achieve performance benchmarks set by National Sport Organizations (NSOs) scouting for talented athletes with Olympic medal potential.
RBC has partnered with the Canadian Olympic Committee (COC), the Canadian Olympic Foundation (COF), CBC Sports and the Canadian Olympic Paralympic Sport Institute Network (COPSIN) to run the program.
In Alberta, CSI Calgary has been engaged to plan the local qualifiers at five Alberta Sport Development Centres (ASDC) and the regional finals at CSI Calgary. Miranda Sallis, Manager of Performance Services at CSI Calgary, is responsible for planning and managing the events and is also sending CSI Calgary physiology staff to help evaluate the athletes. “It’s a truly collaborative effort that requires a lot of coordination between the partners,” she says.
Wendy Moar, ASDC NW Coordinator in Grande Prairie, is thrilled to host a local qualifier. “We are very excited to host the event and be a part of it,” says Moar. “It’s a huge role that our centre can fill – a big part of our purpose and mandate is specializing in providing sport science services that help athletes get to the next level and the RBC Training Ground Program aligns very well with that goal.”
One athlete looking for a break is Jamie Strauss, a fifth-year volleyball player at Grande Prairie Regional College. Strauss, 23, is looking to make use of her athletic talents to make the jump from volleyball to a new sport like rowing. “I think it’s an amazing opportunity for athletes like me,” she says. “I’m excited to go out and see what I can do.”
Up to 50 athletes from across the country could receive additional funding, mentorship and support from RBC and the COF to fuel their passion and Olympic dreams. The top performer from each RBC Training Ground regional final will also receive the ultimate Olympic experience – a trip to the 2018 Olympic Winter Games in Pyeongchang, South Korea.
Being discovered is a thrilling prospect for any athlete, but more importantly what the RBC Training Ground program offers is another avenue within the sport system for them to reach their goals. “I see it as an opportunity for an athlete to work towards and make it their goal to be a part of the program,” says Moar. “It opens up a lot of opportunities.”
Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
01/02/17