#InspironsLExcellence Le travail derrière les performances

L'Institut canadien du sport de Calgary (ICSC) est très heureux de dévoiler sa nouvelle vidéo. L'ICSC tire fierté de l'expertise de son personnel, de ses installations et des services qu'il procure aux athlètes canadiens. Cette vidéo vous propose une visite dans nos coulisses afin de mieux faire connaître les services et outils que nous offrons aux athlètes depuis la fondation de l'ICSC il y a maintenant 20 ans.

Cette vidéo de 60 secondes montre quelques-unes des raisons pour lesquelles l'ICSC génère des performances menant au podium. Gardez l'œil ouvert pour entrevoir les athlètes d'élite dans leur parcours vers l'or, incluant le bobeur Jesse Lumsden s'entraînant dans la salle de musculation de haut niveau, la patineuse de vitesse Ivanie Blondin se prêtant à un examen physiologique de nos experts en science du sport sur un tapis roulant conçu pour les patineurs, les lugeurs Alex Gough et Sam Edney étudiant une analyse de leur biomécanique et de leur performance et le curleur John Morris s'occupant de nutrition et de récupération dans la cuisine et le salon des athlètes.

L'ICSC accueille ainsi plusieurs athlètes des jeux d'été et d'hiver qui représentent le Canada sur la scène mondiale. À ce jour, les athlètes de l'ICSC ont remporté un total de 421 médailles en championnats du monde. Aux Jeux olympiques et paralympiques, le palmarès de nos athlètes est de 143 médailles d'or, 146 d'argent et 132 de bronze. Il y a lieu de célébrer!

Appel à l'action :

N'hésitez pas à identifier les athlètes et les fédérations sportives que vous reconnaissez sur cette vidéo et partagez-la sur vos réseaux sociaux et sites Web au moyen du lien http://youtu.be/hkbDDNEfwW0. Nous espérons que vos abonnés et vous trouverez cette vidéo aussi inspirante que nous.

Voici quelques suggestions de présentation de la vidéo pour les athlètes, les entraîneurs et les fédérations :

FR

Jetez un coup d'œil au fantastique nouveau clip de @CSICalgary, en coulisses avec les athlètes olympiques et paralympiques! #InspironsLExcellence http://ow.ly/R0dcT

Tout le travail derrière les performances! L'entraînement quotidien des athlètes de l'équipe nationale @CSICalgary #InspironsLExcellence http://ow.ly/R0dcT

Voilà ce que je fais chaque jour! @CSICalgary #InspironsLExcellence http://ow.ly/R0dcT

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary

Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

#MerciCoach : Les Gramantik

Déterminé. Exigeant. Loyal.

Voici Les Gramantik, un perchiste olympique européen maintenant devenu un légendaire entraîneur d’athlétisme canadien. M. Gramantik a fait sa marque au Canada en entraînant deux des athlètes multisports les plus accomplis au pays : Jessica Zelinka et Michael Smith.

Jessica Zelinka a participé deux fois aux Jeux olympiques, terminant 7e aux Jeux de 2012 à la fois dans l’heptathlon et le 100 m haies; Michael Smith a pris part à trois Jeux olympiques, a remporté la médaille d’argent aux Championnats du monde de 1991 et a longtemps détenu le record national au décathlon.

15 09 23 ThanksCoach Gramantik2En conversant avec monsieur Gramantik, on comprend vite qu’il doit une grande part de ses succès à sa rigueur et à sa pure passion du sport. Il décrit son rôle d’entraîneur comme « une passion, pas un travail » et se dit « très chanceux d’avoir trouvé ma passion et d’en avoir fait mon métier. Je n’ai pas pris de vacances en quinze ans. Pourquoi je le ferais? Je suis en vacances chaque jour! »

M. Gramantik supervise désormais une nouvelle génération d’athlètes à l’Institut canadien du sport de Calgary. Il a formé ce qu’il décrit comme étant « le meilleur groupe d’athlètes que j’ai connu. » Avec 45 ans d’expérience à titre d’entraîneur, c’est là tout un compliment pour les membres de son équipe : Rachael McIntosh, Natasha Jackson, Nicole Oudenaarden, Rachel Machin et Katelyn Lehner.

En plus de l’influence déterminante qu’a leur entraîneur dans toutes les sphères de leur vie, les membres de l’équipe Gramantik ont une raison de plus de dire #MerciCoach ces jours-ci : la semaine du 19 au 27 septembre 2015 a été déclarée Semaine nationale des entraîneurs par l’Association canadienne des entraîneurs.

La relation entraîneur-athlète qui lie M. Gramantik et Rachael McIntosh est fondée sur la confiance et la poursuite d’objectifs à long terme. Immédiatement après sa sortie de l’école secondaire, Rachael a obtenu une bourse d’études de la NCAA qui lui a permis de compétitionner pour l’Université de Pittsburgh. Sa première année à Pittsburgh a été marquée par l’instabilité et la frustration, de même que par de multiples changements d’entraîneur.

Son sort a tourné au cours de l’été suivant lorsqu’elle a fait la rencontre de M. Gramantik. Il a deviné tout le potentiel de l’athlète de 19 ans et lui a offert de l’entraîner à long terme. « Je nous imagine travailler encore ensemble dans 12 ans » dit M. Gramantik.

C’est tout ce que Rachael avait besoin d’entendre pour faire ses bagages, renoncer à sa bourse d’études et déménager à Calgary. « Même si je devais renoncer à ma bourse d’études, je ne pouvais pas laisser passer l’occasion de m’entraîner avec l’un des plus grands entraîneurs au monde, de me bâtir une réputation et devenir l’une des meilleures athlètes au pays. »

Grâce à la vision de M. Gramantik, Rachael et ses coéquipiers ont un brillant avenir athlétique devant eux. Même après des décennies d’expérience derrière lui, M. Gramantik se voit encore entraîner pendant plusieurs années : « Je peux vraiment aider les athlètes » dit-il avec conviction. « Comme le dit le vieux proverbe hongrois, 'un bon prêtre continue d’apprendre jusqu’à sa mort' et je continue moi aussi d’apprendre et de m’améliorer. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

#PoweringPodiumPerformances Behind the scenes at CSIC

The Canadian Sport Institute Calgary is really excited to unveil our new video. The CSIC is extremely proud of the expertise of our staff, facilities and services that we provide to Canadian athletes. This video aims to share our successes through a behind-the-scenes look at the services and tools that the CSIC has provided to athletes since its inception over 20 years ago.

Many of the ways that the CSIC continues to power podium performances are shown in this 60 second video. Keep your eyes peeled for glimpses of elite athletes in their day-to-day quest for gold including bobsledder Jesse Lumsden doing strength training in the high performance weight room; speed skater Ivanie Blondin using sport science initiatives through physiological testing on a specialized skating treadmill; lugers Alex Gough and Sam Edney benefitting from biomechanic and performance analysis; and curler John Morris's attentiveness to nutrition and recovery benefits using the athlete kitchen and lounge.

The CSIC has been home to many winter and summer athletes who represent Canada. To date, CSIC athletes have won a total of 421 medals in competitions at World Championships. At Olympic and Paralympic Games our athletes have won 143 Gold, 146 Silver and 132 Bronze. We believe that this should be celebrated!

Call to action:

Please feel free to share this video by tagging athletes and sports federations that you recognize on your social media platforms and websites using the link: http://youtu.be/hkbDDNEfwW0.

We hope that both you and your fans will find it as inspiring as we do.

#PoweringPodiumPerformances

For athletes, coaches and federations, here are some sharing ideas:

Check out @CSICalgary's awesome new video of Olympic and Paralympic athletes behind the scenes. #PoweringPodiumPerformances http://ow.ly/R0dcT

Work behind performances! The day to day training of National Team athletes @CSICalgary #PoweringPodiumPerformances http://ow.ly/R0dcT

This is what I do! @CSICalgary #PoweringPodiumPerformances http://ow.ly/R0dcT

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

#ThanksCoach: Les Gramantik

Determined. Demanding. Loyal.

This is Les Gramantik, a European-born Olympic pole-vaulter turned legendary Canadian athletics coach. Gramantik made his mark in Canada by coaching two of the country’s most successful multi-event athletics athletes in history, Jessica Zelinka and Michael Smith.

Zelinka is a two-time Olympian, finishing 7th at the 2012 Olympic Games in both the heptathlon and 100m hurdles, while Smith is a three-time Olympian, 1991 World Championship Silver Medallist and former national record holder in the decathlon.

Rachel Machin with Les Gramantik

In conversation with Gramantik, it is apparent that much of his success comes from his diligence and pure love for sport. He describes coaching as “a passion, not a job,” and says, “I am fortunate to have found my passion and live it. I have not taken a holiday in fifteen years. Why would I? I am on holiday every day.”

Now Gramantik is training a younger generation of athletes at the Canadian Sport Institute Calgary. He has created what he calls, “The best group I have ever had.” After forty-five years of coaching, that is high praise for team members Rachael McIntosh, Natasha Jackson, Nicole Oudenaarden, Rachel Machin, and Katelyn Lehner.

With September 19-27, 2015 being declared National Coaches Week by the Coaching Association of Canada, Team Gramantik has every reason to say #ThanksCoach for the impact that their coach has had on them, both on and off the field of play.

The coach-athlete relationship between Gramantik and Rachael McIntosh is based on a foundation of trust and long-term goal setting. Immediately after high school, McIntosh began competing for the University of Pittsburgh on a full NCAA scholarship. She experienced a year of instability and frustrations, changing coaches several times throughout the year.

Fate was in her favour, however, when she met Gramantik the following summer. He saw the 19-year-old’s potential and offered her long-term commitment. “I can see us working together 12 years from now,” Gramantik said.

That was all McIntosh needed to hear as she packed her bags, renounced her scholarship, and moved to Calgary. “Although I gave up my scholarship, I saw the opportunity to train with one of the world’s greatest coaches and to build myself a name and reputation working with one of the most talented athletes our country has to offer.”

McIntosh and her teammates have bright athletic futures thanks to Gramantik’s vision for them. After decades of experience, Gramantik only sees more coaching down the road, exuding passion when he says, “I can really help athletes. As an old Hungarian saying goes, 'A good priest will learn until he is dead,' and I am still learning and getting better.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary

Written by Brittany Schussler: @BSchussler

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2014 : une année mémorable pour l’Institut canadien du sport de Calgary

L'année 2014 était dès le départ une année de célébration pour l'Institut canadien du sport de Calgary (ICSC). Avec les célébrations de son 20e anniversaire et les Jeux olympiques d'hiver de Sotchi, en Russie, de nombreux événements étaient au programme. Et cette année n'a pas été une déception. Que ce soit en raison du triomphe de nos athlètes aux Jeux olympiques ou de notre déménagement dans nos nouvelles installations ultramodernes, l'année 2014 aura certainement été une année mémorable. Le président et chef de la direction, Dale Henwood, nous offre un bon résumé du début de cette année 2015 : « Au début de cette nouvelle année, il est important de réfléchir au passé et d'embrasser l'avenir. C'est une période stimulante qui nous encourage à aller de l'avant et à préparer l'ICS à sa croissance et à sa réussite tout en restant conscient de l'environnement d'affaires dans lequel nous évoluons. »

2014: A Year to Remember for the Canadian Sport Institute Calgary

2014 was always going to be a year to celebrate for the Canadian Sport Institute Calgary (CSIC). Celebrating its 20th anniversary and looking forward to the Olympic Winter Games in Sochi, Russia, there were many events to anticipate. The year did not disappoint. From the Olympic triumphs of the athletes to moving into a new home with state-of-the-art facilities, 2014 was certainly a year to remember. President and CEO Dale Henwood summarizes the beginning of 2015 best, believing that, "As we start a new year it is important to reflect on the past and embrace the future. This is an exciting time to look forward and to prepare the CSI for growth and success while being mindful of the business environment in which we operate."

February's Olympic and Paralympic Winter Games in Sochi, Russia, was the highlight of 2014 from an athlete performance perspective. With CSIC supported athletes Kaillie Humphries, Heather Moyse, Erik Carleton, Chris Klebl, Brian McKeever, and members of the women's hockey team all coming home as Gold Medallists, the Institute's impact on success was reinforced. The success of the CSIC's winter athletes also served to give many summer athletes additional motivation as they prepared for amazing performances at the 2014 Commonwealth Games in Glasgow. Those same summer athletes are now looking forward to the 2015 Pan American Games in Toronto.

The 2014 move to the facilities at Canada Olympic Park was especially impactful for both employees and athletes at the CSIC. Aside from the benefits of the world-leading weight room and training facilities where the athletes are fitted with Under Armour sponsored uniforms, athletes have access to on-site services such as sport medicine, sport science testing, physical and mental consultants, and strength trainers. Included in the facility is an athletes' lounge complete with a beautiful kitchen that not only allows for prompt and proper recovery after training sessions, but has also served as the location of an increased number of nutrition information session such as the Taste Buds series. The CSIC staff have greatly benefitted from the move as well, with the new location allowing all staff members to work in one centralized location, providing increased communication and enhanced services to the athletes.

Never content with simply maintaining the status quo, the Performance Services teams at the CSIC have continued to improve their abilities and receive increasing accolades for their work. By transitioning into an Institute from a Centre there has been opportunity for increased communication amongst team members and the result has been improved integration of services. The impact on athletes has been evident, with the CSIC's highly skilled specialists continuing to be in high demand from National Sport Organizations who have requested increases in support for their athletes and coaches.

2014 also brought about exciting advancements in the CSIC's Life Services portfolio, with the long-anticipated launch of the Game Plan Program. Game Plan is a national program created with the intention of helping athletes focus on performance when it matters most while also preparing for success once their athletic careers have ended. Taking a proactive approach to both life and career planning, the program uses a customized approach to ensure that athletes' specific needs are being met. The program has already received a great deal of athlete praise over its ability to allow for optimal performances throughout every stage of athletes' careers by ensuring that they are focused on performance while also being prepared for a successful life after sport.

2014 was a year that significantly reinforced the CSIC's commitment to delivering world leading coaching development opportunities. Hosting the Global Coaches House conference during the Sochi Olympic Games in partnership with the International Council for Coach Excellence, the University of Calgary, and the Coaching Association of Canada, the CSIC continued to ensure that the vital role of coaching was not overlooked as a developing area. With 28 sessions over 10 days, Global Coaches House Calgary hosted international speakers who spoke on a variety of topics to support coaching at many different levels. The opportunity to learn from many of the world's best coaching minds attracted coaches from across Canada, including those who participated virtually. The CSIC continued to support the program during the Global Coaches House Glasgow, which offered on-site learning opportunities for coaches who were attending the Commonwealth Games.

Every year passes with successes and failures. Fortunately, 2014 went by as a year with many things to celebrate for the Canadian Sport Institute Calgary. As we move into 2015, The Year of Sport in Canada, Dale Henwood is enthused by "the huge opportunity for the CSI to have an even greater impact on the Canadian High Performance sport system." Here's to an amazing 2015 and another 20 years supporting high performance sport. Happy New Year!

Stay in the loop!

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @bschussler
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Game Plan: www.mygameplan.ca

2015 Year in Review

As 2015 ends, the Canadian Sport Institute (CSI) Calgary has chosen to look back on some of the success stories of the past year.

We have compiled a list of the top five athlete performances of 2015. We began with a long list of athletes who achieved excellence by winning a medal at a major event. The staff then voted from the list based on a criteria of athletic excellence combined with the impact that the CSI Calgary had on the athlete’s performance.  

 

Cowntdown of the Top 5 CSI Calgary performances from 2015 


#5  McKeeveGolden as he Adds tLifetime MedaHaul
Brian McKeever, along with guide Erik Carleton, won the para-nordic 20-kilometre race at the IPC World Championship. No stranger to winning, McKeever has won 13 Paralympic medals in his illustrious career.


#4  NeCanadiaTakes SpeeSkatinTeatUnprecedented Level

Ted-Jan Bloemen set the 10,000m World Record and was an integral part of the Team Pursuit that won World Championship silver. The previously Dutch competitor has only competed for Canada for one year, taking advantage of his dual citizenship to compete wearing red and white.

#3  WrestleGathers Medals aMultiplMajoChampionshipsGeneviève Morrison won bronze at the United Wrestling World Championships and gold at the Pan Am Games. The 48kg wrestler’s results earned an Olympic berth for Canada.


#2  MultiplWorlChampionshiMedals
Denny Morrison continued his speed skating dominance with two World Championship medals, finishing second in both the Team Pursuit and 1500m.


#1  BiathloHistory is Made!
Nathan Smith won World Championship silver to become the first Canadian male ever to win a World Championship medal in biathlon. Smith also won the men's 12.5-kilometre pursuit race at a World Cup in 2015, becoming only the second Canadian ever to capture World Cup gold.

Further to our athletes’ success, the CSI Calgary has had many other successes in 2015. The CSI Calgary has continued to exhibit leadership in a variety of areas. Here are a few highlights:

 We increased the number of full-time employees embedded in the daily training environment, which has a direct impact on athlete preparation
 
 
Game Plan - For the past 20 years, Calgary has been a leader in delivering Life Services to athletes and coaches. The re-launch of the Game Plan program and new partnerships with the Canadian Olympic Committee, the Canadian Paralympic Committee and Sport Canada allows us access to more resources to deliver the program

We hosted the first ever Paralympian Search, a Canadian Paralympic Committee initiative to identify the next generation of Canadian Paralympic athletes

 
We hosted a new Strength and Power Performance Course twice during the year, offering aspiring coaches the chance to learn through interaction and mentorship

 
We increased our involvement in Own The Podium’s (OTP) NextGen Development Pathway to include bobsleigh, freestyle slopestyle, speed skating, luge, wrestling and men’s alpine

 
Skate Canada moved their home base to the CSI Calgary, taking advantage of having a training facility and services all under one roof

 
Three CSI Calgary team members are leading their respective areas in OTP’s National Sport Science Sport Medicine Advisory Committee (NSSMAC), an initiative to share knowledge to provide National Sport Organizations the best support possible

 The CSI Calgary is proud of the direct impact that our staff continues to have on many of the world’s best athletes. Our goal is always to strive for excellence. With the 2016 Olympic Games on the horizon, we continue to move forward with relentless determination.

Heretaamazing 2015 with greaathletic accomplishmentand great things tcome in the neyear!

LimitsPushed 2015

 

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @BSchussler

 
 
 
 
 
 
 
 
 

A Fit for the Pros

The Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary) has become a training hub for professional athletes looking to make offseason gains. For athletes that are typically part of large teams, the CSI Calgary is unique in its ability to evaluate the athletes’ needs and create programs that are customized to meet individual goals.

A group of Calgary Stampeders are currently calling the CSI Calgary home, including Quarterback Bo Levi Mitchell, Linebacker Deron Mayo and Wide Receiver Anthony Parker. Sam Hurl from the Winnipeg Blue Bombers, Running Back Matt Walter and Atlanta Braves draft pick Mike Soroka are also making their offseason gains at the CSI Calgary.

Strength and Conditioning Coach Chris Osmond has earned a reputation as the sought-after advisor for the professionals, with a knack for designing training programs that meet the specific needs of each pro. He notes, “It is really great to have professional athletes train at the CSI Calgary. The professional athletes that train here love working within the culture that we have created. It provides a one stop shop for them because everything they need is here under one roof.”

Matt Walter is credited with being the catalyst to the group training at the CSI Calgary. Born and raised in Calgary, the former University of Calgary Dino began working with Osmond in December 2015. He says he “knew there was a lot I needed to address physically. I had made good progress the previous offseason but did not get the results I wanted, and I felt that my body was breaking down a bit. I wanted somewhere to go where I could invest in myself, the best possible place to train at that I could find. I did my research and found the CSI Calgary. I feel that I have been on the right path ever since.”

Hearing his teammate’s rave reviews, Texas-born Bo Levi Mitchell joined the CSI Calgary because he was interested in “training next to Olympians. Those are the people that are hungry.” After doing intake testing that included body composition and cardiovascular fitness, he admits, “I had never done anything like that before.” Mitchell’s results emphasized his need for a customized program that is more cardio-based than his CSI Calgary teammates. Already he is impressed with the results, saying, “After 15 years of playing football, I have only been with the CSI Calgary and Chris for one month and I know I am in the best shape that I have ever been in. Chris knows the ins and outs of everything that we are doing. The atmosphere is better than anywhere I have ever been, and being around the Olympic athletes is fantastic.”

2014 Grey Cup Champions Walter and Mitchell are so impressed with their progress thus far that they plan to continue working with Osmond until the begining of training camp, as well as throughout the football season. As Walter emphasizes, “Chris has been the best trainer I have ever had the opportunity to work with. He is next level, and knows what he is doing to such a high degree. Everything he throws at me is making me better.”

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Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
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Alberta Slalom Canoe Kayak Team Benefits from World Leading Specialists

The Alberta Slalom Canoe Kayak Team lead by High Performance Head Coach Michael Holroyd has been improving in leaps and bounds, thanks in large part to a partnership they have formed with the Alberta Sport Development Centre (ASDC) Calgary and the Canadian Sport Institute Calgary (CSIC).

The diverse training group that has been utilizing the partnership since 2009 is currently comprised of 18 athletes at various levels in development. The group consists of 5 high performance athletes, 3 athletes one tier below high performance, and 10 additional athletes who are targeted as future stars. All have seen benefits from the organizations' unique partnership pooling their respective resources in order to provide the maximum level of support possible as opposed to dividing their respective contributions up in a less effective manner.

Coach Holroyd, a Canoe Kayak National Team member for 10 years, retired from the sport in 2007 to begin working his way though the CSIC's renowned Coaching Diploma Program. After completing the Advanced Coaching Diploma Level 4 Program, he commenced work with the team and has seen amazing improvements in many of his athletes, including Haley Daniels and Adrian Cole, who came into the ASDC Calgary program as young athletes and have progressed to the National Senior and U23 Team, respectively.

The team's biggest success stories thus far, Jessica Groenveld and Ben Hayward, are looking ahead to the Pan Am Games in Toronto in 2015. With the inclusion of Canoe Kayak in the Games for the first time, Groenveld is confident that the services the partnership has provided will continue to garner incredible international results, with the ultimate goal being to win a medal at the home Games.

Holroyd, along with all of his athletes, knows that the biggest advantage the partnership has provided has been the opportunity to work with world leading specialists from the CSIC that they typically would not have access to. These experts include Sport Scientist Kelly Quipp, who conducts physiological testing on the athletes twice annually using a Kayak Ergometer in the state-of-the-art Sport Performance Laboratory at Canada Olympic Park. The team also utilizes the exclusive High Performance Training Centre a minimum of twice weekly in order to train with CSIC Strength and Conditioning Coach John Abreu. Mental Performance Coach Clare Fewster rounds out the group of CSIC experts that have actively contributed to the team's success through the partnership. Groenveld is convinced that these opportunities have enhanced her training, saying, "The collaboration of ASDC and CSIC has enabled us to access resources that are fundamental to athlete development and success. For myself, the strength gains made this year with John, and the ability to have specific training targets from testing with Kelly, are incredibly important."

Coach Holroyd is equally thankful for the world class teamwork that goes into his program, saying, "We are really lucky here in Calgary to have the ASDC Calgary help athletes, collaboratively with our provincial association, work up to the National Team level where the CSIC programs kick in. Through this system, we have been able to use the world leading testing, strength and conditioning, and mental training service providers from the CSIC and bring it to our developing provincial athletes. This gives us consistent long-term data from testing and ensures that athletes stepping onto our National Teams are doing so with good fundamentals. This linear, consistent support has allowed our programs to help athletes to the fullest."

Stay in the loop!

Canadian Sport Institute Calgary: @CSICalgary
Written by Brittany Schussler: @bschussler
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Better People Better Athletes

High performance athletes are known for their intense focus and fierce dedication toward their sporting careers. In their quest for podium performances, well-rounded athletes look beyond their immediate sport goals and work towards balancing their lives and planning their futures. CSI Calgary has been promoting this holistic development of athletes as a core philosophy since its establishment. Over the years this culture has been nurtured and permeates the current and alumni athlete community.

Understanding that addressing “life outside and beyond” sport is a critical performance factor, the CSI Calgary delivers dedicated programs, and personnel to work alongside athletes, supporting them in a wide variety of areas. Recently, the more formalized national Game Plan program has significantly elevated the content and quality of services available.

In addition to being prepared for performance and life, CSI Calgary firmly believes that athletes who are prepared and confident off the field of play perform better. “Our aim is to prepare athletes to be responsible, confident, self-reliant and contributing citizens that are engaged with, and contribute back to the community,” says Dale Henwood, President and CEO. “Developing them as people helps them grow as athletes. Public support and connection to sport is better if we have good people representing our country.” Henwood has been a driving force promoting this philosophy for more than two decades.

Brad Spence, two-time Olympian and former CSI Calgary athlete is an example of an athlete giving back to the community. Retiring after the Sochi Winter Olympics in 2014, Spence decided to give back to the community by creating a not-for-profit organization, pulling together a Board of Directors that includes fellow CSI Calgary alumnus Jeff Christie. Originally Helmets for Heroes, the new Creative Impact Health Foundation focuses on concussion awareness and education to minimize the risk of traumatic brain injuries. So far they have completed 14 projects involving athletes with a CSI Calgary connection.

“As an athlete I feel I have a duty to give back,” says Spence. “I couldn’t have pursued my dreams and gotten to where I did, without the support of the community.” Spence is one of many CSI Calgary athletes and alumni using their lessons and success in sport to make our city a better place to live. Whether they are giving their time and energy sitting on non-profit Boards, contributing to existing foundations or starting their own, these athletes have embraced the concept of giving back to their community and acting as positive role models.

There are many organizations with a strong CSI Calgary connection, the following are some examples of athletes leading the development of local community programs: Fast & Female (Chandra Crawford), KidSport (Kathy Salmon), Right to Play (Clara Hughes), Ski Fit North (Becky Scott) and Wickfest (Hayley Wickenheiser).

“It is so encouraging to see the number of CSI Calgary current and alumni athletes dedicating their time towards different community initiatives,” says Cara Button, Director Stakeholder Relations and Game Plan administrator. “Seeing what athletes are doing validates our work.”

Game Plan is a world-class program developed to support national team athletes in living better lives both during their high-performance careers and beyond. The program is being delivered across Canada by the Canadian Olympic and Paralympic Sport Institute Network (COPSIN), supported by the Canadian Olympic Committee (COC), the Canadian Paralympic Committee (CPC), Sport Canada and is powered by Deloitte.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Lisa Thomson
22/03/17

 

Better Together

Scattered about the country, Canada’s best up and coming ski cross athletes have historically been going it alone. The skiers have been isolated from one another, training solo and paying out of pocket for access to specialized programs and facilities.

It’s hard and expensive to follow a solitary path, and not overly conducive to fostering team dynamics and building a strong, competitive team. Thankfully, all that is changing.

Alpine Canada Alpin and the Canada Ski Cross program have created a Centralized Training and Education Program in Calgary, which allows athletes to simultaneously pursue post-secondary education and high performance sport. The program targets ski cross athletes from across Canada with potential who are three to six years from Olympic success.

Leveraging Calgary training facilities, including the CSI Calgary and local ski resorts, athletes will take advantage of integrated services while completing their education.

The CSI Calgary strongly supports this new initiative. Jason Poole, Director of Performance Services, says, “We are here to help and offer the team everything they need to achieve a high quality training environment,” he says. “Proximity to the National Sport School and the local universities and colleges also helps with supporting their education goals.”

Willy Raine, Ski Cross Athletic Director at Alpine Canada Alpin, has been working toward achieving this goal since starting in his role two years ago. For him it’s about more than just getting the athletes training together. “One of the key components of this program is education,” he says. “My goal is to get 75% of the team into post-secondary education. This model will help create better athletes, and help them have better balance in life.”

In addition to a focus on education however, the benefits of centralization include training together, which improves team dynamics and creates an environment where athletes support each other.

Kevin MacDonald, a Next Gen team member, says that with the team now training together they are pushing each other in workouts, something they weren’t able to do before. “We really push each other in the gym,” he says. “If I see one guy lift a certain weight I’m going to try and match or better that, it helps us work harder.”

For Raine, the primary objective is continuing to dominate on the world stage, no small feat for a program that is already number one in the world. “Ultimately centralizing the team will give us an advantage – the stronger the team is collectively the better we will be against the world. When one of us wins, we all win.”

Part of the rationale for centralization is financial sustainability. Having a centralized program that brings gym and on-snow training into one region, greatly reduces the costs to the athlete and the organization. According to Raine it’s just not economically feasible to create programs at multiple ski hills across the country. “We have to bring them together to get them the development they need. We need to push from below to keep the program growing.”

One of the goals of this new program is to develop athletes to the point where they are progressing from NorAm and Europa Cup competitions into World Cup competitions already at a high level. “We want to compress the development phase so that when the Next Gen athletes step up to the Word Cup level they are ready to start in the top 16, to make it into finals,” says Raine.

MacDonald is grateful for the opportunity to train with his team and go to school. “Now we are all doing the same thing, we can relate to each other, it makes the team better.”

Raine is equally happy to see his brainchild come to fruition. He passionately believes they are on the right track to developing both champion ski cross racers and successful students. “We need to help set them up for life, not just sport.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo: Alpine Canada Alpin
19/10/16

Bilan de l’année 2015

Alors que 2015 prend fin, l’Institut canadien du sport (ICS) de Calgary a décidé de se remémorer certaines des réussites de la dernière année.

Nous avons compilé une liste des cinq meilleures performances sportives de 2015. Nous avons d’abord énuméré une longue liste d’athlètes qui ont atteint l’excellence en remportant une médaille lors d’un événement d’envergure. Ensuite, le personnel a voté pour des candidats de cette liste d’après deux critères : excellence sportive de l’athlète et incidence de l’ICS Calgary sur sa performance.

Cinq meilleures performances de l’ICS Calgary en 2015


#5  McKeever se couvre d’or, ajoutant à son impressionnant total en carrière
Brian McKeever, ainsi que son guide Erik Carleton, a remporté la course de 20 kilomètres en ski para-nordique aux Championnats du monde du CIP. Habitué des podiums, McKeever a remporté 13 médailles paralympiques dans son illustre carrière.


#4  Un nouveau Canadien guide l’équipe de patinage de vitesse vers de nouveaux sommets

Ted-Jan Bloemen a établi le record du monde au 10 000 m et était un membre important de la poursuite par équipe qui a remporté l’argent aux Championnats du monde. L’ancien athlète néerlandais patine pour le Canada depuis seulement un an, lui qui profite de sa double citoyenneté pour arborer le rouge et le blanc en compétition.

#3   Une lutteuse accumule les médailles lors de nombreuses compétitions majeures

Geneviève Morrison a remporté le bronze aux Championnats du monde d’United World Wrestling et l’or aux Jeux panaméricains. Les résultats de la lutteuse de 48 kg lui ont permis de se qualifier pour les Jeux olympiques.


#2  Médailles multiples aux Championnats du monde
Denny Morrison réaffirme sa supériorité en patinage de vitesse grâce à deux médailles aux Championnats du monde, décrochant l’argent en poursuite par équipe et au 1 500 m.


#1  L’histoire s’écrit en biathlon!
Nathan Smith a gagné l’argent aux Championnats du monde et devient ainsi le premier Canadien de l’histoire à remporter une médaille en biathlon lors de ce grand rendez-vous. Smith a également triomphé à la poursuite masculine de 12,5 kilomètres lors d’une Coupe du monde en 2015, ce qu’un seul autre Canadien avait réussi à faire avant lui.

 

Les réussites de 2015 de l’ICS Calgary ne se limitent pas qu’à celles de ses athlètes. Il a continué d’assumer son rôle de leader dans de nombreux domaines. Voici quelques faits saillants :

Nous avons augmenté le nombre d’employés à temps plein intégrés au milieu d’entraînement quotidien, ce qui s’est traduit par une meilleure préparation des athlètes.
 
 
Plan de match – Depuis les 20 dernières années, Calgary est un chef de file en matière de services aux athlètes et aux entraîneurs. Relancer le programme Plan de match et conclure de nouveaux partenariats avec le comité olympique canadien, le comité paralympique canadien et Sport Canada nous a donné accès à plus de ressources pour la mise en œuvre du programme.
 
Nous avons organisé la toute première journée Paralympiens recherchés, une initiative du comité paralympique canadien afin de dénicher la prochaine génération d’athlètes paralympiques canadiens.

 
À deux reprises cette année, nous avons offert à des aspirants entraîneurs un nouveau cours de haut niveau sur la force et la puissance qui leur donnait l’occasion d’apprendre au moyen d’interaction et de mentorat.

 
Nous avons participé davantage au parcours de perfectionnement Prochaine génération d’À nous le podium (ANP) pour y intégrer le bobsleigh, le slopestyle, le patinage de vitesse, la luge, la lutte et le ski alpin masculin.

 
Patinage Canada a déménagé son emplacement principal à l’ICS Calgary puisque cela lui permettait de regrouper l’établissement d’entraînement et les services sous un même toit.
 
Trois membres de l’ICS Calgary dirigent leur domaine respectif au sein du comité consultatif national des sciences et de la médecine du sport d’À nous le podium, une idée visant à partager les connaissances afin d’offrir le meilleur appui possible aux organismes nationaux de sport.

 

L’ICS Calgary se réjouit de l’influence directe que son personnel exerce sur bon nombre des meilleurs athlètes du monde. Notre objectif demeure d’aspirer à l’excellence. À l’approche des Jeux olympiques de 2016, nous continuons d’avancer sans jamais baisser les bras.


À une remarquable année 2015 remplie de réussites sportives sans pareil et aux grandes réalisations au cours de l’année à venir!

LimitsPushed 2015

 
 
 
 
 
 
 
 
 

Body Image: What we (want to) see and make of ourselves

Mindful Monday Blog by Frank van den Berg, Lead Mental Performance Consultant at the Canadian Sport Institute Calgary

Disclaimer: Writing this article from a humanistic perspective, this information is meant for people of all ages, cultural backgrounds, spiritual preferences, sexual/gender orientations, and levels of (dis)ability.

Body image is a subjective picture of how we, consciously and unconsciously, relate to our bodies. It is influenced by how we perceive and interpret the messages being offered through our social environments and the media, as they relate to ourselves.

Body image can be(come) a widespread pre-occupation and obsession in North American culture, with mixed messages being broadcast about what is ‘right’ physique and body type. Think about what people generally say when thinking of ‘The Perfect Man’ or ‘The Perfect Woman’…

It’s important to distinguish between what an appropriate and healthy body image can be, or what a distorted and unhealthy body image can look like.

A healthy body image can be characterized when:

• You unconditionally accept your body
• You cherish your uniqueness and individuality
• You reject comparing your body with others’
• You seek to establish a healthy approach to exercise, eating and personal lifestyle
• You resist defining your self-worth and value by your physical appearance (only)

Conversely, a distorted or unhealthy body image can be characterized when:

• You lack confidence in our own body, size, shape, and attractiveness
• You have a distorted perception of your body, favoring another’s over your own, or
• You reject your body type, wishing for another
• You obsess or worry about consumption of food, calories, metabolism, weight, and energy burnt
• You connect stereotypes (e.g. being slim, thin, slender, perfect) with happiness, success and health

Media Influence

For decades, the film industry, printed media and more currently social media, have been and still are powerful conduits for transmission and reinforcement of cultural beliefs and values. Their continued mass consumption is certainly contributing to norms and standards for physical attractiveness in Western societies, by pervasive presentation and adoration of ‘desirable’ or ‘preferred’ body sizes, types and shapes.

Extensive and voluminous social media usage people like to engage in for enjoyment and online social connection, in particular photo- and video-based activities (e.g. scanning and scrolling through platforms like Instagram and Facebook, and posting pictures of yourself) does appear to be correlated with body image concerns, negative thoughts and feelings about yourself, obsession with nutrition/exercise, disordered eating/fueling, overtraining and/or under-recovery.

For example, in one study women reported that they tend to compare their own appearance negatively with their (sometimes distant) peer group, acquaintances, and celebrities. That’s not to say that men are not exposed to similar influences, as their participation in ‘fitspiration’ social media activity is also on the rise (note: stay tuned for tips & tricks on how to neutralize fitspiration). Watching ‘beautiful’ people do exercise, eat or present themselves (or pretending to…) can make us harsher, more critical towards ourselves in response, sometimes leading to beliefs like ‘I want to be like that’ or ‘I should do that too’.

One of the problems with consumption of – and engagement with – pictures and videos on social media platforms (and advertisements in print or TV), is that we get pretty much a momentary and one-sided presentation of those influencers, often without understanding the context or personal story (behind the image).

Daily Training Environment

Also in the actual, interpersonal and social context of sport, people engage in regular activities (e.g. physical testing, training and competition), and communicate different messages, that may have an impact on how athletes see themselves or others. Directly critiquing or commenting – both praise and criticism – on the physical/body appearance, shape, size or weight of an athlete can be hurtful or even harmful. Consideration of how we all communicate with each other (i.e. sending, receiving and interpreting messages of verbal and non-verbal nature) is critical, and should ideally be offered around athletic skill, function, effort, perseverance or other attributes that are not appearance-based. Whenever factors related to body image (e.g. weight, body size/shape/type) are to be discussed, this needs to be done purposefully, professionally and discretely.

Consider This

For taking care of yourself, with awareness and ability to self-regulate, you’re advised to exercise a healthy level of self-criticism, supplemented with a good dose of self-compassion. Think about the following ways in which you can apply beneficial strategies for a positive and appropriate body image:

1. Cope in healthy ways:
• Engage in honest and non-judgmental reflection (e.g. mindfulness practice)
• Form purposeful or productive intentions, followed by adequate actions
• Express and/or share your thoughts, feelings and questions (e.g. with others, through journaling)

2. Respect the individual:
• Realize and cherish your (and everyone’s) uniqueness and differences
• Accept that – although we are all humans – everyone has a different ‘setpoint’, and can make progress from there
• Use language that is respectful, inclusive and supportive

3. Consider real performance indicators:
• Work with your genetics (nature) while taking care of your well-being and performance (nurture)
• Nourish yourself with proper fuel/nutrition, good spirits/mindset, in supportive social environments
• Capitalize on and benefit from good coaching and teamwork
• Apply good physical and mental training

Breakthrough

For some athletes, moving beyond sport can be completing their education and finding a job. For others, the transition may evolve into a full-blown apocalyptic, existential crisis. Leaving competitive sport behind is a tough pill to swallow.

During the weeks and months following an Olympic Games, many athletes fall into a post-Olympic malaise characterized by a letdown after the intense build up to what is often the biggest event of their careers. Regardless of whether one returns home as a newly-minted Olympic medallist or a disappointed competitor, unease about the future emerges.

This post-Olympic period can be fraught with changes at an organizational level, in coaching staff and in program structure. This, combined with an athlete’s inner search for clarity and the desire to continue competing, can make for a tumultuous period.

In anticipation of this phase, the 2016 Game Plan Summit was held this past last weekend to explore each of the five Game Plan elements: career, education, health, network, and skill development. Game Plan is a collaboration between the Canadian Olympic Committee (COC), Canadian Paralympic Committee (CPC), Canadian Olympic and Paralympic Sport Institute Network (COPSIN), Deloitte and Sport Canada. This second event of its kind, brought together the Game Plan partners and national team athletes at the recently completed Deloitte University, a learning campus at the Deloitte building in downtown Toronto.

The Summit presented opportunities for athletes to network with alumni and industry leaders, reconnect with athletes, attend skill development workshops, and leave with concrete tools and experiences. The theme of the event was ‘Breakthrough’ and the goal was to provide athletes with access to knowledge and resources to perform at their best in and out of sport.

Jessica Zelinka, a two-time Olympian in heptathlon and CSI Calgary athlete, fell just short of her goal of competing in Rio. With lingering feelings of disappointment and love of sport, she’s not quite ready to walk away yet. While she works through what comes next in her life, she continues to train and has taken on two jobs.

In addition to the sessions and workshops at the summit focusing on the practical aspects of transition, what Zelinka appreciated deeply about the experience was the ability to connect with other athletes. “It was a really good opportunity to see everyone and hear their stories, to know that I’m not alone and that there is a lot of support out there.”

This sentiment was echoed by 2016 Olympic Champion in wrestling and CSI Calgary athlete, Erica Wiebe. While Wiebe’s schedule is currently overflowing with appearances and public speaking, leaving little time to address future plans, she welcomed the chance to connect with her fellow athletes.

“I’m so inspired by my peers,” she says. “We are all doing the same thing but we all have a unique story. It’s amazing to learn about how everyone handles the challenges in their lives.”

Cara Button, Director of Stakeholder Relations at the CSI Calgary, was a presenter at the summit. She observed was that the event provided a new connection for many athletes. “It exposed the athletes to the Game Plan program and the wealth of resources available to them as they develop their plans for the future,” she says.

The challenge of transition is not unique to athletes. One of the recurring messages at the summit was the idea that transition happens to everyone throughout their lives and the necessity of embracing it is infinite and universal. For some athletes, difficulty arises in being frank and honest about how they are truly feeling.

“The summit helped open up the conversation I was afraid to have with myself, to learn about the options and resources that are available to me,” says Zelinka. “I know there are some other things I could love but I don’t know what those are yet.”

The Game Plan program is having impact developing mentally stronger athletes who apply what they have learned as leaders in the sport to the betterment of themselves and their communities.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
09/11/16

Ça fait toute la différence

Jongler les études à temps plein, l’entraînement et un emploi à temps partiel dans un café, c’est beaucoup pour un jeune athlète. Le kayakiste de slalom Ryley Penner en sait quelque chose, et c’est pourquoi il est ravi d’avoir reçu un coup de pouce récemment. Le membre de l’équipe nationale des moins de 23 ans et l’athlète de l’ICS de Calgary est un de trois récipiendaires cette année de la bourse d’études Inspirer l’excellence d’ARC Resources.

En partenariat avec l’Institut canadien du sport de Calgary, ARC Resources, une société de pointe dans les domaines pétrolier et gazier classiques située à Calgary, remet trois bourses de 2 500 $ chaque année. L’objectif : inspirer l’excellence en améliorant les occasions universitaires et sportives offertes aux étudiants athlètes. Le but de la bourse consiste à réduire les obstacles financiers et permettre aux étudiants athlètes d’atteindre leur plein potentiel tout en étant de solides et d’importants membres de la communauté.

Selon Wayne Lentz, vice-président, stratégie et développement commercial d’ARC Resources, la bourse cible le sport et l’éducation des jeunes. « Nous cherchons des athlètes réellement passionnés qui poursuivent leurs études tout en redonnant à leur communauté, explique-t-il. Ils font preuve de modestie face à leurs réalisations et mènent une vie équilibrée. »

Cette année, ARC Resources est fière de remettre trois bourses à des athlètes de l’ICS de Calgary :

Ryley Penner, kayak – slalom
Carla Shibley, paracyclisme
Matthew Soukup, saut à ski

Pour Ryley, qui en est à la première année d’un baccalauréat ès sciences en géologie à l’Université Mount Royal, cette bourse fait toute la différence. « Mon sport n’est pas bien financé au Canada, et je dépends de bourses comme celle-ci pour le pratiquer. Je dois payer mes dépenses de ma poche, et c’est un réel défi », note-t-il.

Ryley prévoit utiliser les fonds pour des compétitions l’an prochain, dont le Championnat du monde en Slovaquie. La bourse lui permettra également de participer à plus de camps d’entraînement ainsi qu’aux essais de sélection de l’équipe nationale séniore à Whistler en mai.

Carla Shibley est une cycliste paralympique qui a reçu à l’âge de dix ans le diagnostic de la maladie de Stargardt, une dystrophie maculaire juvénile héréditaire causant une perte de l’acuité visuelle progressive. Carla a l’ambitieux objectif de représenter le Canada aux Jeux paralympiques de Tokyo en 2020 et s’entraîne actuellement pour se qualifier pour une coupe du monde cette saison. Elle prévoit utiliser la bourse pour financer son éducation : elle étudie en vue d’obtenir un diplôme en criminologie et en justice pour les jeunes au Bow Valley College.

Elle ne s’est jamais laissé limiter par la perte de sa vision; c’est sa mère qui lui a enseigné à ne pas utiliser son handicap comme une béquille. « Ma vision se détériore, et je deviens lentement aveugle, explique-t-elle. Ça me fait peur, mais je ne me laisserai pas intimider. » C’est ce genre d’attitude et d’optimisme qu’ARC Resources est fière d’encourager.

Les bourses sont accordées en fonction du mérite et des besoins financiers. Un soutien financier comme celui-ci peut représenter un énorme soulagement pour des athlètes comme Ryley et Carla. « Les dépenses s’additionnent », affirme Carla. Ryley est d’accord : « On se sent étouffé. Mon sport n’est pas très populaire, et c’est difficile d’attirer des commanditaires. Je dois travailler très fort pour ce faire. »

C’est pour cette raison qu’ARC Resources continue à remettre sa bourse. Après six ans de bourses, la société a reçu avec bonheur des nouvelles d’anciens récipiendaires, dont plusieurs ont entamé une nouvelle carrière à succès et sont des membres actifs de leur communauté.

ARC Resources est également reconnaissante d’avoir l’occasion de faire équipe avec l’ICS de Calgary. « Nous sommes très fiers de cette initiative et reconnaissants de l’aide de l’ICS de Calgary pour la maintenir », commente M. Lentz.

 

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
16/11/16

Calgary 2026?

By Ken Read

Each winter the Calgary region hosts up to seven annual World Cup events. Another four winter sports stage World Championship or quadrennial World Cups. Alberta is home to eight of the twelve winter National Sport Organizations. Canadian Sport Institute Calgary has matured into the largest of Canada’s seven Sport Institutes.

In 1981, when a fairly obscure western Canadian city called Calgary won the right to host the 1988 Olympic Winter Games, none of this existed.

So much has changed on the sport landscape in 35 years. But to really understand the legacy of 1988, you need to think back to what it was like to be in sport prior to 1981.

There was no Saddledome, no Olympic Oval. The Canmore Nordic Centre and Nakiska did not exist. Canada Olympic Park was everyone’s favourite city ski hill called Paskapoo. The administration of most winter sports operated out of Ottawa, under the watchful eye of Sport Canada. Calgary hosted the Brier and Skate Canada and had held the first-ever World Cup downhill at Lake Louise. The Flames were new in town, housed in the 6,500 seat Corral.

There certainly was a thriving winter sport community. International calibre Olympic talent had emerged from local clubs and programs in alpine ski racing, figure skating, speed skating and hockey. Local boosters wanted to run events to showcase Calgary, Alberta and the Canadian Rockies, to give home-grown athletes as well as other Canadian Olympic prospects and talent in emerging sports like freestyle and short track speed skating a chance to compete at home, to inspire local kids. But we lacked facilities and international experience.

So when Frank King galvanized a renewed Olympic bid from the Calgary Booster Club in 1979, he found a highly receptive audience and community.

I’m reflecting back to these early days of the 1988 Olympic bid, because it is so important to contrast what we take for granted today with what existed 35 years ago. No annual World Cups. No National Teams based in the province. Rare international events. No facilities.

It was an enormous amount of sweat equity, ingenuity and investment that revolutionized sport in Canada. We all know how successful the 1988 Games were. But the real success story started through the preparation and development as Calgary ramped up for ’88.

To prepare for the Games host cities are required to stage “pre-Olympic” events in all sports. A common-sense plan to test venues, give athletes a chance to train on Olympic sites, test logistics that range from transportation to security to pageantry, to train volunteers and work with partners that would include media, sponsors and funding agencies. The investment in people – volunteers and officials – delivered the capacity and know-how to organize annual World Cup events.Result: alpine skiing, bobsleigh, luge, skeleton and speed skating now are regular stops on the international calendar, with hockey, cross country skiing, biathlon, figure skating and curling hosting major events.

Successful annual events were bolstered by a will to build training environments. National Training Centres emerged as funding became available, with National Teams centralizing their year-round programs close to these venues.Result: National Training Centres are now established at Nakiska (alpine), Canmore (biathlon & cross country), the University of Calgary (speed skating), Canada Olympic Park (nordic combined and ski jumping; sliding track for bobsleigh, skeleton & luge).

With National Teams centralized in Alberta, it followed that once Sport Canada allowed the National Sport Organizations to move their head offices to logical locations (rather than Ottawa), the administration of each sport followed the athletes.Result: Calgary and Canmore are now home to Hockey Canada, Alpine Canada, Luge Canada, Bobsleigh/Skeleton Canada, Ski Jump Canada, Nordic Combined Canada, Cross Country Canada and Biathlon Canada.

As Canada established a network of Canadian Sport Centres across the country to support our athletes, with most winter sports housed in the Calgary region, it was a natural evolution that CSI-Calgary became the primary provider to winter sports. Sport Centres are the employer of the support teams that surround athletes including exercise physiologists, strength and conditioning coaches, biomechanics, dieticians, mental performance consultants, anthropometrists, biochemistry lab technicians, physicians, physiotherapists, athletic therapists, chiropractors and massage therapists.

Working with funding partners at the federal, provincial and municipal level, WinSport Canada established the Athlete Centre within Canada Olympic Park that is now one of the leading facilities for athlete training in the world.Result: CSI-Calgary has evolved to become Canada’s largest Sport Institute, now employing more than 75 professionals and working with 345 current and future Olympians/Paralympians and Pan-Am/Parapan athletes and hundreds of coaches, technicians, officials and volunteers working with sport organizations.

The steadily expanding sport expertise and availability of venues has easily accommodated the addition of new and emerging sports that were added to the Olympic program post-1988. First to be included were skeleton and freestyle (moguls and aerials), followed by snowboard (cross, alpine and half-pipe) and ski cross, then expanding to slopestyle and now big air.Result: skeleton, freestyle, snowboard, ski cross programs and events were merged into the Calgary and region sporting mix on venues that are arguably best in the world.

The circle of sport influence driven by the legacy of ’88 and the critical mass of sport expertise has continued to bring even more projects with a core sport focus to bolster the sector.Result: Canada’s Sport’s Hall of Fame, the winter offices of Own the Podium and National Sport School; complementing sport are the Human Performance Lab at the University of Calgary and Sport & Wellness Engineering Technologies (SAIT). Expertise along with bricks and mortar have gravitated to Calgary as a centre of sport excellence.

The human factor has enormous impact. From those who are passing through, to many who came and put down roots, Calgary and area have been transformed. Many recognizable names within the sport community have come from other countries and parts of Canada. They have brought professional credentials and sporting pedigrees. Their children have joined our clubs. Their leadership and expertise populate sport boards, event committees and administration of local, provincial and national organizations.Result: Hundreds of international athletes come to Canada each year for training and competition. Canadians from across the country centralize to Calgary each year for their National Team programs. Many have elected to stay. Hundreds of sport professionals who lead and support our sport programs have been recruited from around the world and now call Canada home.

Just imagine if you can, almost none of this existed in 1981.

The business of international sport is no different than any other business sector. To remain competitive, relevant and to thrive, infrastructure needs to be maintained. Excellence is fluid, with the bar constantly raised. The medium that presents sport to the world is in flux with the expectations of digital delivery and efficient broadcast servicing a requirement for all sporting events from the World Cup level and up. We have an enormous sport business now resident in the region, so a review of existing and potential facilities and the infrastructure necessary to keep our competitive edge is a prudent business decision.

It hasn’t all been sweetness and light through this journey. Mistakes have been made, but an Olympic bid is a once in a generation chance to learn, adapt and improve in the same way Calgary learned from the Montreal experience and Vancouver learned from Calgary. But on balance, without doubt, the 1988 Games have been good for the city and region, province and country and an enormous lift for Canadian sport. Even a review to evaluate a potential bid is a chance to refresh, reinvigorate, renew, redress and rebuild.

This bid is for an event 10 years from today. At the core, the focus of the feasibility study should be on where we, as a community and country, would like to see this thriving sector evolve to by 2050 and beyond. To inspire youngsters, lift the next generation of champions, transfer knowledge to new leaders and officials. At a time where diversification is high on the list of urgent needs for our economy, sport and the related sectors of tourism and communications can figure prominently.

When the IOC announced “Calgary!” in October, 1981, none of us truly imagined the possibilities. What a journey. As we now look forward, what opportunity awaits us.....

More from Ken Read’s blog: White Circus – Weiß Zirkus – Cirque Blanc

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
29/06/16

Canadian Speed Skaters Putting the World on Notice

In a season punctuated by Ted-Jan Bloemen setting the 10,000m World Record and Ivanie Blondin being crowned the Mass Start World Champion, the Canadian Long Track Speed Skating Team has exceeded all expectations.

Predominantly based out of the Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary), the team recently wrapped up the World Single Distance Championships where they won four medals (Blondin’s gold, a 10,000m silver from Bloemen, and bronze in the 500m from Alex Boisvert-Lacroix and the Men’s Team Pursuit).

Scott Maw, CSI Calgary Sport Physiologist and Integrated Support Team (IST) Lead with Speed Skating Canada (SSC), knew the team had what it took to be a force on the global stage. Over the past two seasons, there has been a collaborative effort between SSC, the Olympic Oval and CSI Calgary in making adjustments to team culture, expectations and accountability. It began with an overhaul of the athlete pathway to make it one program focused on performance across all levels.

The changes have lead to an increased concentration on the four main pillars that Speed Skating Canada’s program is built upon: respect, compete, accountability, and professionalism. This has come from an emphasis on team atmosphere, an element that can be difficult to emphasize in a mainly individual sport. To enhance the concept of team, all of SSC’s coaches have worked together to create a team-oriented yearly training plan that includes team training camps throughout the year.

Maw says the objective is “really about making sure each and every athlete is getting the basics right while respecting their teammates and their competitors and what it means to skate with the maple leaf on their skinsuits. This in turn gives them the confidence that they can perform when it matters.”

Following the 2014 Winter Olympics, Maw began working to develop key performance indicators (KPIs) to determine if World Cup performance was an indicator of World Championship or Olympic success. His task involved analyzing results from the previous six seasons, including thousands of races.

These KPI’s are used by CSI Calgary Mental Performance Consultant Derek Robinson to increase athletes’ emphasis on both individual and the team’s performances. By frequently reporting to the skaters on how they performed as a team relative to the other countries, Robinson is able to motivate skaters to improve for individual progression and to contribute to the team’s success.

Maw and the IST have adjusted many elements of the speed skating team’s approach. To better quantify the skaters’ response to training, SSC’s coaches have aligned how they classify training zones. This has worked in conjunction with a revamped approach to how skaters are monitored allowing IST members to hone in on how each athlete is responding to training. The athletes are also being monitored on their attention to elite habits, which include a vast array of things such as sleep and nutrition.

Despite the endless ways to monitor athletes, adjust training, and encourage a supportive environment, ultimately Maw knows, “When it comes down to it, it’s all about the skater giving their best performance on the day that counts. We are here to support that and to help them make it happen by design rather than by chance.”

The speed skaters close out their season in Heerenveen, Netherlands

at the World Cup Final March 11-13. For up-to-date results, follow Speed Skating Canada on Twitter @SSC_PVC.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @BSchussler
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

Canadian Sport Institute Calgary Leads By Example

The Canadian Sport Institute Calgary (CSIC) is recognized for being world-leaders in many areas of athlete development. It is due to this recognition that the CSIC has become accustomed to facilitating opportunities to learn and share information with many representatives from other sport organizations both domestically and internationally. Dale Henwood, President and CEO of the CSIC, takes great pride in the Institute's ability to help other institutions further their sport education, saying that people request to come here because the CSIC has a "reputation for having great expertise, great programs, a history of impact, and repeated performance success."

Henwood knows that the benefits of hosting both local and international visitors, and sharing some of his program's world-leading concepts, are to the benefit of everyone involved, including the CSIC. As always, everything is done with the Canadian athletes' best interests in mind, as Henwood states, "I believe you should share, and when you share everyone gets better."

Topics that are discussed between organizations vary depending on each other's strengths. For instance, at the beginning of November, a group of five women from the Japan Sport Council spent time in Calgary learning about how the CSIC has contributed to incredible success for female athletes on the international stage. The answer was simple: equal opportunity. Women within the CSIC programs are privileged to all of the same benefits that their male counterparts are, something that is not always found in sports communities around the world. This mandate has shown in Canada's Olympic results, with women winning 14.5 out of 26 Canadian medals at the Vancouver 2010 Games, 12 out of 25 medals at the Sochi 2014 Games, and 10 out of 18 Canadian medals at the London 2012 games.

This coming week, another Japan Sport Council representative is coming to discuss the main points of hosting an Olympic Games in their home country. As Calgary is world-renowned for the success of the 1988 Olympic Winter Games, the organizers of the Tokyo 2020 Olympic Games are eager to investigate how to make their own home Games a success, both for the visiting countries and especially for their own athletes.

Plans are also being set in motion for the CSIC to host two representatives from the Sports Centre Papendal in the Netherlands. Their inquires pertain to the world-leading life services programs that the CSIC is a part of, such as the newly launched Game Plan Program and the Elite Athlete Work Experience Program (EAWEP). Both life services programs have been put in place to assist athletes with long term goals both inside and outside of sport. For example, Game Plan's main goal as Canada's athlete career transition program is to support and empower high performance athletes to pursue excellence during and beyond their sporting careers. Supporting athletes under the pillars of career, education, and personal development, the program uses a customized approach to ensure that athletes' specific needs are being met. Programs such as Game Plan and the EAWEP are significant contributors to the success of the CSIC's athletes because they give them confidence during their athletic careers that they will be well prepared for their lives after sport, relieving much of the anxiety that comes with spending early adulthood pursing sports excellence.

Be sure to visit www.csialberta.ca to find out more about the Canadian Sport Institute Calgary's programs and services!

Stay in the loop!

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @bschussler
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
Game Plan Program: @gameplandematch, www.mygameplan.ca

Carol Huynh a le coeur sur les lèvres

Tout ce que Carol Huynh a accompli dans sa vie fait d’elle la personne toute désignée pour le rôle d’assistante chef de mission pour Équipe Canada au prochains Jeux olympiques de 2016 de Rio. Le fait que la double médaillée olympique en lutte, et entraîneuse de la prochaine génération de l’ICS de Calgary, ait été choisie pour le poste a stupéfait madame Huynh : « Ça m’a étonnée, super étonnée! J’ai entendu à travers les branches l’automne dernier que c'était une possibilité, mais quand j’ai appris la nouvelle en octobre, j’ai quand même été surprise. Je n’arrive pas à croire qu’ils m’ont choisie. »

Carruthers, Mian et Sullivan reçoivent une des bourses d’études Inspirer l’excellence offertes par ARC Resources Ltd.

Pour la quatrième année consécutive, ARC Resources Ltd. a conclu un partenariat avec l'Institut canadien du sport de Calgary afin de remettre trois bourses d'études de 5 000 $ à des étudiants-athlètes de haut niveau. La lutteuse Jasmine Mian, la cycliste sur piste Monique Sullivan et le patineur de vitesse Dan Carruthers sont les heureux récipiendaires cette année.

Les récipiendaires ont suivi un rigoureux processus de demande qui se conclut par une entrevue en personne chez ARC Resources Ltd., une des sociétés canadiennes dominantes des domaines pétrolier et gazier classiques. Chaque candidat retenu doit suivre au moins quatre cours et connaître du succès dans les domaines scolaires et sportifs en plus de démontrer ses besoins financiers et de faire preuve d'un engagement communautaire soutenu.

Carruthers, Mian, and Sullivan Awarded ARC Resources Ltd. Inspiring Excellence Scholarship

For the fourth consecutive year, ARC Resources Ltd. has partnered with the Canadian Sport Institute Calgary to award three $5000 scholarships to high performance student athletes. Wrestler Jasmine Mian, track cyclist Monique Sullivan, and speed skater Dan Carruthers are the ecstatic recipients of this year's funding.

Recipients of the scholarship are put through a rigorous application procedure that culminates with an in-person interview at ARC Resources Ltd., one of Canada's leading conventional oil and gas companies. Each successful applicant must be taking a minimum of four classes, and demonstrate a combination of academic and athletic achievement in combination with financial need and regular community involvement.

As the current Canadian Champion in the 48KG weight class, and an MSc candidate in Experimental Psychology, Jasmine Mian is the epitome of what ARC and the CSI are looking for in scholarship recipients. The impact that this funding has on student athletes is apparent, as noted by Mian who says, "I am very grateful to be one of the recipients of the Inspiring Excellence Scholarship. The support and encouragement I have received from ARC Resources Ltd. and the Canadian Sport Institute provide me with the tools and confidence to be successful in the classroom and on the wrestling mat. The funding will allow me to continue competing at the international level, while taking advantage of opportunities for professional development throughout my MSc program. Scholarships like this truly make a difference in lives of student athletes."

Scholarships for student athletes aim to encourage recipients to continue pursuing post-secondary schooling while being world-leaders in their respective sports. Wayne Lentz, Vice President of Strategy and Business Development, notes the importance that ARC and the CSI put on preparation for life after sport, saying that "ARC created the Inspiring Excellence scholarship program to support student athletes in their commitment to education, sport and community. There is a strong emphasis on preparing student athletes for careers beyond their sport as well as their commitment to their education and community. Scholarship recipients are truly exceptional individuals who are excelling in both their academic and athletic pursuits and share the characteristics of work ethic, maturity, humility and long term views on the importance of their education and careers following their time in sports. The $5000 scholarship lowers financial barriers, furthers their studies and helps with expenses incurred while training and travelling to competitions."

Newly training with a National Team group, Dan Carruthers says that being awarded the scholarship is affording him some much needed relief over the financial worries that have accompanied coming into a more difficult training regime. He has felt that "one of the largest obstacles I face as a student athlete is making sure I can cover all of my costs, so I can perform my best. The scholarship will help me cover most of my skating travel expenses this year, some pricey equipment costs, and a portion of my tuition fees."

After finishing sixth in the keirin at the 2012 Olympic Games, Monique Sullivan is back in competition after taking time off to focus on school. Not wanting to be forced to choose between athletic and academic success, Monique believes that "The ARC scholarship is not only special because of the financial benefit, but because it represents being part of the ARC and CSI Calgary community. I am passionate about both racing and school, and it is really unique to be part of a community that supports both."

The scholarship winners will have an opportunity to thank the Canadian Sport Institute Calgary and ARC Resources Ltd. in person when they are honoured at a luncheon in November.

Stay in the loop!

Writer Brittany Schussler: @bschussler
Photo Credit: Dave Holland @csicalgaryphoto
ARC Resources Ltd.: www.arcresources.com
Monique Sullivan: @mmj_sullivan, http://moniquesullivan.wordpress.com/
Jasmine Mian: @jasmine_mian, www.jasminemian.com
Dan Carruthers: @ldcarruthers, www.ldcarruthers.com

Convenable pour les pros

L’institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary) est devenu un centre de formation pour les athlètes professionnels souhaitant s’améliorer pendant la saison morte. L’ICS Calgary revêt un caractère unique auprès des athlètes évoluant habituellement au sein de grandes équipes, en raison de sa capacité à évaluer les besoins des athlètes et à créer des programmes personnalisés qui répondent aux besoins individuels de chacun.

Plusieurs joueurs des Stampeders de Calgary en ont fait leur deuxième maison, entre autres le quart arrière Bo Levi Mitchell, le secondeur Deron Mayo et le receveur éloigné Anthony Parker. Les joueurs Sam Hurl des Blue Bombers de Winnipeg, le porteur de ballon Matt Walter et Mike Soroka, premier choix du repêchage des Braves d’Atlanta, bénéficient également des services de l’institut pour y améliorer leur condition physique pendant la saison morte.

Chris Osmond, entraîneur de force et de conditionnement physique, a acquis une réputation de conseiller très recherché auprès de professionnels, en raison de sa capacité à concevoir des programmes d’entraînement qui répondent aux besoins précis de chaque athlète. « C’est vraiment génial que des athlètes professionnels s’entraînent à l’ICS Calgary, affirme-t-il. Ils adorent travailler avec la culture que nous avons créée. Nous leur offrons un guichet unique puisqu’ils trouvent tout ce dont ils ont besoin sous un même toit. »

On doit à Matt Walter d’avoir fait découvrir l’ICS Calgary aux membres des Stampeders qui s’y entraînent maintenant. Né et ayant grandi à Calgary, l’ancien Dino de l’Université de Calgary a commencé à travailler avec Chris Osmond en décembre 2015. « Il savait à quel point j’avais besoin d’aide au niveau physique, précise Walter. J’avais fait beaucoup de progrès pendant la saison morte précédente, mais sans obtenir tous les résultats souhaités. Je sentais que mon état physique déclinait un peu. Je cherchais un endroit où je pouvais investir dans ma forme physique, le meilleur endroit où m’entraîner. J’ai fait des recherches et j’ai découvert l’ICS Calgary. Et depuis, je sens que je suis sur la bonne voie. »

C’est en entendant les critiques élogieuses de son coéquipier que Bo Levi Mitchel, né au Texas, s’est joint à l’ICS Calgary, parce qu’il souhaitait « s’entraîner en compagnie d’athlètes olympiques; ces gens-là sont affamés », affirme-t-il. Après avoir accompli une série de tests complets, y compris la composition corporelle et la santé cardiovasculaire, Bo a admis n’avoir jamais rien fait de tel avant. Ses résultats ont souligné le besoin d’un programme personnalisé axé davantage sur le cardiovasculaire que ses coéquipiers de l’ICS Calgary. Il est déjà impressionné par ses résultats : « Je travaille avec Chris à l’ICS Calgary depuis seulement un mois, mais après 15 ans à jouer au football, je sais que je suis dans la meilleure forme physique que jamais avant. Chris connaît toutes les facettes de ce que nous faisons. L’atmosphère est incroyable et c’est fantastique de s’entraîner auprès d’athlètes olympiques. »

Walter et Mitchell, champions de la Coupe Grey 2014, sont tellement impressionnés par leurs progrès à ce jour qu’ils prévoient poursuivre leur collaboration avec Osmond jusqu’à ce qu'ils amorcent leur période d’entraînement, ainsi que tout au long de la saison de football. Et comme le souligne Walter, « Chris est le meilleur entraîneur avec lequel j’ai eu l’occasion de travailler. Il est dans une classe supérieure et possède un haut niveau de connaissances. Tout ce qu’il me fait faire me rend encore meilleur. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

CSIC Athletes Contribute to PanAm Success

The Canadian Sport Institute Calgary (CSIC) athletes are making their mark on the PanAm Games in Toronto. As of July 16, half of the way through the competition, Team Canada is leading the medal standings with a total of 97 medals.

As expected, CSIC athletes have been great contributors to the results. Gold medal performances have come from Ashley Steacy in rugby, Monique Sullivan and Kate O’Brien in track cycling’s team sprint, Genevieve Morrison in 48kg wrestling, and a double gold medal performance by Lynda Kiejko in shooting. Silver medals have been won by gymnast Kevin Lytwyn on the horizontal bar and Andrew Schnell in doubles squash. The medal haul so far is rounded out with bronze medals earned by the men’s water polo team and roller speed skating’s Jordan Belchos .

Belchos is a rare two-sport athlete, who competes during the winter months in international events in long track speed skating. Belchos, a native of Toronto, was ecstatic with his performance in the 10,000m points race, saying, “It was such an honour to compete in my hometown. Travelling to and from the venues I passed by the rink where I had my first speed skating race and by the hospital where I was born. It really made things feel like they were coming full circle for me. I knew my Pan Am race would be a once in a lifetime opportunity and I knew I was a long shot to win a medal but I never wavered in my belief that I could do something special in the race.”

Belchos has been living in Calgary for a decade and attributes much of his athletic success to his training environment, noting, “I'm privileged to be supported by the CSIC and train in the professional setting and environment that they provide. So many of the steps I've taken in my career have been under the guidance of many CSIC staff including Derek Robinson, Scott Maw, and Kelly Anne Erdman.”

With many events still to be contested, be sure to keep an eye on the rest of the CSIC athletes and all of Team Canada! 

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary

Written by Brittany Schussler: @bschussler

Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

CSIC Baseball Player Mike Soroka Drafted to Atlanta Braves

The Canadian Sport Institute Calgary was thrilled with the news that Calgary-born athlete Mike Soroka had been drafted to Major League Baseball's Atlanta Braves. Soroka, a right-handed pitcher, was picked in the first round, 28th overall.

The draft comes at a busy time in 17-year-old Soroka's life, with his graduation from Bishop Caroll High School occurring on June 19. When asked about the current changes in his life, Sororka is still focused on baseball, saying that his goal has always been to be a professional pitcher. He emphasized that pitching has always "been what I've loved to do...throw on the mound and be in control. That's just something that I enjoy."

Soroka has been an athlete training at the CSIC since November 2014, when he began working in the high performance weight room with Strength and Conditioning Coach Chris Osmond and using the on-site cold tubs to enhance his recovery. Osmond had previously worked with a baseball team that Soroka had played on, and based on that experience Soroka knew that Osmond's expertise would help him reach the next level of his career. Their work together has paid off, with Soroka noting that all of his training was "very well monitored. I've had other trainers that tried to just bulk me up, but Chris was very focused on being functional. All his exercises were adaptived to baseball. I also liked that I sometimes wanted to push the weight up but Chris was focused on consistency and solid improvement."

After working one-on-one with Soroka, Chris Osmond is not surprised at the Braves' decision to draft him. Osmond describes Soroka as ambitious and focused, saying, "It was a pleasure working with Mike. His determination to be a better athlete physically and mentally was evident during every training session. I'm extremely happy to see all of his hard work paying off."

As Soroka gets ready to fly off to Atlanta for medical assessments and what he hopes will be his official team signing, he is noticeably excited, saying, "It's been a whirlwind with many ups and downs, but I now have to focus on what's to come." From everyone at the CSIC, "Good luck Mike!"

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary

Written by Brittany Schussler: @BSchussler

Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

CSIC’s Morris Wins World Curling Bronze

Canadian Sport Institute Calgary athlete John Morris won bronze at the World Curling Championships in Halifax, Nova Scotia on April 5th when Team Canada defeated Finland. Morris was an integral part of the home team during the tournament, which took place from March 28th - April 5th, 2015. Morris, who was a member of the gold medal winning team at the Vancouver Winter Olympic Games, currently throws third on a team with Nolan Thiessen, Carter Rycroft, and Pat Simmons.

The CSIC facilities at Markin MacPhail Centre recently became Morris' home training centre. The facilities were on display from January 8th-11th, when WinSport hosted the World Financial Group Continental Cup for Curling. The tournament had both male and female curlers from all over the world. During the competition, many of the top curlers used the CSIC facility.

John, is studying nutrition and working as a firefighter in the Rocky View Municipality, is an athlete who benefits from having all of their athletic needs met in a centralized location. His training regime often consists of workouts in the gym followed by treatment from Kevin Wagner, the CSIC's Director of Physiotherapy. He concludes his routine in the athletes' kitchen where he can prepare his post work out shake while sharing his experiences and getting inspired by Canada's high performance athletes from a wide variety of sports.

The Simmons team started their run earlier this year with a unique story. They began the qualifying tournament, the Brier, with Morris being positioned as the team's Skip. After a tough start, Morris made the decision to move into a more familiar position as the team's Third and have teammate Pat Simmons take over as Skip. The decision proved to be ideal for the team, who proceeded to win the Brier and go on to win the World Championship bronze.

With their win at the Brier, the Simmons rink has automatically qualified for the 2016 Brier. Defending their title will surely be a part of the team's long-term plan to train and compete together with the goal of representing Canada at the 2018 Winter Olympic Games in Korea. Morris is planning to make use of the CSIC's combination of facilities and services throughout the quadrennial and hopes to bring his team members to Calgary for training camps in order for them to make use of the facility's benefits as well.

The CSIC enjoys having a world-class athlete from yet another sport reaping the benefits that it has to offer while inspiring the athletes around him. Congratulations to John and the rest of Team Canada.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary

Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

De meilleures personnes, de meilleurs athlètes

Les athlètes de haut niveau sont reconnus pour leur intense détermination et leur dévouement à toute épreuve à l’égard de leur carrière sportive. Dans leur quête de performances dignes du podium, les athlètes complets voient plus loin que leurs objectifs sportifs immédiats et cherchent à équilibrer leurs vies ainsi qu’à planifier leur avenir. L’ICS Calgary fait la promotion de ce développement holistique des athlètes comme principale philosophie depuis sa fondation. Au fil des ans, cette culture a été encouragée et est omniprésente au sein de la communauté d’anciens athlètes.

L’ICS Calgary comprend que s’occuper de « la vie à l’extérieur et au-delà du sport » constitue un facteur de performance critique et offre donc des programmes spécialisés tout en mettant à la disposition des athlètes des employés qui les appuient dans un vaste éventail de domaines. Récemment, le programme national normalisé Plan de match a haussé de manière importante le contenu et la qualité des services offerts.

L’ICS Calgary croit fermement que les athlètes qui sont prêts et confiants en dehors du terrain de jeu, en plus d’être préparés pour la performance et pour la vie en général, performent mieux. « Notre objectif est de préparer les athlètes à être des citoyens responsables, confiants, autonomes et collaboratifs qui s’engagent dans la communauté et redonnent », explique Dale Henwood, président et directeur. « En faire de meilleures personnes contribue à en faire de meilleurs athlètes. Le soutien publique et la connexion au sport sont accrus si nous avons de bonnes personnes pour représenter notre pays. » M. Henwood est grandement responsable de la promotion de cette philosophie depuis plus de deux décennies.

Brad Spence, deux fois olympien et ancien de l’ICS Calgary est un exemple d’athlète qui redonne à la communauté. Ayant pris sa retraite après les Jeux olympiques d’hiver de Sotchi en 2014, Brad a décidé de redonner à la communauté en créant un organisme sans but lucratif, formant un conseil d’administration auquel siège un ancien de l’ICS Calgary, Jeff Christie. Anciennement Helmets for Heroes, la nouvelle fondation Creative Impact vise à sensibiliser les gens quant aux commotions cérébrales et à les renseigner afin de minimiser le risque de traumatismes crâniens. Jusqu’ici, ils ont mené à terme 14 projets auxquels ont participé des athlètes liés à l’ICS Calgary.

« En tant qu’athlète, j’estime que j’ai le devoir de redonner », affirme Brad. « Je n’aurais pas pu poursuivre mes rêves et je ne serais pas là où je suis sans l’apport de la collectivité ». Brad est l’un des nombreux athlètes et anciens de l’ICS Calgary qui s’appuient sur les leçons apprises et sur leur réussite sportive pour faire de notre ville un meilleur endroit où vivre. Que ce soit en consacrant une partie de leur temps et de leur énergie à siéger à des conseils d’administration d’organismes sans but lucratif, en contribuant à des fondations existantes ou en créant leur propre fondation, ces athlètes ont adopté le concept de redonner à leur communauté et de servir de modèles positifs.

De nombreuses organisations sont solidement liées à l’ICS Calgary. Voici des exemples d’athlètes qui dirigent le développement de programmes communautaires locaux : Fast & Female (Chandra Crawford), KidSport (Kathy Salmon), Right to Play (Clara Hughes), Ski Fit North (Becky Scott) et Wickfest (Hayley Wickenheiser).

« C’est tellement encourageant de voir le nombre d’athlètes et d’anciens de l’ICS Calgary qui consacrent leur temps à différentes initiatives communautaires », souligne Cara Button, directrice des relations avec les intervenants et administratrice du programme Plan de match. « Voir ce que les athlètes font nous encourage à continuer. »

Plan de match est un programme de calibre mondial en cours d’élaboration qui vise à aider les athlètes membres des équipes nationales à améliorer leurs conditions de vie durant leur carrière sportive de haut niveau, et après celle-ci. Le Réseau des instituts de sport olympique et paralympique du Canada (Réseau ISOP), appuyé par le Comité olympique canadien (COC), le Comité paralympique canadien (CPC) et Sport Canada, offre ce programme parrainé par Deloitte dans tout le pays.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Lisa Thomson
22/03/17

 

Des cœurs engagés

Il y a un moment dans le sport où tout le monde, sauf l’athlète, se relâche. Toutes les personnes qui ont contribué au façonnement d’un athlète pour qu’il ou elle excelle dans sa performance – entraîneurs, physiologistes, psychologues, entraîneurs en force musculaire, physiothérapeutes – reculent en bordure du terrain, n’ayant plus qu’à regarder, sachant qu’elles ont fait tout ce qu’elles pouvaient pour préparer l’athlète à disposer de tout ce qui est nécessaire pour performer, pour participer aux jeux.

Chez certains, le cœur se débat et les papillons les prennent au ventre; chez d’autres, on crie et on acclame devant un écran de téléviseur, alors que d’aucuns n’ont ni besoin ni envie de regarder : leur travail est fait. Tout comme chaque personne a un rôle différent à jouer pour cultiver la performance de l’athlète, chaque personne a aussi sa manière d’approcher son travail et de s’investir dans les athlètes qu’ils entraînent. Par contre, une constante demeure : quoique leur objectif premier soit d’aider les athlètes à prendre part aux jeux, leurs cœurs y sont également engagés.

Le lien qui se développe entre le personnel de soutien et les athlètes est de nature professionnelle, mais, avec le temps, ce lien prend aussi une texture personnelle. « On ne peut s’empêcher de se lier émotionnellement », raconte Cara Button, directrice des services holistiques à l’Institut canadien du sport (ICS) de Calgary. « Ce ne sont pas simplement des noms qu’on voit dans les journaux; nous nous sommes investis en eux ». Kelly Quipp, la chef du laboratoire de performance sportive de l’ICS de Calgary acquiesce. « On finit par connaître les athlètes sur de nombreux plans, que ce soit en passant deux heures avec eux au laboratoire à observer leur respiration ou à mesurer leur masse musculaire ou adipeuse (composition corporelle). »

Pour plusieurs, c’est le processus d’aider à construire et à façonner un athlète sur un cycle de quatre ans pour des Jeux olympiques qui motive leur travail. M. David Smith, Ph.D., directeur, Sciences du sport, à l’ICS de Calgary, explique que tout le travail se fait au début et au milieu du cycle, et que c’est ça qui le passionne. « Ce n’est pas le résultat final qui me stimule », indique-t-il. Scott Maw, physiologiste du sport à l’ICS de Calgary, confirme : « Pour moi, le processus est plus important que la performance qui en découle. Si je ne portais attention qu’à la performance, je serais incapable de faire mon travail ».

Tant pour M. Smith que pour M. Maw, la récompense, c’est de voir les athlètes atteindre leur plein potentiel. « La chose la plus gratifiante, c’est de voir l’athlète s’élancer pour faire ce qu’il est censé faire; on ne veut le voir accomplir que ce que l’on sait qu’il peut accomplir », précise M. Smith. M. Maw relate qu’il ressent de la satisfaction « à faire ce que je peux pour aider ces athlètes à aller exécuter ce qu’ils aiment faire sur la plus grande scène du monde ».

Quand elle travaille au laboratoire ou sur le terrain, Mme Quipp précise qu’il s’agit de faire ce qu’il faut faire. « Je suis ici pour faire ce travail et je ne laisse pas l’émotion s’y insinuer, mais quand je regarde des athlètes en compétition, les émotions ressortent et me voilà comme une fière maman à nouveau! » Pour M. Maw, tous les aspects de la tâche sont entièrement intégrés à ce désir d’optimiser la performance. « Il n’y a rien d’autre que je préférerais faire : si ça, c’est de la passion, alors, j’imagine que mes émotions sont toujours en cause. J’essaie simplement d’éviter que les hauts soient trop hauts et les bas, trop bas », dit-il.

Les hauts et les bas sont partie intégrante du sport – pour chaque instant de joie, il peut y en avoir un moment de peine aussi. Mme Button se souvient que « Quand l’équipe masculine de water-polo s’est qualifiée pour les Jeux olympiques de 2008, tout le monde à notre bureau était fou de joie, et, lorsque la quête de l’équipe féminine a échoué en 2010, nous avons tous éclaté en sanglots. Ça va dans les deux sens ».

Cette relation profonde avec leur travail et avec le parcours des athlètes renforce en fin de compte l’incidence des membres du personnel de l’ICS de Calgary tels que M. Smith, M. Maw, Mme Quipp et Mme Button sur le sport au Canada. « Nous avons été formés pour faire notre boulot, mais nous sommes également humains, souligne Mme Button. Nous ne sommes pas de la même famille biologique, mais c’est tout comme. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto
22/06/16 

Ekaterina Zavialova’s Game Plan

As a snowboarder I was elated to be named team alternate for the Vancouver Olympic Winter Games. At that time, I knew I would continue training with the goal of competing in Sochi. Unfortunately, I injured my knee seven months before qualifications. I had spent 15 years of my life pouring my heart and soul into sport and felt like I had nothing to show for it – I was not an Olympian.

Being an observer as my friends lived my dream was exceedingly difficult, but life was about to get even harder. After coming home from Russia, I took stock of my situation. I was 29, Korea was in 4 years, and the possibility of another heartbreak was unthinkable. I was faced with the harsh reality of retirement.

Despite having my Kinesiology degree, something I am really proud I was able to accomplish while competing and completing my yoga teacher training in hopes of finding myself outside of being an athlete, I was still at a loss of what career path might be available to me. I struggled to find a reason to get out of bed in the morning. Nothing was ever going to top the life that I had as a high performance athlete.

In attempts to mask how dejected and lost I felt, I kept myself as busy as I could. At one point I had five jobs. Not knowing what I wanted to do, I did everything, but didn’t fully commit or pursue anything. I was burning out and sadly it was more comfortable than facing my true feelings.

After several tough conversations with Game Plan Advisor, Cara Button at the Canadian Sport Institute Calgary, she forced my hand and made an appointment for counseling. I was diagnosed as clinically depressed. Ironically, the diagnosis was a relief. It meant I was going to get better and there was a reason for feeling the way that I did.

After a few months of transition and career counseling support offered through the Game Plan program, I began to feel better and believed that I was going to overcome this life challenge. As much as I was perplexed about the fact that my perfect career match was bartending... I knew I finally had some answers to my questions.

Soon after, I applied for an extremely competitive job that involved an extensive hiring process. My confidence grew stronger every time I made it through the next level. And just a few weeks ago, I was offered the job of Sales Representative at Bristol-Meyer Squibb - A job I could have only dreamed of a year ago!

Having the support from Game Plan at the Canadian Sport Institute Calgary throughout my transition has truly helped me. If a lesson can be gleaned from my personal experience is that the transition phase does not have to be this difficult. My advice to all athletes is ‘don’t be afraid to ask for help. There are programs and people in place to help you through your transition.’

En route vers le succès avec la Smith School of Business

Nelson Mandela a dit : « L’éducation est l’outil le plus puissant que vous pouvez utiliser pour changer le monde ». L’éducation combinée aux qualités développées dans le sport de haute performance donne sans aucun doute une grande capacité à atteindre le succès dans la vie, et même de changer le monde.

Un partenariat de huit ans entre le Comité olympique canadien et la Smith School of Business de l’Université Queen’s a été conclu en 2015 pour faciliter l’obtention d’une éducation de calibre mondial.

Le programme est offert par l’intermédiaire de Plan de match (propulsé par Deloitte), le programme canadien de mieux-être total des athlètes permettant aux athlètes admissibles (athlètes olympiques, paralympiques et des équipes nationales) de demander des bourses pour suivre divers programmes à la Smith School of Business, y compris une maîtrise en administration des affaires. Plusieurs athlètes de l’ICS de Calgary ont obtenu des bourses d’études complètes pour la Smith School of Business grâce à ce programme, dont Nathaniel Miller (water polo) et Jessica Zelinka (athlétisme).

Elspeth Murray, professeure adjointe et doyenne associée pour les programmes de maîtrise en administration des affaires de la Smith School of Business, affirme que ce partenariat donne une excellente occasion au Comité olympique canadien et à la Smith School of Business d’ajouter de la valeur à leur organisation.

« Le comité olympique canadien et la Smith School of Business ont en commun une culture de haute performance », explique-t-elle. « Chaque partenaire a un approche unique et très efficace et partage ses pratiques gagnantes lors d’ateliers et de réseautage. »

La patineuse de vitesse sur longue piste Lauren McGuire est en transition après avoir passé sa vie dans le domaine du sport de haute performance et figure parmi les athlètes de l’ICS Calgary ayant récemment reçu une bourse d’études pour la Smith School of Business grâce au programme Plan de match, tout comme le sauteur à skis Eric Mitchell qui a gagné une bourse d’études pour le programme accéléré de maîtrise en administration des affaires.

Après deux années de frustration passées à supporter une hernie discale dans son dos, Lauren a réalisé qu’elle devait explorer les options qui s’offraient à elle en dehors du sport. Elle a entendu parler des bourses d’études de Plan de match à l’ICS Calgary et elle a été intriguée.

Lauren, titulaire d’un baccalauréat en sciences biologiques et en italien de l’Université de Calgary, commencera le programme d’un an de maîtrise en administration des affaires en janvier.

Même si elle n’avait jamais vraiment envisagé de faire une maîtrise en administration des affaires (elle voulait aller en médecine ou en médecine dentaire), une expérience de travail en tant que mentor de l’équipe nationale pour filles âgées de 8 à 15 ans participant à des sports d’hiver au sein du programme « Girls Only Athletic Leadership » de WinSport l’a amenée à réaliser qu’elle adorait le mentorat et aider les autres à atteindre leur plein potentiel.

« C’était très engageant d’aider ces filles à persévérer dans le sport, qu’elles soient athlétiques ou non », affirme-t-elle. Elle mentionne également que cette expérience l’a poussée à modifier ses plans. « J’ai compris que je ne me sentirais pas aussi engagée en faisant des chirurgies dans la bouche des gens », plaisante-t-elle.

Elle estime que son engagement à tirer profiter au maximum des ateliers sur les compétences de vie offerts aux athlètes de l’ICS Calgary (comme apprendre à parler au public et l’autopromotion) lui a permis de développer des compétences nécessaires pour le programme de maîtrise en administration des affaires de la Smith School of Business. « Un petit investissement de temps au fil des années m’a permis de bâtir un bon curriculum vitæ, » dit-elle. « Ils cherchaient des gens ayant mes compétences et tout s’est passé très vite ».

Elle affirme que les athlètes de haut niveau possèdent plusieurs des caractéristiques que la Smith School of Business recherche chez ses élèves. « Ils ont des compétences en leadership, sont déterminés, savent collaborer et sont persévérants, » dit-elle. « Nous savons aussi que ces athlètes seront réceptifs à notre approche d’apprentissage en équipe. Ils savent comment contribuer à une équipe de haut niveau et seront un atout dans tous nos programmes. »

Lauren s’intéresse surtout au domaine du développement organisationnel et à l’amélioration des environnements de travail d’équipe dans les entreprises et au sein des ressources humaines. Elle affirme être impatiente de travailler avec des étudiants qui partagent ses idées au sein du programme de maîtrise en administration des affaires. « Je suis heureuse et reconnaissante d’avoir l’occasion de passer d’une super équipe à une autre, » dit-elle.

Dans le cadre du partenariat stratégique de huit ans, jusqu’à 1 200 athlètes de Plan de match sont admissibles à une bourse d’études dans 11 programmes différents. Au cours des deux ans écoulés depuis l’annonce du partenariat, 11 athlètes canadiens ont joint les rangs des diplômés de la Smith School of Business. De plus, 49 athlètes sont actuellement inscrits dans des programmes de maîtrise.

Les bourses d’études couvrent tous les frais des programmes à temps plein de Queen’s de maîtrise en administration des affaires, de maîtrise en administration des affaires accéléré, de la MBA pour cadres, de la MBA pour cadres américains, de la maîtrise en entrepreneuriat et en innovation, de la maîtrise en finances à Toronto, de la maîtrise en gestion de l’intelligence artificielle, du diplôme universitaire supérieur en affaires, du certificat en affaires et de la formation pour cadres.

Les demandes peuvent être envoyées à Plan de match à l’adresse https://www.mygameplan.ca/resources/education . *Les demandeurs ne recevront pas tous une bourse.

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: Dave Holland @csicalgaryphoto
11/10/18

Enseignement et innovation à l’ICS Calgary

L’ICS Calgary s’efforce sans cesse de faire avancer la croissance et le développement de la prochaine génération de scientifiques du sport au Canada. À cette fin, des étudiants en science du sport de partout dans le monde ont cherché à obtenir un stage à L’ICS Calgary pour parfaire leur expérience et leurs compétences. Ils viennent pour tirer un enseignement de la recherche et de l’innovation de l’ICS Calgary, qui appuie les performances des athlètes canadiens, et y contribuer.

Parmi eux se trouve Alanna Weisberg, à qui il reste un semestre à faire pour terminer son baccalauréat spécialisé en biologie et en physiologie de l’exercice à l’Université de Syracuse. Bien qu’elle étudie aux États-Unis, Mme Weisberg se fait un devoir de signaler qu’elle est Canadienne à part entière.

Les raisons qui l’ont motivée à faire un stage à l’ICS Calgary sont à la fois personnelles et patriotiques. « Je voulais utiliser les compétences apprises à l’école au profit de ma croissance personnelle, mais aussi de celle du sport dans mon pays », précise-t-elle.

Collaborant étroitement avec Pro Stergiou, directeur de la biomécanique et de l’analyse des performances à l’ICS Calgary, Mme Weisberg a assumé de nombreux rôles pendant son stage de huit mois. Elle a contribué principalement à un projet de recherche en ski acrobatique appuyé par À nous le podium.

L’étude visait à évaluer et mettre en œuvre une nouvelle technologie qui permettra aux skieurs acrobatiques dans la demi-lune de mieux comprendre et mesurer un aspect de la qualité de leurs sauts : la hauteur. « Il importe de savoir à quelle hauteur le skieur sort de la demi-lune, car c’est un critère majeur de ce sport », explique M. Stergiou. « Cette recherche offre aux skieurs un outil pour évaluer objectivement leurs figures et leurs sauts. »

Mme Weisberg a travaillé à valider la technologie et à recueillir des données dans le laboratoire. Toutefois, les compétences et les connaissances techniques ne sont pas les seules choses que les étudiants comme elle cherchent à obtenir. « J’ai surtout appris à m’adapter au changement », souligne-t-elle. « J’ai appris à mieux communiquer, à travailler de manière autonome, à résoudre des problèmes, à bien documenter la recherche et , plus important encore, à répondre à la question : ‘Pourquoi cela fonctionne-t-il?’ »

Ces compétences aideront Mme Weisberg à être une meilleure étudiante alors qu’elle entame le dernier semestre de son diplôme de premier cycle, mais ce qui l’emballe le plus, c’est de retourner à Calgary en juillet pour commencer ses études supérieures en kinésiologie. Elle attribue à son expérience de stage à l’ICS Calgary la vision et la détermination qui lui manquaient pour vraiment savoir ce qu’elle voulait faire dans le domaine de la science du sport.

L’intégration du sport, de la recherche et de l’innovation à l’ICS Calgary a laissé une forte impression sur Mme Weisberg, qui s’émerveille en pensant aux expériences qu’elle a vécues pendant son stage et qui s’étendent au-delà du milieu universitaire. « Une fois, j’ai eu un problème informatique et un athlète de l’équipe masculine de bobsleigh qui se trouvait là m’a offert de l’aide. Puis, Erica Wiebe est arrivée un jour et m’a demandé si je voulais voir sa médaille d’or olympique. Cela ne pouvait pas arriver ailleurs! », dit-elle en riant.

Pour M. Stergiou, le stage permet à des étudiants performants de faire un excellent travail qui bénéficie autant à eux qu’à l’ICS Calgary, ce qui s’inscrit parfaitement dans l’objectif global de partage et de transfert des connaissances. « Nous sommes des éducateurs. Enseigner et encadrer une nouvelle cuvée de scientifiques du sport fait partie de notre ADN », dit-il. Puis il ajoute : « C’est incroyable qu’ils viennent à nous de partout dans le monde; on sait ainsi qu’ils sont motivés et qu’ils sont ici pour travailler fort. »

La recherche et l’innovation sont des piliers de l’ICS Calgary. Les étudiants d’ici et d’ailleurs facilitent le développement de nouvelles connaissances et leur transfert potentiel au monde du sport.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
11/01/17

Experte dans sa discipline

Carol Huynh est en quelque sorte une femme à tout faire, une experte dans tout : championne olympique, étudiante à la maîtrise, chef de mission adjointe, mentore, défenseure et maintenant entraîneuse en lutte. Sur une période de plus de deux décennies, Carol a perfectionné ses nombreux talents avec détermination et assumé plusieurs rôles différents à sa manière, en faisant preuve d’humilité et en travaillant dur.

De nos jours, il est rare qu’un athlète à la retraite poursuive une nouvelle carrière liée à son sport. « D’autres athlètes ont suivi un parcours semblable à celui de Carol, mais elle se démarque, car de moins en moins d’athlètes continuent de travailler dans le domaine du sport après leur retraite », dit Cara Button, directrice, Relations avec les intervenants à l’ICS Calgary. « Les organisations du système sportif ne réussissent pas toujours à garder les athlètes, mais ces derniers ont beaucoup de connaissances et d’expériences à partager », ajoute-t-elle.

Étant donné que les athlètes qui ont réussi bénéficient de l’expérience et de l’expertise de toute une vie, Mme Button affirme que Lutte Canada a fait du bon travail en trouvant le moyen de garder Carol. Elle est maintenant entraîneuse du programme Prochaine génération de Lutte Canada et elle s’est récemment inscrite pour obtenir le diplôme avancé en entraînement de l’ICS Calgary.

Les expériences de Carol en éducation, en défense de sa discipline et en entraînement n’ont pas toujours fait partie de ses plans. Au départ, elle voulait étudier en psychologie, puis en psychologie sportive et même obtenir une maîtrise en psychologie de l’orientation. Cependant, certains événements survenus après sa retraite l’ont poussée à revenir.

Tout d’abord, lorsque le CIO a voté pour retirer la lutte du programme olympique en 2013, Carol a mené un mouvement international pour que ce sport soit réintégré. Ses efforts ont porté fruit et lui ont permis d’être élue présidente de la nouvelle commission des athlètes de la fédération internationale de lutte.

Ensuite, lorsque le programme Prochaine génération a été mis en place par À nous le podium, Lutte Canada a créé un parcours de perfectionnement et avait besoin d’un entraîneur pour le diriger. Carol a sauté sur l’occasion, car elle voulait redonner à la communauté sportive.

Carol admet avec modestie que sa décision de continuer à œuvrer dans le sport lui semblait être la bonne, au départ, car elle estimait que ce serait facile. « Je ne voulais pas quitter le sport, dit-elle. Ce serait très difficile de l’éliminer de ma vie. » Peut-être que ce choix semblait facile parce que c’était le bon.

Commencer une nouvelle carrière est difficile, étant donné que Carol a déjà été la meilleure lutteuse au monde. « Après avoir vécu si longtemps en ayant le sentiment d’avoir maîtrisé une discipline, le plus difficile est de débuter en tant qu’entraîneuse et de devoir apprendre à devenir la meilleure à ce titre », explique-t-elle. Elle est également très consciente du fait qu’avoir été une bonne athlète ne signifie pas qu’elle sera une bonne entraîneuse. « Je vais devoir travailler », dit-elle.

Elle entreprend donc sa nouvelle carrière d’entraîneuse avec la même éthique et la même détermination qui l’ont aidée à devenir une championne olympique, étudiante à la maîtrise et défenseure accomplie. Elle sait qu’elle devra travailler très dur pour apprendre son nouveau métier et elle est prête à relever le défi.

Quand il est question de poursuivre cette nouvelle étape de sa carrière dans la discipline qui la passionne, Carol est déterminée : « Maintenant, je dois devenir bonne. »

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: Dave Holland @csicalgaryphoto
31/05/17

For the End Game, There’s Game Plan

(left to right: Chandra Crawford, Neil Smith, Blythe Hartley, Will Dutton)

There are many common threads woven among the athlete experience that bind athletes together in an unspoken but profound way: voluntary physical suffering, heart palpitations on the starting line, elation in victory. But perhaps the most shared and unifying thread is the inevitable end game: the end, whether by choice or by fate, of a lifetime dedicated to the pursuit of excellence in sport.

The way of transition is a challenge unlike any other faced in sport; a journey that every athlete must make. Blythe Hartley, 2004 Olympic bronze medalist, describes her transition from diving to the ‘real world’ as the most difficult challenge of her entire career. “I knew I was going to retire after 2008, but I didn’t prepare. I knew it was looming even though I finished on a high and loved my sport. It was a difficult time, I wasn’t clear.”

For Will Dutton, 26, a long track speed skater and CSI Calgary athlete, the end came by choice after a disappointing 2014-2015 season, where love of sport waned and injury swallowed his progress. He pursued carpentry but it wasn’t long before the desire to compete returned. “I missed sport. My love for speed skating came back, but I was also asking myself “Where do I want to go with my life?”

For Hartley, Dutton and countless other CSI Calgary athletes struggling to answer that question there is Cara Button, Game Plan Advisor. Game Plan is Canada’s national athlete total wellness program supporting and empowering high performance athletes to pursue excellence during and beyond their sporting career.

Button nurtures relationships with the athletes throughout their careers, which helps her craft an individual approach to supporting each one through what can be a tough ride from sport to life. “I’m a mom to 300 young adults!” she laughs.

The skills gained from being an athlete endure for a lifetime but transitioning athletes can’t always see or appreciate how to apply them to a new career. It is Button’s job to help athletes realise their potential after sport. “We offer the resources but the onus is on the athlete. Athletes forget that they have all the skills. Sometimes they just need a little push and some one-on-one time to help them focus.” she says.

Neil Smith, the COO of Crescent Point Energy in Calgary, has supported CSI Calgary athletes for years. He is working with Button to help create employment opportunities for current and transitioning athletes. “One of the most important things to me is that athletes are willing to risk failure” he says, “I guarantee that the skills developed as an athlete are specifically those needed in a new career.”

At a recent networking event jointly hosted by CSI Calgary and Crescent Point Energy, current and retired athletes had the opportunity to meet industry professionals and learn some lessons from a panel discussion with Dutton, Hartley and Smith.

For Hartley, now a successful HR Advisor at ARC Resources, the support from Button and the CSI Calgary was invaluable. “I was very lucky to have the support from the CSI Calgary in that time, it was so helpful. It’s possible to get through it.”

With a plan for the future, Dutton is now in school and training for the next Olympics. In his first season back he won five World Cup medals, something he credits to his newfound sense of purpose. “I started to believe in myself. Having something that I believe in made my performance so much better, I had something else to focus on.”

If you are interested in hiring an athlete please contact Cara Button at Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

 

From Olympian to PhD in Leadership Behaviour

Dr. Cari (Read) Din is an Olympic Silver Medallist in synchronized swimming. She also has a PhD in Leadership Behaviour and can link these two achievements to her involvement with the Canadian Sport Institute Calgary (CSIC). Cari believes that the CSIC impacted her synchro career, and now with her knowledge in Leadership Behaviour wants to share her experience to positively influence others.

Din's lifelong relationship with the CSIC began while using the high performance coaching and sports science services to their maximum benefit en route to her 1996 Olympic medal winning performance. She believes that she "took advantage of every service" and was inspired to stay involved in sport beyond her athletic career giving credit to her CSIC employed strength and conditioning coach. He was "the reason I made the [medal winning] team." Noting that she was "shaped by my coaches as much as my parents," this experience catalyzed her curiosity for medal-winning leadership that drove her PhD research.

Cari received the Petro Canada Olympic Torch Scholarship to complete her Master's degree in Motor Learning. Her PhD research focused on the coach and athlete leadership that preceded Canadian Olympic gold medal winning performances in 2010. She has been able to translate her evidence based research into innovative coach development and mentorship.

Wanting to use her experience and education to promote and create highly impactful relationships between coaches and athletes, Din has worked with CSIC staff and integrated support team members to enhance their behaviours and, ultimately, improve athletes' results. She has also spent time facilitating workshops that the CSIC has hosted over the past months, focusing on women's leadership and development with both athletes and staff alike

Like many high performance athletes, Dr. Din has the drive and determination to succeed both in and out of sport. Her evolution through the multi-faceted CSIC channels has allowed her to make significant impacts in high performance sport at every level. From developing athlete to Olympic Medallist, from undergraduate degree to doctorate, and from pupil to advisor, Cari has helped to improve the sport community. Staying involved with the CSIC has been a main goal, in order to give back to the organization that has helped her dreams come true, both athletically and professionally.

Stay in the loop!

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary

Written by Brittany Schussler: @bschussler

Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

Gagner de la bonne façon

(Arianne Jones, Luge)

Dans un monde où nous n’avons jamais été aussi liés les uns les autres, nombre d’entre nous connaissent des moments, des jours, des semaines ou des mois, durant lesquels nous nous sentons complètement déconnectés et totalement seuls. Cette rupture est évidente quand on constate le vaste éventail de problèmes de santé mentale qui existent; parfois, c’est une mauvaise journée, parfois, c’est une sévère dépression.

Dans le sport de haute performance, les athlètes sont en général perçus comme forts et infaillibles. Cependant, comme tout le monde, ils ne sont pas immunisés contre la maladie mentale. De nombreux athlètes sont aux prises avec des problèmes tels que des troubles alimentaires, la consommation de drogues, des troubles anxieux ou la dépression, et ils peuvent être portés à croire qu’ils auront l’air faibles s’ils cherchent de l’aide pour des questions de santé mentale ou d’ordre émotionnel.

Aujourd’hui, cependant, la situation entourant la santé mentale change radicalement. En fait, la maladie mentale constitue maintenant un problème médical légitime et sérieux dans la société.

L’une des meilleures athlètes olympiques du Canada travaille sans relâche pour amener le problème de la maladie mentale à l’avant-plan. Clara Hughes, cycliste, patineuse de vitesse et ancienne de l’ICS Calgary, est la porte-parole depuis maintenant cinq ans de la campagne Bell Cause pour la cause, qui vise à sensibiliser à la maladie mentale et à en effacer les stigmates. En racontant son combat contre la dépression, Clara a donné un côté humain à la maladie mentale et inspiré d’innombrables personnes à s’exprimer et à chercher de l’aide.

À l’ICS Calgary, la santé mentale et le mieux-être constituent depuis longtemps une priorité et le programme Plan de match offre des services de soutien facilement accessibles. « Nous avons toujours fourni des services en santé mentale à nos athlètes », affirme Cara Button, directrice des relations avec les intervenants et administratrice du programme Plan de match. « Les athlètes l’apprécient, car ils ont un endroit où aller lorsqu’ils ont besoin d’aide. Le président et directeur Dale Henwood mérite des éloges pour avoir mis sur pied ce processus. »

Frank van den Berg, directeur de la performance mentale, a travaillé avec son équipe pour intégrer la santé mentale globale dans leur champ de pratique. Cela a donné lieu à la mise en place d’options d’intervention et de programmes dans des secteurs comme l’optimisation de l’amélioration de la performance, la gestion du dysfonctionnement de la performance et le traitement de la perte de performance.

« Nous nous efforçons de “gagner de la bonne façon”, souligne Frank van den Berg. Nous nous attardons au côté humain du sport. » Cette approche holistique permet de veiller à ce que la mentalité « gagner à tout prix » n’entraîne pas le sacrifice de la santé à long terme d’un athlète, de ses relations et de son bien-être.

Frank van den Berg et Cara Button ont constaté que les athlètes parlent de plus en plus facilement de problèmes de santé mentale. « C’est beaucoup plus facile d’aborder le sujet de la santé ou de la maladie mentale aujourd’hui », mentionne Button. « Il y a beaucoup plus d’athlètes qui abordent le sujet avec moi qu’auparavant », ajoute van den Berg. « Je parle de santé mentale régulièrement avec les athlètes; quelle est leur passion, qu’est-ce qu’ils veulent accomplir dans le sport, arrivent-ils à composer avec les attentes et les pressions du sport et de la vie en général? »

Frank van den Berg souligne qu’il est primordial d’intervenir rapidement lorsque des problèmes surviennent. « Il faut souligner le fait que beaucoup de cas peuvent être pris en main efficacement avant que les problèmes ne s’aggravent ». Button acquiesce : « Il est prouvé que la dépression peut être bien traitée si on intervient suffisamment tôt. »

Aujourd’hui, l’ICS Calgary appuie la journée Bell Cause pour la cause en organisant pour ses employés et les athlètes le dîner réconfortant suprême : des « grilled cheese » et de la soupe aux tomates. L’idée est de se réunir l’instant d’un repas, de passer du temps ensemble et de bavarder. C’est simple, oui, mais il faut parfois une expérience communautaire pour que chacun s’ouvre aux autres et partage.

« C’est pour nous une façon d’appuyer la campagne Bell Cause pour la cause et d’encourager ce sens de la communauté à l’ICS Calgary, explique Button. Nous voulons souligner la journée et contribuer à bâtir notre propre communauté. »

Le 25 janvier 2017, Bell versera 0,05 $ de plus pour des initiatives en santé mentale au Canada chaque fois que vous utiliserez les médias sociaux. Pour en savoir plus : Bell Cause pour la cause.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto
25/01/17

Game Plan for the Long Run

Preparing for life after sport is not often at the forefront of athletes’ minds. The pressing demands of training and competition consume the majority of their energy and focus, which leaves little room for professional development outside of sport. However, there is a concerted effort at the CSI Calgary to offer athletes a variety of workshops and seminars through Game Plan with the aim of fostering skill development in areas that will help them thrive once they retire from sport.

Part of Amy Van Buskirk’s job as Athlete Services Coordinator at the CSI Calgary is to educate athletes about the programs available to them and encourage them to sign up. “Although the athletes don’t always have these programs on their radar and sometimes need a little push to sign up they are always so glad they do and are super thankful” she says. Courses offered include Financial Planning, Networking, Public Speaking, LinkedIn, Media Training and Branding & Marketing.

One recently retired athlete needs no push at all – Rudy Swiegers, Pairs Figure Skater and 2014 Olympian, signs up for every course he can. “Right now with any opportunity that comes up I just say ‘Why not?’ It’s good to grow as an athlete and as a person” he says. One of the key benefits that Swiegers has noted is that he can apply the skills he’s learning right away. “The public speaking course gave me skills that I can use in a job interview, where I can come up with ideas quickly and communicate them” he says, which is something he hopes to do in the near future.

For luge athlete Arianne Jones, who is working towards the 2018 Olympics, the courses aren’t only for life after sport. “It’s helpful for the future but it’s also really helpful now” she says. “With these workshops and events I can make connections now that lead to sponsorships during my athletic career as well as potential jobs when I am done.” She also has no concern that preparing for the future will detract from her luge career. “I think it’s a good thing to think about the future and it doesn’t take away from the competitive drive. Working towards the future and being competitive now can exist in synchronicity.”

What the athletes learn can be contagious. According to Van Buskirk, there is a peer-to-peer influence that helps the program grow and reach more athletes. “The athletes see other athletes go to the workshops and share what they’ve learned and that sparks others to get involved. It is absolutely worth their while” she says. Ultimately the goal is to help the athletes develop skills they can use in new careers after sport.

Jones acknowledges that the transition from sport to life will be challenging no matter how many workshops she takes or how well prepared she is. “No athlete quits and says, ‘I came out and things were great!’ That’s nobody’s story!” she laughs. Indeed, that transition can be difficult for many, if not most, athletes. But according to Jones, there is still a lot of value in working on professional development for the future when you’re still an athlete. “It makes you feel like you are doing the right thing now so that when you get there you have some skills and training behind you” she says.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
06/07/16

 

Guidés par les pairs

Après le dernier lancer, la dernière ligne d’arrivée franchie ou la dernière course gagnée, il est temps pour les athlètes de refaire leur vie. Cette transition est facile pour certains, mais pour d’autres, c’est une source de désespoir. Par chance, grâce à Plan de match de Deloitte, de nombreuses ressources sont maintenant à la disposition des athlètes qui prennent leur retraite pour les aider lors des premières étapes de ce changement parfois difficile.

Toutefois, même si Plan de match est là pour aider les athlètes, ces derniers ne sont pas toujours au courant ou n’ont pas le temps d’avoir recours aux services offerts avant leur retraite. Élise Marcotte, responsable du marketing et des communications de Plan de match, a donc élaboré un nouveau projet pilote pour contribuer à établir des liens entre Plan de match et les athlètes.

Ce projet consistera à recruter des Champions qui serviront de modèles dans la communauté Plan de match en partageant leur expérience et en influençant positivement leurs pairs par des actions tangibles de leur choix. La campagne vise aussi à faire connaître le programme au-delà du public actuel de Plan de match au moyen des médias sociaux.

Six Champions ont été choisis à travers le Canada, dont l’olympienne des Jeux de 2012 et 2016 en cyclisme sur piste Monique Sullivan, qui assume le rôle de Championne Plan de match à l’ICS Calgary. Son objectif est d’entrer en contact avec les nouveaux athlètes brevetés et de les encourager à entreprendre des activités en dehors du sport, lesquelles leur seront utiles au moment de la retraite.

Monique affirme être consciente que certains athlètes ne se sentent pas appuyés lorsqu’ils souhaitent faire des activités en dehors du sport, comme des formations ou des possibilités d’emploi. « J’ai toujours eu quelques occupations en dehors du sport afin de garder un certain équilibre lors des épreuves », dit-elle. « Je veux être là pour les athlètes qui souhaitent faire la même chose. »

Le programme pilote se déroulera du 1er mai au 31 juillet. Selon Mme Marcotte, chaque Champion s’occupe d’un projet différent qui fera l’objet d’un suivi pour assurer sa mise en place et dont l’incidence sera évaluée. L’objectif du programme est de faire participer les athlètes et d’encourager le bouche-à-oreille pour qu’ils soient au fait des services offerts par Plan de match.

La plupart des athlètes ne pensent pas du tout à la retraite ou à entreprendre des activités en dehors du sport. D’après Monique, Plan de match est le genre de chose dont on ne saisit pas la nécessité avant qu’il soit trop tard. « Le sport est très demandant et certains athlètes n’arrivent pas à faire autre chose ou n’en ont pas besoin », dit-elle. « Mais ils ne savent pas comment ils réagiront lorsque le sport sera subitement terminé. »

Monique affirme que sa période de transition vers la vie après le sport s’est bien passée. Cet automne, elle entreprendra des études supérieures dans le nouveau domaine de l’éducation en génie et elle travaille actuellement à temps plein en sensibilisation communautaire pour la Schulich School of Engineering de l’Université de Calgary, où elle recrute des femmes au sein du programme de génie.

Elle estime que son engagement à suivre une formation tout en participant aux épreuves, ainsi que l’aide de Plan de match et sa relation avec la conseillère Plan de match de Calgary Cara Button l’ont aidée à trouver sa voie pour la vie après le sport. En tant que Championne Plan de match, elle souhaite maintenant aider les autres à faire de même. Elle résume bien la situation : « L’objectif est de se préparer pour l’inconnu. »

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
07/06/17

Hearts in the Game

There is a moment in sport when everyone but the athlete falls away. All of the people who had input into crafting an athlete for performance excellence – coaches, physiologists, psychologists, strength trainers, physiotherapists – step back to the sidelines, left only to watch, knowing that they have done everything they can to prepare the athlete to have what it takes to perform, to be in the game.

For some, hearts race and butterflies surge; for others, there is cheering and yelling at the TV screen; for others still there is no need or desire to watch at all – the work is done. Just as each person has a different role to play in cultivating the athlete’s performance, they also have different ways of approaching their work and investment in the athletes they train. However, one constant remains: while their primary aim is to help athletes be in the game, their hearts are in it, too.

The bond that develops between support staff and athletes is professional, but over time it becomes uniquely personal, too. “You can’t help but be emotionally connected,” says Cara Button, CSI Calgary Life Services Manager. “They’re not just a name you read in the paper, you’re invested in them.” Kelly Quipp, the CSI Calgary Sport Performance Laboratory Lead, agrees, “You get to know the athletes on many levels, whether it’s spending two hours in the lab watching them breathe or taking measurements of muscle and fat (body composition).”

For many, it is the process of helping build and shape an athlete over a four-year cycle in preparation for an Olympic Games that fuels their work. Dr. David Smith, Director of Sport Science at the CSI Calgary, says all the work is done at the front and middle end of the cycle, and that’s what he is passionate about. “It’s not the end result I find exciting,” he says. Scott Maw, CSI Calgary Sport Physiologist, agrees, “To me the process is more important than the actual performance. If I just focused on the performance, it would be impossible to do my job.”

For both Dr. Smith and Maw, the reward is in seeing the athletes realize their potential. “The most rewarding thing is that an athlete goes out and does what they are supposed to do, you just want them to execute what you know they can do,” says Dr. Smith. Maw says he feels satisfaction “from doing what I can to help these athletes go out there and do what they love on the biggest stage.”

When she is working in the lab or on site, Quipp says it’s about doing what needs to be done. “I’m here to do this job and I take the emotion out of it, but when I’m watching the athletes compete the emotion comes out and I’m a proud mama again!” For Maw, all aspects of the job are fully integrated with his desire to maximize performance. “There is nothing else I’d rather be doing so if that’s passion, then I guess my emotion is always there. I just try not to ride the highs too high or the lows too low” he says.

Highs and lows are part and parcel of sport – for every moment of joy, there can be one of sorrow, too. “When the men’s water polo team qualified for the 2008 Olympics our whole office erupted, when the women’s team pursuit failed in 2010 we all cried over that,” Button remembers. “It goes both ways.”

This deep connection to their work and the athlete journey ultimately strengthens the impact that CSI Calgary staff like Smith, Maw, Quipp and Button have on sport in Canada. “We’re trained to do our job, but we’re people too,” says Button. “We’re not family but we feel like we are.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
22/06/16

 

Heureux d’accueillir les skieurs de slopestyle

L’Institut canadien du sport de Calgary (ICS de Calgary) a récemment remarqué un regain d’énergie rafraîchissant alors que l’équipe de slopestyle a utilisé ses installations dans le cadre d’un camp d’entraînement.

L’équipe a tiré avantage d’un vaste éventail de services de l’ICS de Calgary, y compris des examens physiologiques, des formations de performance mentale, des ateliers sur la nutrition, des évaluations médicales et une présentation sur Plan de match.

Mark Hendrickson, athlète sur l'équipe naitonale, a trouvé l’expérience très enrichissante. Il a indiqué que les faits saillants étaient « d’apprendre des recettes saines que tout le monde peut réussir. Nous avons aussi travaillé Jamie McCartney, entraîneur en musculation et en conditionnement physique. Il nous a enseigné des compétences et des techniques pour améliorer notre entraînement au sol. J’ai aimé son approche en raison de son expérience dans différents sports. »

La championne olympique Dara Howell a aussi utilisé les services de l’ICS de Calgary en plus des installations de WinSport. Elle affirme que les installations d’entraînement ont contribué à son succès aux Jeux olympiques : « Calgary a toujours été un endroit exceptionnel pour moi! L’année des Jeux olympiques, les installations d’entraînement auxquelles j’avais accès étaient fantastiques. C’est vraiment super de voir l’ICS de Calgary et WinSport prendre slopstyle sous leur aile. »

En route vers les Jeux olympiques d’hiver 2018, la plus jeune génération sera probablement en mesure de tirer davantage profit des installations. Des discussions prometteuses ont lieu concernant la possibilité d’offrir un centre d’entraînement entièrement intégré pour les athlètes canadiens de slopestyle, à Calgary. Les avantages de ce type de partenariat sont évidents. WinSport fournit des installations idéales, la WinSport Academy participe en offrant un entraînement technique et tactique, et l’ICS de Calgary répond aux besoins athlètes en matière d’entraînement, de sciences du sport et de services médicaux.

Adrian King, directeur, Sciences sportives et services médicaux, de l'Association canadienne de ski acrobatique, insiste sur le fait que ce partenariat représenterait une excellente occasion pour son équipe. « Nous voulons travailler en étroite collaboration avec l’ICS de Calgary en raison de l’expertise professionnelle des membres du personnel. Ils sont des acteurs de premier plan en matière de services de sciences du sport. De plus, le terrain de WinSport est idéal pour la descente slopestyle. »

Mark est d’accord et affirme : « J’aime l’idée que WinSport soit notre centre d’entraînement à domicile. La piste est de plus en plus grosse et précise chaque année. Toutes les ressources, comme le service de physiothérapie, l’équipement de musculation et les trampolines, sont réunies au même endroit, ce qui est fantastique pour notre développement athlétique. Je suis très heureux de pouvoir utiliser ces ressources. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

Huynh Pins Heart on her Sleeve

The entirety of all that Carol Huynh has ever accomplished in her life made her an ideal choice for the role of Assistant Chef de Mission for Team Canada at the upcoming 2016 Olympic Summer Games in Rio. That the two-time Olympic medalist in wrestling, and CSI Calgary Next Generation coach, was handpicked for the job astonished Huynh, “I was surprised, bigtime surprised! I heard through the grapevine last fall that it might happen, but when the call came in October I was still surprised. It boggles my mind that they chose me.”

It’s a Human Thing

Despite the often accepted notion that athletes are tough as nails and can weather any storm that comes their way, the reality is that athletes can struggle with mental illness too. One in five Canadians suffer from depression, anxiety, substance abuse or other mental health disorders and only one third of those who need mental health services actually receive them. This alarming statistic is the same for athletes: mental illness is as common in athletes as in the general population.

The truth is no one is immune to mental health disorders, including the best performing athletes. It is clearly acknowledged that athletes tend to experience circumstances, pressures and expectations that are very different from non-athletes, which can result in a tendency to minimize signs of weakness and an expectation to push through certain challenges.

Sport subjects a person to a unique set of challenges and circumstances that, at times, negatively impact their mood and functioning. Additionally, there may be subgroups of athletes at elevated risk of mental illness, including those in the retirement phase of their careers, or those experiencing performance failure.

Recently, CSI Calgary staff and sport service providers had the opportunity to learn more about mental health issues and their role as stewards for the athletes they work with. The seminar, hosted by Game Plan Partner, Morneau Shepell – a human resources consulting and technology company that provides employee assistance, health, benefits, and retirement needs – served to educate staff about mental illness, how to recognize warning signs in athletes and what they can do about it.

Through the partnership with Morneau Shepell, Game Plan athletes can access a range of mental health support services. The goal is for staff and service providers to support athletes who may be suffering with mental health issues by building a bridge to professional help.

One of the key messages shared at the seminar was that mental illness is not a sign of weakness and should be taken as seriously as a physical injury. Jay Keddy, Canadian Women’s Alpine Skiing Assistant Coach, says that he is used to dealing with physical injuries in his sport but realizes that mental illness is part of the game too. “This program can help us deal with issues quickly and better than we could on our own. There is some confidence that comes with knowing that this support is available,” says Keddy.

The seminar also served to outline the symptoms of various mental illnesses, such as major depressive disorder, which can help sport service providers recognize warning signs that an athlete may be struggling beyond the day-to-day pressures of the athlete environment. Keddy adds, “Sometimes there are bigger issues than you can deal with in the sport world. It’s not always a sport psych issue, it could be depression or childhood trauma, which is more difficult to address.”

When mental health issues appear there is potentially an immediate impact to performance, but the greater concern is that mental illness will impact the athlete’s life beyond sport. For CSI Calgary Para Medical Lead, Shayne Hutchins, it goes beyond the sport experience. If an athlete shares something with him that causes concern, he will address it with great care. “For me, all of a sudden it’s a human thing, it has nothing to do with sport anymore. It’s about helping the person with their life and what they’re dealing with,” he says.

Tanya Dubnicoff is the Cycling Centre Calgary Athlete Development Lead, a World Champion, World Record Holder and three-time Olympian in track cycling. She remembers reaching out for help during a rough patch in her career. Now as a coach she recognizes the responsibility to care for her athletes and not only focus on training and performance.

Ultimately Dubnicoff says it’s okay to verbalize that something is not feeling right. “It’s the grey area we don’t necessarily talk about,” she says. “We all know to ask ‘how are you doing?’ but this is about caring for the athlete above and beyond their performance.”

Game Plan offers Canadian athletes access to services, resources and programs. Athletes and coaches are encouraged to contact their local Canadian Sport Institute to learn more about athlete eligibility requirements and services available under Game Plan. For more information visit www.mygameplan.ca, in Calgary contact Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
10/08/16

Jesse Lumsden ne laisse rien au hasard

Jesse Lumsden, bobeur ayant deux Jeux olympiques à son actif, s’y connaît en préparatifs. L’ancienne vedette de la LCF a préparé et effectué sa transition du football vers le bobsleigh à temps pour les Jeux olympiques d’hiver en 2010. Aujourd’hui, l’athlète soutenu par l’Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary) se prépare à une autre réorientation professionnelle, passant du monde du sport au monde des affaires.

Avant les Jeux olympiques de Sotchi en 2014, Pacesetter Directional Drilling, dont le directeur financier était Chad Robinson, commanditait Jesse. Dans le but de renforcer leur partenariat, Jesse et M. Robinson se rencontraient une fois par trimestre pour s’entretenir de sport, de travail et de la vie en général. Ils ont discuté de réorientation professionnelle et M. Robinson a senti que la firme Resource Merchant Capital (RMC), qui investit dans le marché pétrolier et gazier privé, conviendrait à Jesse. Celui-ci a saisi l’occasion en décidant de se concentrer sur sa réorientation professionnelle plutôt que sur le sport après les Jeux de Sotchi.

Au sujet de son intégration dans le monde des affaires, Jesse a commenté : « La transition n’a pas été facile. Je n’ai pas fait les études nécessaires et les situations sont parfois hors de mes compétences. Je demande de l’aide aux gens autour de moi et je ne commets pas la même erreur deux fois. C’est un peu comme pratiquer un nouveau sport, il faut simplement utiliser des muscles différents. Il faut y mettre les mêmes efforts et avoir le même engagement, il n’y a que l’objectif qui est différent. J’encourage tous les athlètes à commencer à s’entraîner et à travailler. On ne réalise pas que les carrières sportives passent rapidement, jusqu’à ce qu’elles soient presque terminées. »

Comme les prochains Jeux olympiques d’hiver sont dans seulement deux ans, l’attention de Jesse est de nouveau tournée vers le sport : « Les cinq prochains mois sont très importants pour moi. En juin, je commencerai à m’entraîner à temps plein avec l’équipe de bobsleigh en vue des Jeux olympiques de Pyeongchang en 2018, tout en continuant à travailler pour RMC à temps partiel. Je suis très chanceux, car mon retour au sport n’a jamais été caché et M. Robinson et RMC m’ont toujours soutenu. »

Cara Button, directrice, Relations avec les intervenants de l’ICS Calgary, est impressionnée par la relation bâtie par M. Robinson et Jesse. Elle espère que plus d’athlètes et d’entreprises créeront ces situations mutuellement avantageuses et a souligné : « Plan de match travaille d’arrache-pied pour trouver des possibilités d’emploi flexible pour les athlètes. L’histoire de Jesse montre qu’il y a d’autres façons pour les entreprises de soutenir les athlètes qu’avec des commandites, par exemple en leur offrant un emploi. Jesse a profité d’une commandite pour bâtir une relation. Il n’a pas attendu que sa carrière sportive soit terminée : il ne laisse rien au hasard. »

Pour plus de renseignements sur Plan de match, visitez le site www.monplandematch.ca ou communiquez avec Cara Button à l’adresse Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

John Morris, de l’ICSC, remporte le bronze au Mondial de curling

Le 5 avril, l'athlète de l'Institut canadien du sport de Calgary (ICSC) John Morris a remporté la médaille de bronze au championnat mondial de curling à Halifax, en Nouvelle-Écosse, alors qu'Équipe Canada a battu la Finlande. John faisait partie de l'équipe locale du tournoi, qui s'est déroulé du 28 mars au 5 avril 2015. John, membre de l'équipe ayant remporté la médaille d'or aux Jeux olympiques d'hiver de Vancouver, lance présentement ses pierres en troisième aux côtés de Nolan Thiessen, Carter Rycroft et Pat Simmons.

John a récemment élu domicile dans les installations de l'ICSC du Markin MacPhail Centre pour ses entraînements. Les installations ont été mises en valeur du 8 au 11 janvier, lorsque WinSport a accueilli la Coupe Continental World Financial Group de curling. Le tournoi accueillait des curleurs et des curleuses de tous les coins de la planète. Lors de la compétition, bon nombre des meilleurs curleurs du monde se sont servis de l'établissement de l'ICSC.

John étudie en nutrition et travaille comme pompier pour le comté de Rocky View. Comme athlète, il profite du fait que tous ses besoins sportifs sont satisfaits dans un seul et même endroit. Son programme d'entraînement se compose souvent de séances d'entraînement en gymnase, suivies de traitement par Kevin Wagner, directeur de Physiothérapie de l'ICSC. Il termine son programme dans la cuisine des athlètes, où il prépare sa boisson protéinée post-entraînement, tout en racontant ses expériences aux athlètes canadiens de haut niveau d'une multitude de sports et en se servant d'eux comme source d'inspiration.

L'aventure de l'équipe Simmons a débuté plus tôt cette année par une histoire unique. Ils ont amorcé le tournoi de qualification, le Brier, avec John comme capitaine de l'équipe. Après un départ difficile, John a pris la décision de jouer à une position qui lui était plus familière : troisième. Il a nommé son coéquipier Pat Simmons pour prendre sa place de capitaine. La décision s'est avérée idéale pour l'équipe, qui est parvenue à remporter le Brier, puis le bronze au championnat mondial.

Grâce à sa victoire au Brier, l'équipe Simmons est automatiquement qualifiée pour l'événement l'an prochain. La défense de son titre fera assurément partie du plan à long terme de l'équipe qui consiste à s'entraîner et à participer à des compétitions ensemble dans l'optique de représenter le Canada aux Jeux olympiques d'hiver de 2018 en Corée. John prévoit tirer profit de la combinaison des installations et des services de l'ICSC au cours du cycle quadriennal et souhaite emmener ses coéquipiers à Calgary pour les camps d'entraînement afin qu'ils profitent eux aussi des avantages de l'établissement.

L'ICSC se réjouit de la présence d'un athlète de classe mondiale d'un sport de plus, qui récolte les avantages que l'Institut a à offrir, tout en inspirant les athlètes de son entourage. Félicitations à John et au reste d'Équipe Canada.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary

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Kelly Anne Erdman : une pionnière

L’Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary) félicite Kelly Anne Erdman pour sa récente publication, un exploit qu’elle qualifie de « plus grande réalisation de ma carrière ». Mme Erdman fait profiter les athlètes canadiens de ses vastes connaissances depuis plus de 20 ans. Mme Erdman, toujours au fait des recherches de pointe, a occupé le poste de diététiste en nutrition sportive aux Jeux olympiques de 2012 et de 2014 ainsi qu’aux Jeux panaméricains de 2011.

Elle a commencé à travailler à l’ICS Calgary en 1994, elle est une véritable pionnière dans le domaine de la nutrition sportive. Ancienne athlète olympique en cyclisme sur piste, Mme Erdman demeure toujours au sein de l’ICS Calgary, travaillant majoritairement avec l’équipe de patinage de vitesse et Hockey Canada comme diététiste en chef pour les programmes de hockey sur luge et de hockey féminin, et comme conseillère pour l’équipe masculine. Elle agit également comme conseillère pour de nombreux sports, dont la luge, l’heptathlon et le ski nordique.

En ce qui a trait à sa récente publication, Mme Erdman a été spécialement choisie par les Diététistes du Canada pour coécrire l’exposé de position de février 2016 intitulé La nutrition et la performance athlétique : position des Diététistes du Canada, de l’Academy of Nutrition and Dietetics et de l’American College of Sports Medicine. La publication se veut un rapport détaillé du rôle primordial de la nutrition dans le sport de haut niveau qui expose le savoir-faire des auteurs en brossant le tableau des recommandations faites aux athlètes en matière de nutrition.

Mme Erdman fait partie des trois auteurs qui ont récrit cet exposé de position pendant plus d’un an et demi, en s’appuyant sur des preuves actuelles. Ce sont l’Américain D. Travis Thomas de l’Academy of Nutrition and Dietetics et l’Australienne Louise M. Burke représentant l’American College of Sports Medicine qui complétaient le trio d’auteurs. Comme la science et le sport sont en constante évolution, c’est la troisième fois qu’on récrit l’exposé afin d’y mettre les renseignements à jour. Publié la fois précédente en 2011, l’exposé de position commune sera récrit en 2019.

Mme Erdman mentionne que cette refonte est davantage axée sur le besoin de personnaliser la nutrition des athlètes. Elle croit que les athlètes et leurs équipes de soutien doivent absolument savoir comment les besoins nutritionnels d’un athlète varient quotidiennement. Si elle n’avait qu’un seul conseil à donner à ses collègues diététistes en nutrition sportive, ce serait de personnaliser le message en fonction des besoins de chaque athlète.

Somme toute, Mme Erdman laisse transparaître son amour pour son métier et joue un rôle primordial dans le succès des athlètes canadiens. À l’ICS Calgary, on sait très bien que cette reconnaissance est plus que méritée, mais Mme Erdman demeure humble : « C’est un immense honneur de représenter les Diététistes du Canada, et on ne m’aurait pas donné cette occasion si je n’avais pas été affiliée à un institut de sport de haut niveau comme l’ICS Calgary. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

Kirsti Lay and Allison Beveridge Start the Cycling Season with World Cup Silver

The Canadian Sport Institute Calgary’s (CSIC) Athlete Development Project achieved its first international success on November 8 when Kirsti Lay won a silver medal at World Cup #1 in Guadalajara, Mexico. Lay joined the 2014 World Championship silver medalists to start off the season after being a competitive track cyclist for only two years.

Lay, a former speed skater, was forced to retire from skating in 2012 due to injury problems. Knowing that speed skaters have a long history of moving successfully to the velodrome, CSIC Athlete Development Manager Paula Jardine approached her about transferring her skills to the bike through the Athlete Development Project. The program is an initiative of the Canadian Sport Institute Calgary whose objective is to identify and fast track the development of targeted athletes into national team programs.

Lay is grateful for the opportunity to accelerate her progression as an elite athlete in another sport, saying, “Being a part of the CSIC’s development program really gave me the first step into track cycling and allowed me to see my potential in this sport. Under the guidance of Dr. David Smith, Director of Sport Science, coach Phil Abbott, and the entire sport science lab, I had a successful transition from speed skating. They identified my cycling weaknesses and continually tested and monitored my training to give me the best chance of performance. Without them, I would never have tried cycling."

CSIC is pleased to have more representation on the medal winning cycling team than their Athlete Development Project athlete. Lay joinedanother CSIC rider, Allison Beveridge, to team up with veteran track team members Stephanie Roorda and Jasmin Glaesser.

Despite being just 21-years-old, Beveridge has been a CSIC athlete for five years and has both World Cup and World Championship medals to her credit. She knows how fortunate she is to have grown up in a city where she has the opportunity to work with the Canadian Sport Institute, saying the “CSI has helped me over the past five years to provide me with a training environment in Calgary, a city that is not always ideal for riding. The services they offer have helped me make the jump onto the elite national team and continue to help me develop as a rider and athlete. Recently I have started training with a strength coach out of the CSIC that has helped me become a more balanced athlete both on and off the bike.”

The team’s next stop is World Cup #2 in London, England at the beginning of December, while their major focus for the season is on winning another medal at the World Championships in Paris in February.

To find out more on the Athlete Development Project please contact Paula Jardine, Athlete Development Manager, at (403) 819-1960.

Stay in the loop!

Writer Brittany Schussler: @bschussler
Photo Credit: Dave Holland @csicalgaryphoto
Kirsti Lay: @layk88
Allison Beveridge: @Not_Alli_Bev

Kirsti Lay et Allison Beveridge amorcent la saison en raflant l’argent à la Coupe du monde de cyclisme

Le projet de perfectionnement des athlètes de l'Institut canadien du sport de Calgary (CSIC) a connu son premier succès international le 8 novembre. Kirsti Lay a en effet remporté une médaille d'argent à la première manche de la Coupe du monde à Guadalajara au Mexique. Lay s'est jointe aux médaillées d'argent des Championnats du monde de 2014 pour amorcer la saison après être devenue cycliste sur piste de compétition depuis seulement deux ans.

Ancienne patineuse de vitesse, Lay a été forcée à la retraite en 2012 à cause de blessures. Sachant que les patineuses de vitesse passent souvent aisément au vélodrome avec succès, Paula Jardine, directrice du perfectionnement des athlètes de l'ICSC, a suggéré à Lay de transférer ses aptitudes du patinage au vélo grâce au projet de perfectionnement des athlètes. Le programme, initiative de l'Institut canadien du sport de Calgary, vise à dénicher des athlètes ayant le profil approprié et à en accélérer le perfectionnement au sein des programmes des équipes nationales.

L’équipe de canoë-kayak – slalom de l’Alberta profite des conseils de spécialistes de renommée mondiale

L'équipe de canoë-kayak – slalom de l'Alberta dirigée par Michael Holroyd, entraîneur-chef de haute performance, s'est grandement améliorée, principalement en raison de son partenariat avec le Alberta Sport Development Centre (ASDC) de Calgary et l'Institut canadien du sport de Calgary (ICSC).

Le groupe d'entraînement diversifié qui utilise ce partenariat depuis 2009 est actuellement formé de 18 athlètes à divers niveaux de développement. Le groupe comprend cinq athlètes de haut niveau, trois athlètes un tiers sous la barre de haut niveau et dix athlètes supplémentaires qui ont brillant avenir devant eux. Nous avons tous constaté les avantages issus de la mise en commun des ressources de ce partenariat unique entre les organisations qui visait à offrir le plus important niveau de soutien possible au lieu de diviser leurs contributions respectives, ce qui était beaucoup moins efficace.

L’institut canadien du sport de Calgary prêche par l’exemple

L'institut canadien du sport de Calgary (ICSC) est reconnu pour son excellence dans plusieurs domaines du développement des athlètes. C'est en raison de cette reconnaissance que l'ICSC s'est habitué à faciliter les occasions d'apprendre et d'échanger des renseignements avec de nombreux représentants d'autres organismes de sports, tant à l'échelle nationale qu'internationale. Dale Henwood, président et directeur général de l'ICSC, tire une grande fierté de la capacité de l'Institut à aider les autres institutions à faire progresser leur éducation sportive. Il mentionne que les gens demandent à venir à l'ICSC parce qu'il est « réputé pour posséder une excellente expertise, d'excellents programmes, un passé influent et des réussites répétées en matière de performance ».

L’union fait la force

Dans le passé, les meilleurs espoirs canadiens de skicross s’entraînaient seuls, chacun dans leur coin de pays. Les skieurs étaient isolés les uns des autres, s’entraînant en solo et défrayant eux-mêmes les coûts d’accès aux installations et aux programmes spécialisés.

Le parcours en solitaire s’avère coûteux et ardu, et ne favorise pas vraiment la dynamique d’équipe et la création d’une équipe forte et compétitive. Heureusement, tout ça est en train de changer.

Alpine Canada Alpin et le programme de skicross national ont créé un programme centralisé d’entraînement et d’éducation à Calgary, ce qui permet aux athlètes de poursuivre à la fois leurs études et le sport de haut niveau. Le programme est destiné aux athlètes de skicross de partout au Canada qui sont à entre trois et six ans d’un succès olympique.

Les athlètes pourront profiter des installations d’entraînement de Calgary, dont l’Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary) et les stations de ski locales, et des services intégrés tout en terminant leur parcours scolaire.

L’ICS Calgary appuie vivement cette initiative. Jason Poole, directeur des services à la performance, nous a expliqué : « Nous sommes ici pour aider l’équipe et lui offrir tout ce dont elle a besoin pour profiter d’un environnement d’entraînement de haut niveau. La proximité de la National Sport School et des universités et des collèges de la région contribue aussi à l’atteinte des objectifs scolaires. »

Willy Raine, directeur sportif du skicross d’Alpine Canada Alpin, tente de réaliser cet objectif depuis son entrée en poste il y a deux ans. Pour lui, ça signifie bien plus que de regrouper les athlètes pour l’entraînement. « L’éducation est un élément central de ce programme, a-t-il souligné. Mon objectif, c’est que 75 % de l’équipe se lance dans des études postsecondaires. Ce modèle rendra les athlètes meilleurs, en plus de leur offrir une vie plus équilibrée. »

Ce n’est pas tout, l’entraînement en équipe vient s’ajouter aux avantages d’une équipe centralisée. Il améliore la dynamique d’équipe et crée un environnement où les athlètes s’appuient les uns les autres.

Kevin MacDonald, membre de l’équipe Prochaine génération, mentionne que, vu que l’équipe s’entraîne ensemble, les athlètes s’incitent mutuellement à se dépasser en gymnase, ce qui était impossible par le passé. « Nous nous encourageons à aller plus loin dans le gymnase, a-t-il mentionné. Si je vois quelqu’un soulever une certaine charge, je vais tout faire pour égaler ou améliorer sa marque, ça m’encourage à travailler plus fort. »

Pour M. Raine, l’objectif principal est de poursuivre la domination sur la scène internationale, tout un exploit pour un petit programme déjà au premier rang mondial. « En fin de compte, centraliser l’équipe nous donnera un avantage : plus l’équipe sera forte collectivement, plus nous serons prêts à prendre le monde d’assaut. Quand l’un de nous gagne, tout le monde gagne. »

La centralisation se justifie en partie par la viabilité financière. Un programme centralisé qui offre l’entraînement en gymnase et sur la neige dans une seule région réduit de beaucoup les coûts pour l’athlète et pour l’organisme. Selon M. Raine, c’est tout simplement impossible financièrement de créer des programmes dans plusieurs centres de ski d’un bout à l’autre du pays. « Nous devons les regrouper pour leur offrir le développement dont ils ont besoin. Nous devons pousser par le bas pour assurer la croissance continue du programme. »

L’un des objectifs de ce nouveau programme est de développer des athlètes pour qu’ils aient déjà un niveau élevé quand ils passent des compétitions de la Coupe Nor-Am et de la Europa Cup à celles de la Coupe du monde. « Nous voulons condenser la phase de développement pour qu’au moment de passer en Coupe du monde, les athlètes Prochaine génération soient prêts à se classer parmi les 16 meilleurs, de participer aux finales », a déclaré M. Raine.

Kevin est reconnaissant d’avoir l’occasion de s’entraîner avec son équipe et d’aller à l’école. « Maintenant que nous faisons tous la même chose, nous pouvons nous identifier aux autres, ça rend l’équipe meilleure. »

M. Raine est lui aussi heureux de voir son idée prendre forme. Il croit fermement qu’ils sont sur la bonne voie pour développer des champions de skicross et de brillants étudiants. « Nous devons les aider à se préparer à la vie, pas seulement au sport. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo: Alpine Canada Alpin
19/10/16

La chose à faire

L’influence d’un entraîneur sur un athlète est immense. L’entraîneur contribue directement à l’expérience de l’athlète et a sans aucun doute l’incidence la plus grande sur le déroulement de sa carrière en favorisant son épanouissement et sa réussite, et en orientant ses performances. S’assurer que l’expérience demeure positive et encourageante est une énorme responsabilité pour chaque entraîneur.

Récemment, cette responsabilité s’est vue renforcée par une nouvelle initiative coordonnée par l’Association canadienne des entraîneurs (ACE) et le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES). Le mouvement Entraînement responsable (MER) s’applique à l’ensemble du système et aborde le rôle de l’entraîneur quant à la santé et la sécurité des athlètes, tant dans le sport que dans leur vie personnelle.

On encourage les organismes de sport de tous les échelons (national, provincial, territorial et communautaire) à déclarer leur engagement et à adopter les nouvelles politiques pour assurer l’influence positive des entraîneurs sur les athlètes et le sport canadien. Dernièrement, l’ICS Calgary est devenu le premier organisme multisport du Canada à le faire.

Par cet engagement, l’ICS Calgary promet de mettre en place des politiques et des procédures de soutien qui s’alignent sur les trois sphères clés du mouvement : la règle de deux, la vérification des antécédents (dont le casier judiciaire) et la formation sur le respect et l’éthique. La règle de deux vise à protéger les athlètes mineurs dans des situations de vulnérabilité potentielles en garantissant la présence de plus d’un adulte aux compétitions ou aux camps d’entraînement.

Dale Henwood, président et chef de la direction de l’ICS Calgary, voit le MER comme une occasion pour l’Institut et ses entraîneurs de maintenir les normes les plus élevées en matière de bien-être des athlètes. « Le MER contribue à la profession d’entraîneur, pour assurer que nos athlètes collaborent avec de bonnes personnes qui font preuve d’éthique », a déclaré M. Henwood.

L’ICS Calgary a toujours cherché à offrir un environnement motivant, positif et agréable aux athlètes. M. Henwood précise que l’entraîneur est essentiel à la création d’un tel environnement. « Nous voulons assurer la sécurité des athlètes et protéger les entraîneurs, a mentionné Jason Sjostrom, directeur du programme d’entraînement de l’ICS Calgary. L’ICS Calgary se doit d’appuyer ces politiques. » De plus, le MER peut sensibiliser davantage les employés et les bénévoles du milieu sportif. Selon M. Sjostrom, « en cas de manquement, on peut s’appuyer sur le mouvement pour dire : “ce n’est pas correct”. Le MER exige cette responsabilité. »

À ce jour, le MER connaît beaucoup de succès, ayant obtenu l’engagement de plus de 40 clubs communautaires et organismes nationaux, provinciaux et territoriaux de sport. Luge Canada a été l’une des premières ONS à déclarer son engagement et depuis, neuf autres lui ont emboîté le pas. L’objectif à long terme est d’obtenir l’engagement de toutes les ONS.

Essentiellement, le MER veut offrir une expérience sportive positive aux athlètes de tous âges, des programmes locaux et communautaires au sport élite de haut niveau. M. Henwood indique que depuis le début, l’ICS Calgary a tout mis en place pour assurer l’influence positive des entraîneurs sur les athlètes.

Bref, le MER incarne la rectitude. M. Henwood n’a pas hésité une seconde à déclarer son engagement. « Lorsque nous avons amené l’idée au conseil, nous étions convaincus que c’était la chose à faire. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto
29/03/17

La crème de la crème : Revue de l’année 2016

L’année 2016 a été mémorable dans le monde du sport. Les Jeux olympiques et paralympiques de 2016 en ont constitué l’événement marquant et nous avons aussi été témoins de performances exceptionnelles en sport d’hiver, ce qui nous a laissés en appétit à la veille des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2018.

Nous avions l’embarras du choix en ce qui a trait aux histoires à raconter. Vous trouverez ci-dessous une sélection des faits saillants d’intérêt humain et des performances issus de l’ICS Calgary :

5. Mike Sametz : Le jeune loup paracycliste remporte le bronze à Rio

Dans un sport paralympique habituellement dominé par les vétérans dans la trentaine et même la quarantaine, ce cycliste de 20 ans a rapidement gravi les échelons, remportant le bronze à la course contre la montre individuelle aux Jeux paralympiques de 2016. Il est monté pour la première fois sur un podium international aux Jeux parapanaméricains de 2015 avec une médaille d’argent, qui a mené à sa toute première distinction en coupe du monde, soit une médaille de bronze à la Coupe du monde de 2016 en Belgique.

4. Tara Whitten surmonte tous les obstacles, guérit vite et triomphe à Rio

Après un accident grave et bizarre à vélo pendant une sortie au camp d’entraînement à Rio en mars, Whitten s’est remarquablement remise d’une commotion et d’une fracture à un os du cou. Elle a été en mesure de s’entraîner sur un vélo adapté, conçu et fabriqué par un physiologiste de l’exercice de l’ICS Calgary, ce qui lui a permis de se tenir droite sur son vélo pour se protéger le cou. En dix semaines, Whitten a pu développer son endurance et reprendre la compétition sept jours après avoir enlevé son collier cervical. Plusieurs semaines plus tard, elle dominait les Championnats nationaux et se qualifiait pour les Jeux de Rio. Whitten s’est classée 7e à la course contre la montre individuelle; un résultat fantastique pour une athlète qui a persévéré avec une farouche détermination malgré une blessure.

3. Ivanie Blondin : L’étoile du départ groupé

Blondin a fait ses débuts en patinage de vitesse sur courte piste, s’exerçant ainsi à patiner en groupe. Cette expérience l’a bien servie dans une nouvelle épreuve de patinage de vitesse sur longue piste : le départ groupé. Elle a battu sa rivale néerlandaise, Irene Schouten, aux championnats du monde de distances individuelles, revenant à la maison avec une médaille d’or autour du cou. Blondin connaît le succès encore une fois cet automne : deux médailles d’or et une médaille d’argent à ce jour en départ groupé chez les dames.

2. Le prestigieux prix Oscar Mathisen remis à Ted Jan Bloemen

Né aux Pays-Bas, mais maintenant citoyen canadien, Ted Jan Bloemen est une bénédiction pour l’équipe masculine de patinage de vitesse sur longue piste. En 2015, il a fracassé le record de longue date de son ancien compatriote, Sven Kramer, au 10 000 m par presque cinq secondes. Pour ses efforts, Bloemen a reçu le prix Oscar Mathisen 2016 pour la performance de patinage de vitesse la plus remarquable de la saison dans le monde. Il est le 5e Canadien à remporter ce prix en 57 ans. Bloemen a continué à mener l’équipe masculine, décrochant une médaille d’argent au 10 000 m, et une de bronze en poursuite par équipe aux championnats du monde de distances individuelles de 2016.

1. Erica Wiebe lutte à s’en arracher le cœur

Une des images les plus marquantes d’une athlète canadienne aux Jeux olympiques 2016 de Rio est celle d’Erica Wiebe, se tenant debout au sommet du podium, une médaille d’or autour du cou, chantant l’Ô Canada, les larmes ruisselant sur son visage. La performance en or de Wiebe était un exemple remarquable de préparation, d’exécution et de confiance. Toujours le cœur sur la main, Wiebe a livré une performance dominante et inspirante.

D’autres histoires dignes de mention de l’ICS Calgary :

Performances olympiques et paralympiques de Rio : Voici les athlètes soutenus par l’ICS Calgary ayant remporté une médaille à Rio : Allison Beveridge, Stefan Daniel, Jennifer Kish, Stephanie Labbe, Kirsti Lay, Alister McQueen, Mike Sametz et Ashley Steacy.

Retour après une blessure : Dustin Cook, ski alpin, qui s’est déchiré le ligament latéral interne du genou en 2015, et Denny Morrison, patinage de vitesse, qui a frôlé la mort dans un accident de moto en 2015 et qui a été victime d’un accident vasculaire cérébral en 2016 sont deux athlètes remarquables qui effectuent un retour à l’hiver 2016-2017.

Transfert de talent : Kate O’Brien et Kirsti Lay, qui pratiquaient un autre sport, sont toutes les deux passées au cyclisme. Les deux se sont qualifiées pour les Jeux olympiques d’été de Rio, Kirsti remportant une médaille de bronze en poursuite par équipe.

Balayage en luge : Alex Gough et Kim McRae en décroché l’argent et le bronze à la Coupe du monde de Lake Placid, puis l’or au relais par équipe.

Médaille de bronze historique en biathlon : L’équipe masculine de biathlon a remporté la toute première médaille du Canada en relais aux championnats du monde dans la capitale de ce sport, Oslo, en Norvège.

Assistant Chef de Mission : Carol Huynh, entraîneur en lutte Prochaine génération de l’ICS Calgary et champion olympique en 2008, s’est joint à Équipe Canada à Rio à titre d’assistant Chef de Mission.

Les étoiles de CBC : Six anciens de l’ICS Calgary étaient présentateurs à Rio : Blythe Hartley, Clara Hughes, Kyle Shewfelt, Mike Smith, Mark Tewksbury et Kelly VanderBeek.

La série de podiums de Humphries se poursuit : Kaillie Humphries et Melissa Lotholz ont décroché l’argent aux championnats du monde de Bobsleigh.

Nouvelle étoile du Bobsleigh : Cynthia Appiah a établi un nouveau record de départ à sa toute première coupe du monde avec sa nouvelle partenaire, Kaillie Humphries.

Nouveautés à l’ICS Calgary en 2016

Activités de réseautage Plan de match : L’ICS Calgary a organisé deux activités de réseautage Plan de match à Crescent Point Energy. Plus de 75 athlètes membres de l’ICS ou anciens ont participé à chacun des événements.

Partage des connaissances : 15 professionnels de l’ICS Calgary étaient conférenciers à la conférence SPIN de 2016 d’À nous le podium.

Recherche sur les commotions : Lancement du robot KINARM, recherche du Dr Brian Benson, directeur de la médecine sportive à l’ICS Calgary, appuyée par l’ICS Calgary, À nous le podium, WinSport, le Hotchkiss Brain Institute, Mitacs Acelerate-Récompense ANP pour une recherche postdoctorat pour le Dr Tara Whitten.

Formation : Cours sur la force et la performance donné en mai.

Entraîneurs : L’ICS Calgary est devenu un centre régional pour les services d’entraînement avec une nouvelle plateforme D2L.

Nouvelle responsable : Tanya Dubnicoff, une des cyclistes canadiennes les plus décorées de l’histoire, a joint les rangs de l’ICS Calgary en janvier 2016 à titre de responsable du développement des athlètes, Cyclisme.

Reconnaissance : Le personnel de l’ICS Calgary a été reconnu pour ses réalisations – Phil Abbott s’est vu décerner le Prix d’excellence Petro-Canada aux entraîneurs pour son travail avec le cycliste paralympique Mike Sametz; L’exposé de position de Kelly Ann Erdman de février 2016 intitulé « Nutrition and Athletic Performance: Position of Dietitians of Canada » (La nutrition et la performance des athlètes : la position des diététistes au Canada), a été publié par l’Academy of Nutrition and Dietetics et le American College of Sports Medicine.

Travaux pratiques et stages : L’ICS Calgary a appuyé 13 étudiants et un stagiaire dans le but d’intégrer les connaissances et l’expérience de l’ICS Calgary, d’enseigner aux étudiants, aux entraîneurs et aux professionnels de la science sportive dans les domaines de la préparation physique, de la science du sport, de la biomécanique et de la nutrition, afin de contribuer à faire monter les Canadiens sur le podium.

Technologie : L’ICS Calgary a lancé Edge 10, une plateforme Web, pour capturer, gérer et enregistrer les renseignements de l’environnement d’entraînement quotidien et les données paramédicales. Les utilisateurs seront : les FNS, les athlètes, les entraîneurs et les fournisseurs de service.

Nouveaux programmes : Programmes Prochaine génération en ski cross, parc à neige et demi-lune.

Partenariats : Le Centre de développement sportif de l’Alberta et l’ICS Calgary ont joint leurs efforts pour soutenir un nouveau programme d’entraînement des sports paralympiques.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto
16/12/16

La journée Plan de match au Canada de Melanie McCann

Les jours de compétition n’ont pas de secrets pour moi. Je me lève tôt le matin et me remémore mes objectifs pour les 12 prochaines heures. Puis, je prépare du café et attache mes cheveux en queue de cheval. D’une certaine façon, la journée d’aujourdʼhui me semblait familière. Jʼai troqué mes vêtements à lʼeffigie d’Équipe Canada pour une tenue professionnelle, et plutôt que de rouler ma gaine dʼescrime dans la salle de compétition, jʼai pris l’ascenseur jusquʼaux bureaux de Deloitte qui surplombent le centre-ville de Calgary. La journée Plan de match représente un tout nouveau départ. C’est une expérience de bureau immersive pour les athlètes olympiques, paralympiques et de lʼéquipe nationale, qui leur permet de réfléchir à la suite de leur carrière et à la vie après le sport.

À 8 h 45, je suis entrée dans la salle de conférence où se trouvaient 16 collègues canadiens. Jʼai balayé la salle du regard à quelques reprises pour bien les replacer sans leur lycra, leur habit de patinage de vitesse et leurs skis. Les membres de lʼéquipe de Deloitte nous ont accueillis chaleureusement et présenté leur environnement de travail, ainsi que la façon dont ils aident des gens provenant de différents milieux à s’épanouir à leur façon. Ils ont souligné la force dʼun milieu de travail non traditionnel et d’une culture de haut rendement. Le regard des athlètes sʼest immédiatement illuminé et je crois que ça a ouvert un monde de possibilités dans la salle. Deloitte a ensuite présenté lʼhoraire de la journée : conférenciers, observations en milieu de travail, réseautage et entrevues simulées.

Nous avons commencé avec la portion observation en milieu de travail. Jʼai rejoint Tynan Wenarchuk, un analyste en consultation chez Deloitte. Je me suis pointée à son bureau, toute enchantée à l’idée de le suivre pour la matinée. Lorsque je suis arrivée, il était déjà au téléphone avec des employés de Deloitte de partout au Canada en train de discuter de la meilleure façon de livrer leur message au client dont il faisait la promotion. Jʼai été surprise de voir à quel point lʼappel fut interactif et productif. Avec toutes ces personnes sur la ligne, je ne mʼattendais pas à ce que lʼéquipe arrive à trouver autant de mesures à prendre et d’idées pour le client. En tant quʼathlètes, nous sommes souvent appelés à travailler efficacement en équipe afin d’exceller malgré la pression. Jʼai rapidement réalisé qu’il est possible de mettre à profit les compétences que jʼai acquises en tant qu’athlète pour servir un autre type dʼéquipe.

Nous avons ensuite procédé à une entrevue simulée. On mʼa posé toutes les questions habituelles, et malgré mes rares expériences de travail, jʼai été capable de communiquer mes forces, mes aptitudes en résolution de problèmes et ma capacité à surmonter les épreuves aisément, et ce, en me servant d’exemples tirés de mon parcours olympique. En approfondissant le lien entre ce que jʼai à offrir et ce que recherchent les employeurs, jʼai rapidement réalisé que les entrevues nécessitent des réponses concises et réfléchies. Tout comme cʼest le cas dans le domaine du sport avec nos équipes et nos entraîneurs, communiquer efficacement permet d’obtenir des résultats.

Pour finir, nous avons participé à l’activité de réseautage éclair de l’événement. Nous avons dû passer cinq minutes avec divers clients et partenaires de Deloitte. En écoutant leurs différents parcours, il est devenu évident qu’il nʼexiste pas de chemin tout tracé, mais seulement un fil conducteur reliant les différents parcours. La résilience, le travail acharné et la recherche d’occasions ont marqué le parcours de chacun de ces grands joueurs dans leur différent domaine dʼactivités, et il sʼagit là de valeurs qui se trouvent au cœur du parcours des athlètes.

Après l’avant-midi bien rempli passé aux bureaux de Deloitte, jʼai enfilé mes souliers de course pour réfléchir à tout ce que jʼavais appris au courant de la journée. Ce que je retiens tout particulièrement de ma journée Plan de match, cʼest qu’il est possible d’utiliser les importants acquis intangibles que j’ai perfectionnés au cours de mon parcours olympique, même dans le cadre de ma vie après le sport. Qu’il s’agisse dʼutiliser mes compétences en travail dʼéquipe dans la salle de conférence ou mes aptitudes en communication lors d’entrevues plutôt que de négociations avec les entraîneurs, les parallèles sont évidents. En me servant d’expériences intéressantes acquises grâce au sport, je peux apporter un point de vue unique lors de réseautage. Mes nombreuses années dʼexpérience sportive représentent un excellent tremplin vers le succès sur le marché du travail.

Je désire remercier Plan de match et Deloitte Canada d’avoir organisé cet événement. Je ne manquerai certainement pas de participer à d’autres événements dans le futur!

Melanie McCann
Athlète olympique de 2012 et 2016
Pentathlon moderne

Photo: Jared Armstrong

Lasting Partnership Proves Successful for Michael Sametz

CSICalgary MikeSametz-1465Calgary's Michael Sametz is looking towards the 2016 Paralympic Games. After his recent breakthrough winning both the Time Trial and the Road Race at the National Championships in Lac-Mégantic, Quebec, the 18-year-old has every reason to be optimistic that he will be a part of the team representing Canada in Rio de Janeiro.

Sametz's success has been meaningful not only for himself as an athlete, but for his training program as a whole. As part of an identified talent group, Sametz, who is coached by Nick Jendzjowsky, is the first athlete to graduate on to the National Cycling Team. The timing could not be better, according to the program's founder Stephen Burke, who notes that the combination of funding and support from the Canadian Sport Institute Calgary and Alberta Sport Development Centre (ASDC) "was a catalyst" to Sametz's success.

Burke's training group, the Calgary Cycling Centre based out of the Calgary Olympic Oval, is funded as a unique partnership between the Canadian Sport Institute Calgary and the ASDC Calgary Region. Now entering into its fourth year, Sametz's success indicates that the system is beginning to flourish.

The partnership has combined the resources that each institution would have provided separately in order to create a program that is greater than the sum of its parts. Whereas typically the Canadian Sport Institute would be able to provide some sports science, nutrition, and sport psychology to athletes at the development level, when partnered with the ASDC's resources the programs have been able to increase the amount of support that the Calgary Cycling Centre's athletes receive in these areas.

Sametz is well aware of the benefits that the partnership program has created, believing that, "the funding and program set up access to the services like nutrition, anthro [sport science], and sport psychology. It has elevated my performance on and off the bike. Since meeting with [performance dietitian] Kelly Anne Erdman and [sport psychologist] Clare Fewster, the way I approach my training and racing has evolved."

Sametz's mother Ronda, could not agree more, saying, "The services Mike received and the relationships developed while at Calgary Cycling Centre were and continue to be extremely helpful in his cycling development."

The excitement surrounding the recent success of Sametz and the Calgary Cycling Centre is tangible. As Coach Burke proclaims, "Mike has a bright future," it is clear that the partnership between the Canadian Sport Institute Calgary and the ASDC does as well.

Keep up to date with results from Michael and other cyclists by following the Canadian Sport Institute on Twitter and Facebook!

Stay in the loop!

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @bschussler
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

Le futur du triathlon : Emily Wagner

Emily Wagner n’a pas toujours rêvé de devenir une triathlète. Cette Calgarienne de 18 ans a pratiqué plusieurs sports communautaires durant son enfance, notamment la ringuette, le soccer et la gymnastique. Cependant, ce sont ses prouesses en natation de compétition et en course cross-country qui ont amené quelqu’un à lui suggérer de tester ses capacités dans le cadre d’un triathlon à l’âge de 15 ans.

Trois ans plus tard, cette athlète de l’Institut canadien du Sport de Calgary (ICS Calgary) a été nommée Triathlète junior de l’année. Emily admet « Je ne m’y attendais vraiment pas! Beaucoup d’autres triathlètes juniors exceptionnels avaient également connu une excellente année. »

Emily reçoit le soutien de l’ICS Calgary depuis septembre 2013, soit trois mois seulement après avoir participé à son premier triathlon. Mme Paula Jardine, responsable du développement des athlètes de l’ICS Calgary, a reconnu le potentiel exceptionnel de cette athlète et l’a intégrée au programme Talent Lab. Emily explique que le programme a été « une plateforme exceptionnelle qui m’a fourni les ressources nécessaires pour lancer ma carrière en triathlon. Les services ont beaucoup contribué à ma réussite jusqu’à présent. Les tests dans le laboratoire de performances sportives m’ont aidé au niveau de mon entraînement, en me donnant une base à partir de laquelle travailler et m’améliorer durant la saison et en permettant aux physiologistes de l’exercice de contrôler et de planifier mon programme. »

Mme Jardine souligne « l’ICS Calgary a tout de suite reconnu le potentiel d’Emily et nous avons travaillé avec elle depuis qu’elle a commencé sa carrière en triathlon afin de renforcer sa tolérance structurelle à l’entraînement. Plusieurs bonnes triathlètes féminines sont prédisposées aux blessures de surentraînement et n’arrivent pas à maintenir leurs performances. Nous avons créé un programme à long terme pour Emily conçu pour l’aider à faire la transition entre athlète junior et athlète olympique en faisant d’elle une athlète plus résistante. »

Le financement offert par B2Dix a contribué à financer le programme Talent Lab de l’ICS Calgary en 2015. Grâce, entre autres, à leur soutien, les athlètes actuels et à venir tels qu’Emily ont eu accès à du soutien en matière d’entraînement musculaire et de physiologie, ainsi qu’à de services médicaux et paramédicaux dans le cadre du programme Talent Lab. Pour Emily, ses entretiens avec la diététiste Kelly Drager sur les questions et préoccupations relatives à son régime, son travail d’entraînement musculaire avec l’entraîneuse Anna Aylwin et les soins paramédicaux qu’elle a reçus de Shayne Hutchins ont joué un rôle crucial.

Emily précise « Les services que j’ai reçus de l’ICS Calgary m’ont permis de me développer en tant qu’athlète. » Elle cherche maintenant à améliorer son classement après avoir obtenu la huitième place l’an dernier au Championnat du monde junior en se classant parmi les cinq premières à Cozumel, au Mexique. La saison prochaine, elle passera dans la catégorie Élite et commencera à s’entraîner pour les Jeux olympiques de 2020.

Pour de plus amples renseignements sur le projet Talent Lab, veuillez communiquer avec Mme Paula Jardine à l’adresse Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Le joueur de baseball de l'ICSC, Mike Soroka, repêché par les Braves d'Atlanta

L'Institut canadien du sport de Calgary (ICSC) a appris avec joie que l'athlète Mike Soroka, originaire de Calgary, a été repêché par une équipe de baseball majeur : les Braves d'Atlanta. Lanceur droitier, Mike a été repêché au cours de la première ronde; au total, il a été le 28e joueur à être sélectionné.

Ce repêchage survient à un moment bien occupé de la vie de ce jeune joueur de 17 ans, qui a reçu le 19 juin son diplôme d'études secondaires de l'école Bishop Carroll. Questionné au sujet des changements actuels qui surviennent dans sa vie, Mike s'est dit concentré sur le baseball, précisant que son but a toujours été d'être un lanceur professionnel. Il a insisté sur le fait que lancer a toujours été « ce que j'aime faire... lancer depuis le monticule, et être en contrôle; j'adore tout simplement cela. »

Mike s'entraîne à l'ICSC depuis novembre 2014, où il a commencé à s'entraîner dans la salle de musculation de haut niveau avec Chris Osmond, entraîneur de force et de conditionnement physique, et à utiliser les spas froids sur place pour améliorer sa récupération. Comme M. Osmond avait déjà collaboré avec l'équipe de baseball pour laquelle jouait Mike, ce dernier savait que l'expertise de cet entraîneur professionnel l'aiderait à atteindre la prochaine étape de sa carrière. Leur travail a porté ses fruits, et Mike a souligné que son entraînement a été « très bien encadré. J'ai eu d'autres entraîneurs qui ont simplement essayé de me faire prendre de la masse, mais pour M. Osmond, être fonctionnel était la priorité. Tous ses exercices étaient adaptés au baseball. J'ai aussi aimé le fait que parfois, je voulais travailler avec des poids plus lourds, mais M. Osmond misait plutôt sur la constance et une amélioration solide.»

Après avoir travaillé individuellement avec Mike, M. Osmond n'est pas le moindrement surpris de son repêchage par les Braves. Il l'a décrit comme un athlète ambitieux et concentré, et a souligné que « c'était très agréable de travailler avec lui. À chaque entraînement, on sentait sa détermination; c'était clair qu'il voulait devenir un meilleur athlète physiquement et mentalement. Je suis extrêmement heureux de voir son dur labeur récompensé. »

Alors que Mike se prépare à s'envoler vers Atlanta pour une évaluation médicale et ce qu'il espère être la signature officielle de son contrat, son enthousiasme est palpable; il a raconté : « ça a été un véritable tourbillon avec une tonne de haut et de bas, mais à présent je dois me concentrer sur ce qui s'en vient. » De la part de toute l'équipe de l'ICSC, « Bonne chance Mike! »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

Le Plan de match d’Ekaterina Zavialova

En tant que surfeuse des neiges, j’étais sur un petit nuage quand on m’a nommée remplaçante pour les Jeux olympiques d’hiver de Vancouver. À ce moment, je savais que je continuerais de m’entraîner dans le but de participer à Sotchi. Malheureusement, je me suis blessée au genou sept mois avant les qualifications. Je m’étais donnée corps et âme au sport pendant 15 ans et j’avais l’impression d’avoir fait tout ça en vain : je n’étais pas athlète olympique.

C’était extrêmement pénible de n’être que témoin alors que mes amis vivaient mon rêve, mais ce n’était que la pointe de l’iceberg. Après être revenue de la Russie, j’ai évalué ma situation. J’avais 29 ans, la Corée se trouvait à 4 ans et je n’osais envisager une autre grande déception. Je devais affronter la dure réalité de la retraite.

J’avais obtenu mon diplôme en kinésiologie, dont je suis vraiment fière, car je suis parvenue à le terminer alors que je participais à des compétitions et que je terminais ma formation comme instructrice de yoga dans l’espoir de trouver ma place une fois ma carrière d’athlète terminée. Malgré tout, je n’avais quand même aucune idée du choix de carrière qui s’offrait à moi. J’avais de la difficulté à trouver une raison de me tirer du lit le matin. Rien n’allait jamais égaler la vie que j’avais en tant qu’athlète de haut niveau.

Dans l’espoir de masquer à quel point je me sentais déprimée et perdue, je demeurais la plus occupée possible. À un moment, j’occupais cinq emplois. Comme je ne savais pas ce que je voulais faire, je faisais tout, mais sans trop de conviction, et sans m’y consacrer pleinement. J’étais en train de m’épuiser, et bien tristement, ça me semblait plus facile que de confronter mes sentiments véritables.

Après plusieurs conversations éprouvantes avec Cara Button, conseillère Plan de match, à l’Institut canadien du sport de Calgary, elle m’a forcé la main et a pris rendez-vous avec un professionnel de la santé pour moi. On m’a diagnostiqué une dépression clinique. Ironiquement, le diagnostic s’est avéré un soulagement. Ça signifiait que j’allais me sentir mieux et qu’il y avait une raison derrière la façon dont je me sentais.

Après quelques mois de transition et de conseil professionnel offert par le programme Plan de match, j’ai commencé à me sentir mieux et j’étais convaincue que j’allais surmonter cette épreuve de la vie. Même si j’étais perplexe quand j’ai appris que la carrière idéale pour moi était barmaid, on avait enfin répondu à certaines de mes questions.

Peu de temps après, j’ai postulé pour un emploi très compétitif faisant l’objet d’un long processus d’embauche. Je gagnais en confiance chaque fois que je franchissais une autre étape. Il y a quelques semaines à peine, on m’a offert un poste de représentante commerciale à Bristol-Myers Squibb, un emploi qui m’aurait paru impossible il y a un an!

Profiter du soutien de Plan de match à l’Institut canadien du sport de Calgary au cours de ma transition de carrière m’a réellement aidée. S’il y a une leçon à tirer de mon expérience personnelle, c’est que la transition ne doit pas nécessairement être si ardue. Mon conseil à tous les athlètes : n’ayez pas peur de demander de l’aide. Des programmes et des gens sont là pour vous aider à effectuer la transition.

Le second travail

Le 22 juin, l’Institut canadien du sport de Calgary organisera le tout premier Sommet Plan de match YYC ayant pour thème le second travail pour les athlètes de l’Alberta. Le Sommet consiste en une journée complète de présentations pour les athlètes ayant pour sujets la communication efficace, la littéracie financière, l’entrepreneuriat et l’auto-entraînement positif. Il vise à aider les athlètes à acquérir de nouvelles compétences et à faire preuve d’ouverture d’esprit concernant d’éventuels parcours scolaires et professionnels. Le Sommet comprend également un discours de l’aventurier, chef de la direction et conférencier Jamie Clark, originaire de Calgary.

On peut dire que les carrières ne sont plus ce qu’elles étaient. De nos jours, il est rare de trouver et de garder pour la vie un emploi de 9 h à 17 h permettant de payer les factures et d’accomplir tous les principaux objectifs d’une vie. L’évolution du marché du travail et de la main-d’œuvre a nécessité l’adoption d’une toute nouvelle approche professionnelle qui privilégie la polyvalence, la créativité et l’adaptabilité.

Aujourd’hui, sans sécurité d’emploi ou sans même avoir un travail relié à notre domaine d’études, le besoin d’avoir diverses sources de revenus s’est imposé. C’est ce que nous appelons « le second travail ».

Avoir un second travail est un moyen de gagner de l’argent supplémentaire en dehors de notre travail principal, mais c’est aussi une façon de poursuivre nos passions. Travailler dans la restauration, promener un chien, être travailleur autonome, enseigner l’anglais en ligne; les possibilités sont infinies. Toutefois, pour les athlètes qui rêvent de participer aux Jeux olympiques, un travail supplémentaire peut ressembler à une distraction ou à un obstacle à la performance.

Ce n’est pas le cas, affirme Russell Reimer, président de Manifesto, une entreprise de gestion du sport située à Calgary. « Je crois que les athlètes ont plus de temps qu’ils le croient. Ils n’ont pas une semaine de 40 heures de travail et des enfants », dit-il.

Toute blague mise à part, il s’inquiète du manque d’intérêt systématique des athlètes envers le développement professionnel et personnel, car toute leur attention est consacrée à la performance sportive. « Nous voulons encourager les athlètes à faire le travail nécessaire pendant leur carrière sportive pour éviter qu’ils se retrouvent dans une position vulnérable et se sentent complètement perdus après leur retraite », dit-il.

Plan de match, le programme canadien axé sur le bien-être global des athlètes, apporte une solution naturelle et constructive à ce désir de performance. « Les athlètes doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas procrastiner. Si on commence tôt, on a le temps », ajoute M. Reimer. « C'est une démarche de découverte continue. Se trouver un second travail, aller à l’université, découvrir ce en quoi on croit vraiment. »

Cara Button, consultante Plan de match de l’ICS Calgary, mentionne que plusieurs athlètes s’adonnent déjà à des activités en dehors du sport, parfois par nécessité. « Plusieurs athlètes ont un second travail pour subvenir à leurs besoins pendant les épreuves », dit-elle. « En même temps, ils commencent à développer un intérêt qu’ils pourraient explorer davantage lors de leur retraite. » C’est un bon équilibre : être bien occupé, mais sans être surmené. Les athlètes doivent découvrir ce qui leur convient.

Le thème du second travail correspond bien à ce que M. Reimer appelle « la voie parallèle ». « La voie parallèle est un pilier autour duquel les athlètes se bâtissent une identité en dehors du sport », explique M. Reimer. Cette voie peut grandement faciliter la transition en quittant le sport et adoucir le choc causé par le retrait des épreuves. Il insiste sur l’importance de développer d’autres intérêts, compétences et plans au fil de leur carrière. « N’attendez pas la fin du plan A pour élaborer le plan B. »

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: Dave Holland @csicalgaryphoto
21/06/17

Les athlètes de l’ICSC contribuent aux succès du Canada aux Jeux panaméricains

Les athlètes de l’Institut canadien du sport de Calgary (ICSC) se démarquent lors des Jeux panaméricains à Toronto. En date du 16 juillet, à mi-chemin de la compétition, Équipe Canada est en tête du classement avec 97 médailles.

Sans surprises, les athlètes de l’ICSC ont grandement contribué à ces résultats. Certains d’entre eux ont remporté des médailles d’or grâce à leurs solides performances : Ashley Steacy en rugby, Monique Sullivan et Kate O’Brien en cyclisme sur piste (sprint par équipe), Genevieve Morrison en lutte (48 kg) et Lynda Kiejko, qui a réussi un doublé en tir. D’autres athlètes ont récolté des médailles d’argent : Kevin Lytwyn en gymnastique (barre horizontale) et Andrew Schnell en squash (double). Jusqu’à présent, le bronze gagné par l’équipe masculine de water-polo et celui obtenu par Jordan Belchos en patinage de vitesse complètent la récolte de médailles.

Jordan est l’un des rares athlètes spécialisés dans deux disciplines, lui qui participe à des compétitions internationales de patinage de vitesse longue piste l’hiver. Natif de Toronto, il était très ravi de sa performance lors de la course de 10 000 m points. Voici ses commentaires : « C’était tout un honneur de participer à une compétition dans ma ville natale. En voyageant d’un lieu de compétition à l’autre, je suis passé devant l’anneau où j’ai fait ma première course de patinage de vitesse et l’hôpital où je suis né. J’ai vraiment eu l’impression de boucler la boucle. Je savais que ma course aux Jeux panaméricains serait l’occasion d’une vie et que j’avais peu de chances de médaille, mais je n’ai jamais cessé de croire que je pouvais réaliser un grand coup pendant la course. »

Jordan vit à Calgary depuis une dizaine d’années et attribue une bonne partie de ses réussites sportives à son environnement d’entraînement, soulignant au passage : « Je suis chanceux d’avoir le soutien de l’ICSC et de m’entraîner dans l’environnement professionnel qu’il offre. J’ai franchi tellement d’étapes de ma carrière sous la direction de nombreux employés de l’ICSC, notamment Derek Robinson, Scott Maw et Kelly Anne Erdman. »

Assurez-vous de surveiller le reste des athlètes de l’ICSC et d’Équipe Canada lors des nombreuses épreuves qu’il reste à disputer! 

Institut canadien du sport de Calgary: @csicalgary

Rédigé par Brittany Schussler: @bschussler

Photo de Dave Holland: @csicalgaryphoto

Les Jeux olympiques de 2026 à Calgary?

Par Ken Read

Chaque hiver, la région de Calgary accueille jusqu’à sept événements annuels de la coupe du monde. Quatre autres sports d’hiver organisent des championnats du monde ou des coupes du monde quadriennales. L’Alberta accueille huit des douze organismes nationaux de sports d’hiver. L’Institut canadien du sport de Calgary est devenu le plus grand des sept instituts du sport du Canada.

En 1981, quand une ville de l’Ouest canadien assez méconnue appelée Calgary a remporté le droit d’accueillir les Jeux olympiques d’hiver de 1988, il n’y avait rien de tout cela.

Tant de choses ont changé dans le monde du sport en 35 ans. Mais pour vraiment comprendre l’héritage des Jeux de 1988, il faut imaginer à quoi ressemblait le sport avant 1981.

Il n’y avait pas de stade Saddledome, ni de patinoire Olympic Oval. Le Canmore Nordic Centre et Nakiska n’existaient pas. Le Parc olympique du Canada était la piste de ski préférée de tous, appelée Paskapoo. La plupart des sports d’hiver étaient administrés à Ottawa, sous l’œil attentif de Sport Canada. Calgary accueillait le Brier et Patinage Canada; la toute première descente de la coupe du monde avait eu lieu à la station de ski de Lac Louise. Les Flames venaient d’arriver en ville, jouant dans le stade Corral de 6 500 places.

Il y avait assurément une communauté du sport d’hiver grandissante. Des talents olympiques de calibre mondial ont émergé des clubs et programmes locaux en ski alpin, patinage artistique, patinage de vitesse et hockey. Des partisans locaux voulaient organiser des événements pour mettre en valeur Calgary, l’Alberta et les Rocheuses canadiennes afin de donner aux athlètes locaux ainsi qu’aux autres Canadiens des perspectives olympiques et aux talents dans des sports émergents comme le ski acrobatique et le patinage de vitesse sur courte piste une chance de participer à des compétitions à domicile en vue d’inspirer les enfants locaux. Mais nous manquions d’installations et d’expérience internationale.

Alors quand Frank King a soumis une candidature renouvelée pour les Jeux olympiques du Calgary Booster Club en 1979, il a trouvé un public et une communauté très réceptifs.

Je repense au début de l’époque de la candidature pour les Jeux olympiques de 1988 parce qu’il est très important de comparer ce que nous tenons pour acquis aujourd’hui avec ce qui existait il y a 35 ans. Aucune coupe du monde annuelle. Aucune équipe nationale basée dans la province. De rares événements internationaux. Aucune installation.

Le sport au Canada a été révolutionné grâce à une quantité énorme d’efforts, d’ingéniosité et d’investissement. Nous savons tous à quel point les Jeux de 1988 ont été un succès. Mais la véritable réussite a débuté avec la préparation et le développement alors que Calgary redoublait d’efforts pour les Jeux de 1988.

Pour préparer les Jeux, les villes hôtes doivent organiser des événements avant les Jeux olympiques pour tous les sports. Il s’agit d’un plan logique pour essayer les sites, donner aux athlètes une chance de s’entraîner dans les sites olympiques, mettre à l’essai la logistique qui va du transport à la sécurité en passant par la cérémonie, former les bénévoles et collaborer avec les partenaires qui comprendraient les médias, les commanditaires et les agences de financement. L’investissement en personnel (bénévoles et officiels) a fourni la capacité et le savoir-faire nécessaires pour organiser des événements de coupe du monde annuels. Résultat : le ski alpin, le bobsleigh, la luge, le skeleton et le patinage de vitesse sont désormais des événements réguliers dans le calendrier international; le hockey, le ski de fond, le biathlon, le patinage artistique et le curling sont des événements majeurs.

Des événements annuels réussis ont été soutenus par une volonté de développer des environnements d’entraînement. Des centres d’entraînement nationaux ont émergé à mesure que des fonds devenaient disponibles, avec des équipes nationales centralisant leurs programmes annuels à proximité de ces sites. Résultat : des centres d’entraînement nationaux sont maintenant établis à Nakiska (ski alpin), à Canmore (biathlon et ski de fond), à l’Université de Calgary (patinage de vitesse), au Parc olympique du Canada de Calgary (combiné nordique et saut à ski; piste de glisse pour le bobsleigh, le skeleton et la luge).

Comme les équipes nationales ont été centralisées en Alberta, une fois que Sport Canada a autorisé les organismes nationaux de sport à déplacer leurs sièges sociaux à des endroits logiques (plutôt qu’à Ottawa), l’administration de chaque sport a suivi les athlètes. Résultat : Calgary et Canmore accueillent maintenant Hockey Canada, Canada alpin, Luge Canada, Bobsleigh Canada Skeleton, Saut à ski Canada, Combiné nordique Canada, Ski de fond Canada et Biathlon Canada.

Comme le Canada a établi un réseau de centres canadiens multisports partout au pays pour soutenir nos athlètes, avec la plupart des sports d’hiver accueillis dans la région de Calgary, l’ICS Calgary est naturellement devenu le principal fournisseur des sports d’hiver. Les centres multisports emploient les équipes de soutien qui entourent les athlètes, incluant les physiologistes de l’exercice, les préparateurs physiques, les analystes en biomécanique, les diététistes, les conseillers en performance mentale, les spécialistes de l’anthropométrie, les techniciens de laboratoire en biochimie, les médecins, les physiothérapeutes, les thérapeutes sportifs, les chiropraticiens et les massothérapeutes.

En collaboration avec des partenaires de financement aux niveaux fédéral, provincial et municipal, WinSport Canada a établi le Athlete Centre au sein du Parc olympique du Canada qui constitue désormais la principale installation pour l’entraînement des athlètes dans le monde. Résultat : l’ICS Calgary a évolué pour devenir le plus grand institut du sport du Canada, employant désormais plus de 75 professionnels et travaillant avec 345 actuels et futurs athlètes olympiques / paralympiques et panaméricains / parapanaméricains ainsi que des centaines d’entraîneurs, techniciens, officiels et bénévoles collaborant avec des organismes sportifs.

L’expertise dans le domaine du sport et la disponibilité des sites en progression constante ont aisément permis l’ajout de sports nouveaux et émergents au programme olympique après 1988. Les premiers à avoir été inclus sont le skeleton et le ski acrobatique (bosses et sauts), suivis par la planche à neige (planche à neige cross, descente et demi-lune) et le ski cross, puis la descente acrobatique en ski et aujourd’hui le grand saut. Résultat : les programmes et événements de skeleton, ski acrobatique, planche à neige et ski cross ont été intégrés à l’éventail de sports de Calgary et de la région sur des sites qui sont sans doute les meilleurs au monde.

L’influence du sport dictée par l’héritage des Jeux de 1988 et la masse critique d’expertise dans le domaine du sport ont continué de favoriser encore plus de projets accordant une place centrale au sport afin de soutenir le secteur. Résultat : le Panthéon des sports canadiens, les bureaux d’hiver d’À nous le podium et de la National Sport School; le laboratoire de performances humaines à l’Université de Calgary et le groupe de recherche sur les technologies du sport et du bien-être (SAIT). L’expertise ainsi que les infrastructures briques et mortier ont migré à Calgary en tant que centre de l’excellence sportive.

Le facteur humain a un énorme impact. Certains sont de passage et de nombreux autres s’installent, transformant ainsi la ville de Calgary et la région. Beaucoup de noms reconnaissables au sein de la communauté sportive viennent d’autres pays et régions du Canada. Ils ont apporté des qualifications professionnelles et des antécédents sportifs. Leurs enfants ont rejoint nos clubs. Leur leadership et leur expertise peuplent les conseils sportifs, les comités d’événements et l’administration d’organismes locaux, provinciaux et nationaux. Résultat : des centaines d’athlètes internationaux viennent au Canada chaque année pour s’entraîner et compétitionner. Les Canadiens de partout au pays se concentrent à Calgary chaque année pour les programmes de leurs équipes nationales. Un grand nombre d’entre eux ont décidé de rester. Des centaines de professionnels du sport qui dirigent et soutiennent nos programmes sportifs ont été recrutés partout dans le monde et ont élu domicile au Canada.

Essayez d’imaginer : presque rien de tout cela n’existait en 1981.

Le secteur du sport international ne diffère d’aucun autre secteur d’affaires. Pour rester compétitif et pertinent, et pour prospérer, les infrastructures doivent être entretenues. L’excellence fluctue et la barre est placée toujours plus haut. Le média qui présente le sport au monde évolue avec les attentes d’une communication numérique et l’exigence d’une diffusion efficace pour tous les événements sportifs à partir du niveau d’une coupe du monde. L’important secteur du sport est maintenant installé dans la région, alors passer en revue les installations existantes et potentielles ainsi que l’infrastructure nécessaire pour conserver notre avantage concurrentiel constitue une décision d’affaires prudente.

Cette évolution ne s’est pas faite sans difficulté. Des erreurs ont été faites, mais une candidature pour les Jeux olympiques est une occasion d’apprendre, de s’adapter et de s’améliorer qui n’arrive qu’une fois par génération, de la même façon que Calgary a appris de l’expérience de Montréal et que Vancouver a appris de l’expérience de Calgary. Dans l’ensemble, les Jeux de 1988 ont été sans aucun doute bénéfiques à la ville, à la région, à la province et au pays; ils ont donné un essor important au sport canadien. Rien qu’un examen pour évaluer une candidature potentielle pour les Jeux olympiques constitue une occasion d’actualiser, de revigorer, de renouveler, de redresser et de réorganiser.

Cette candidature concerne un événement qui aura lieu dans 10 ans. À la base, la priorité de l’étude de faisabilité doit porter sur la façon dont nous, en tant que communauté et pays, aimerions voir ce secteur florissant évoluer d’ici 2050 et au-delà. Pour inspirer les jeunes, soulever la prochaine génération de champions, transmettre les connaissances aux nouveaux dirigeants et officiels. À une époque où la diversification est en tête de liste des besoins urgents pour notre économie, le sport et les secteurs liés du tourisme et de la communication peuvent occuper une place de choix.

Quand le CIO a annoncé « Calgary! » en octobre 1981, aucun de nous n’imaginait vraiment les possibilités. Que de chemin parcouru. Alors que nous allons de l’avant, quelles possibilités nous attendent?

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Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto
29/06/16

Les patineurs de vitesse canadiens montrent au monde entier de quel bois ils se chauffent

Dans une saison ponctuée par le record mondial de Ted-Jan Bloemen au 10 000 mètres et le couronnement d’Ivanie Blondin en tant que championne mondiale du départ en groupe, l’équipe canadienne de patinage de vitesse longue piste a dépassé toutes les attentes.

Surtout basée à l’Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary), l’équipe a récemment participé aux championnats du monde de distances individuelles au cours desquels elle a remporté quatre médailles (la médaille d’or de Blondin, une d’argent au 10 000 mètres pour Bloemen, et le bronze au 500 mètres pour Alex Boisvert-Lacroix et l’équipe masculine de poursuite).

Scott Maw, physiologiste à l’ICS Calgary et chef de l’équipe de soutien intégré à Patinage de vitesse Canada (PVC), savait que l’équipe avait ce qu’il fallait pour devenir une force à l’échelle mondiale. Au cours des deux dernières saisons, PVC, l’Anneau olympique et l’ICS Calgary ont uni leurs efforts pour apporter des ajustements à la culture d’équipe, aux attentes et aux responsabilités. Tout a commencé avec une refonte du parcours des athlètes visant à en faire un programme axé sur la performance à tous les niveaux.

Les changements ont mené à des efforts accrus, concentrés sur les quatre principaux piliers sur lesquels repose le programme de Patinage de vitesse Canada : le respect, la compétition, la responsabilité et le professionnalisme. C’est en mettant l’accent sur l’atmosphère, un élément qu’il peut être difficile de cibler dans un sport en majeure partie individuel, que nous avons obtenu ces résultats. Pour améliorer le concept d’équipe, les entraîneurs de PVC ont travaillé ensemble en vue de créer un plan d’entraînement annuel axé sur le travail d’équipe parsemé de périodes d’entraînement par équipe tout au long de l’année.

Maw souligne que l’objectif est « surtout de veiller à ce que chaque athlète parte sur des bases solides tout en respectant ses coéquipiers et ses compétiteurs, et sache ce que ça signifie de patiner avec la feuille d’érable sur sa combinaison de course. En retour, cela procure à l’athlète l’assurance qu’il peut performer quand ça compte. »

Après les Jeux olympiques de 2014, Maw a commencé à élaborer des indicateurs de performance clé dans le but de déterminer si la performance à la Coupe du Monde était précurseur du succès aux championnats du monde ou aux Jeux olympiques. Il a entre autres analysé les résultats des six saisons précédentes, y compris des milliers de courses.

Ces indicateurs de performance clés sont utilisés par Derek Robinson, conseiller en performance mentale de l’ICS Calgary, pour que l’athlète se concentre davantage sur les performances individuelles et collectives. En informant fréquemment les patineurs de leurs performances d’équipe comparativement aux autres pays, Robinson est en mesure de les motiver à améliorer leur progression individuelle et à contribuer au succès de l’équipe.

Maw et l’équipe de soutien intégré ont modifié de nombreux éléments de l’approche de l’équipe de patinage de vitesse. Afin de mieux pouvoir quantifier la réponse des patineurs à l’entraînement, les entraîneurs de PVC ont peaufiné leur façon de classifier les points à améliorer. Avec une réorganisation de l’approche permettant de surveiller les athlètes, cela a permis aux membres de PVC de se concentrer sur la façon dont chaque athlète répond à l’entraînement. L’attention des athlètes par rapport aux habitudes de l’élite est aussi examinée, ce qui comprend un vaste éventail englobant entre autres le sommeil et la nutrition.

Malgré le nombre infini de façons de surveiller les athlètes, de modifier l’entraînement et de favoriser un environnement collaboratif, tout compte fait, Maw affirme que « dans le fond, ce qui importe, c’est que le patineur puisse livrer sa meilleure performance le jour où ça compte. Nous sommes là pour que ça se réalise et pour les aider à réussir en agissant, et non en comptant sur la chance. »

Les patineurs de vitesse terminent leur saison à Heerenveen, aux Pays-Bas,

à la finale de la Coupe du monde, du 11 au 13 mars. Pour obtenir des résultats à jour, suivez Patinage de vitesse Canada sur Twitter @SSC_PVC.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto

Lumsden Leaving Nothing to Chance

Two-time Olympic bobsledder Jesse Lumsden knows a thing or two about preparing for the future. The former CFL star already planned and made one transition from football to bobsled in time for the 2010 Olympic Winter Games. Now, the Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary) supported athlete is preparing for yet another career transition, from the sport world to the business world.

Prior to the Sochi Olympic Games in 2014, Pacesetter Directional Drilling, led by CFO Chad Robinson, was sponsoring Lumsden. In order to maximize the partnership, Lumsden began meeting Robinson once per quarter to discuss sport, work, and life. The topic of career transition was addressed and Robinson felt that there was a fit for Lumsden in Resource Merchant Capital (RMC), a firm that invests in the private oil and gas market. Seizing the opportunity, Lumsden made the decision to shift his focus from sport after Sochi to prepare for his next career transition.

Of his work in the corporate world, Lumsden notes, “It has not been an easy transition. I am under-educated and out of my league in certain situations. I lean on those around me for guidance and if I make a mistake I do not make it twice. It is no different than starting a new sport, it just requires using different muscles. It takes the same amount of effort and dedication, just a different focus. I encourage all athletes to start training and working. You do not realize how fast a sports career goes by until it is almost over.”

With the next Olympic Winter Games only two years away, Lumsden is starting to refocus, saying, “The next five months are very important for me. In June, I will begin training with the bobsled team full time in preparation for the 2018 Olympic Games in PyeongChang while continuing to work part time with RMC. I am very fortunate, as my return to sport was always known and supported by both Chad Robinson and RMC.”

CSI Calgary Director of Stakeholder Relations Cara Button is impressed by the relationship that Robinson and Lumsden have formed. She hopes that more athletes and companies will create these mutually beneficial situations, emphasizing, “Game Plan is actively working on finding flexible work opportunities for athletes. Jesse’s story is a great example of how companies can contribute to athletes not only through sponsorship but by potentially engaging them in their business as well. Jesse took advantage of a sponsorship opportunity to develop a relationship. He is not leaving anything up to chance by waiting until his sport career is over.”

For more information on Game Plan, visit www.mygameplan.ca or contact Cara Button at Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @BSchussler
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

Madell Leads Parapan Am Games Team

The Canadian Sport Institute Calgary (CSIC) would like to congratulate all of the athletes who competed at the Parapan Am Games in Toronto from August 7-15, 2015. Team Canada finished second in the medal count with a total of 50 gold, 63 silver, and 55 bronze medals. CSIC athletes contributed to the team’s results in a big way, with Morgan Bird, Zachary McAllister, and Zach Madell winning gold medals, Jennifer Brown winning gold and silver, Michael Sametz, Kirstie Kasko, Chad Jassman, Peter Won, and Arinn Young earning silver medals, and Aron Ghebreyohannes, Tiana Knight, Blair Nesbitt, Tammy Cunnington, as well as the women’s and men’s sitting volleyball teams earning bronze medals.

Chosen to carry the Canadian flag and lead Team Canada into the closing ceremonies was 21-year-old wheelchair rugby athlete Zak Madell. He describes the atmosphere of competing at a home games as, “Better than I could ever have dreamt of. The fan support and energy of the city of Toronto were unbelievable. The announcement that I was carrying the flag was made to the whole rugby team just minutes after receiving our gold medals at the ceremonies, so the rush of emotions was truly overwhelming.”

A member of the CSIC since 2011, Madell believes that he utilizes the CSIC’s services to the fullest potential, working with “a Strength & Conditioning coach three times a week as well as accessing therapy for rehab and injury prevention whether it be acupuncture, ultrasound or massage to keep the body in tip-top shape.” Madell says he owes a lot of credit to “the CSIC for all of their support, as well as my personal sponsor Vesco Metal Craft for all of my wheelchairs and parts.”

Chris Osmond, Madell’s Strength and Conditioning Coach, is not shocked by Madell’s success. He describes working with him as a privilege, saying, “Zak is a tremendous athlete and person. He is passionate about his craft, extremely determined, and gives nothing less than 100% each time he trains or competes. He is kind, compassionate and strives to be the best person he can be on or off the gym floor.”

By accomplishing their goal of winning the Parapan Am gold medal, the wheelchair rugby team has qualified for the 2016 Paralympics. After already winning a silver medal at the 2012 Paralympic Games, Madell says, “Now that we have had a taste of gold we hope to keep this hunger moving forward and continue to bring home the bling!”

We look forward to watching the men’s rugby team in Rio next summer!

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @BSchussler
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto

Master of Her Domain

You could say that Carol Huynh is a Jack of all trades, master of all: Olympic Champion, Master’s Student, Assistant Chef de Mission, Mentor, Advocate, and now Coach, in the sport of wrestling. Over a span of more than two decades, Huynh has steadfastly honed her many skills and filled so many different roles, approaching each with her own simple blend of humility and hard work.

It’s a rare breed these days – the retired athlete who pursues a new career in their sport. “There are other athletes who have done what Carol is doing, but she’s unique because there are less and less of them staying in sport after retirement,” says Cara Button, Director, Stakeholder Relations at CSI Calgary. “The sport system doesn’t always do a good job of keeping athletes in their organization but athletes have so much knowledge and experience to share,” she adds.

Given that successful athletes carry with them a lifetime of experience and expertise, Button says that Wrestling Canada has done a good job of finding a way to keep Huynh involved. She is now the Wrestling Canada Next Gen Institute Program Coach and recently enrolled in the CSI Calgary’s Advanced Coaching Diploma.

Huynh’s ventures into education, advocacy and coaching weren’t always in the plan – she initially wanted to pursue psychology and later sport psychology, even earning her Master’s Degree in Counselling Psychology. But after retirement a number of events transpired that kept pulling her back.

First, when wrestling was voted off the Olympic program by the IOC in 2013, Carol spearheaded an international effort to have the sport reinstated. Her successful fight led to becoming elected as chairperson of the International Wrestling Federation’s new Athletes’ Commission.

Second, When the Next Gen concept was rolled out by Own the Podium, Wrestling Canada created a development pathway and needed a coach to lead the effort. Huynh jumped at the opportunity because she wanted to give back to the sport.

Of her decision to remain in sport, Huynh modestly concedes that at first it seemed like the right choice because it felt easy. “I didn’t want to leave the sport,” she says. “It would be so hard to cut that out of my life.” Perhaps it felt easy because it was the right choice.

Starting out in a new career is tough given that Huynh was once the best wrestler in the world. “What’s really hard is that for so long I felt like I’d mastered something but now I’m starting coaching and learning how to be the best coach,” she explains. She’s also acutely aware that just because she was a good athlete doesn’t mean she’ll be a good coach. “I gotta earn it,” she says.

So, she is approaching her new career in coaching with the same work ethic and determination that helped her to become an Olympic Champion, Master’s Student and successful advocate – she knows it will take a lot of hard work to learn her new craft and she is up for the challenge.

Of pursuing her next challenge in the sport she is so passionate about, Huynh is resolute: “Now I have to get good at this.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by: Dave Holland @csicalgaryphoto
31/05/17

Melanie McCann’s Game Plan Day in Canada

Competition day is familiar to me. I wake up early, take a mental note of my goals for the next 12 hours, make some coffee and tie my hair back in a tight pony tail. Somehow, today was familiar. Instead of my team Canada gear, I put on business appropriate attire and rather than rolling my fencing bag into the competition salle, I took the elevator up to the Deloitte office overlooking downtown Calgary. It was a clean slate to participate in Game Plan Day, an immersive in-office experience for Olympians, Paralympians and National Team athletes to explore career development and life after sport.

At 8:45am I walked into the boardroom to sit with 16 of my Canadian teammates and scanned the room a few times to place them without their lycra, speed suits or skis. The team at Deloitte gave us a warm welcome and talked about the environment in which they work and how it supports people from all backgrounds to flourish in their own way. They emphasized the power of a non-traditional workplace and a high-performance culture. Instantly all the athlete’s eyes lit up and I think it sparked a world of possibility in that room. Deloitte proceeded to lay out the schedule for the day, packed with speakers, job shadows, networking and mock interviews.

First was the job shadow portion of the day. I joined Tynan Wenarchuk, an analyst in the consulting practice at Deloitte. I showed up to his office eager to tag along with his morning, to find out that he was already on a call with Deloitte employees from across Canada strategizing on how to best deliver their message to the client they were advising. I was impressed with how interactive and productive the call was. With so many individuals on the line, I didn’t expect the team to come away with so many action items and clear ideas for their client. As an athlete, we are uniquely placed to effectively work within a team atmosphere to deliver a result under pressure. I quickly realized the skills I have honed as an athlete are incredibly transferable and useful to a different kind of team.

Next was the mock interview. I was asked all the standard interview questions and with little work experience, I was able to convey my strengths, problem solving abilities and overcoming adversity easily through examples from my Olympic pursuits instead. Furthering the connection with what I have to offer and what employers are looking for, I quickly realized that interviewing requires concise, deliberate communication. Just like our lives in sport with our teams and coaches, effective communication delivers results.

Finally, it was time for the speed networking portion of the event. With various Deloitte clients and partners in attendance, our task was to spend five minutes with each of them. Hearing about their individual career developments, it was evident that there is not a defined path but a common thread. Resiliency, hard work and seeking opportunity defined these leaders in their respective industries but it is also at the core of our make-up as athletes.

After a morning jam-packed at the Deloitte office, I laced up my running shoes to reflect on what the day had taught me. My real takeaway from Game Plan Day was that the intangible assets we have polished to get to the Olympic stage are transferrable and desirable in life after sport. From applying teamwork skills in the boardroom, to using advocacy skills in interviews instead of lobbying coaches, the parallels are obvious. Relaying interesting experiences gained through sport to network provides a unique perspective. Years of sport provide an excellent springboard to success in the workforce.

I would like to thank the Game Plan Team and Deloitte Canada for making this event possible and look forward to attending events in the future!

Melanie McCann
2012 & 2016 Olympian
Modern Pentathlon

Photo: Jared Armstrong

Mike Sametz est prêt pour la course à Rio

Les Jeux paralympiques 2016 auront lieu du 7 au 18 septembre à Rio de Janeiro. Plus de quatre mille athlètes provenant de près de 160 pays prendront part à 526 épreuves dans 22 sports. L’équipe canadienne est composée de 155 athlètes qui participeront dans 19 disciplines. Un de ces Canadiens est un jeune cycliste prometteur de Calgary, Mike Sametz.

Sametz s’entraîne à l’ICS Calgary avec l’entraîneur-chef du programme de paracyclisme, Phil Abbott. En plus de l’entraînement, Sametz poursuit également des études en affaires et en kinésiologie à l’Université de Calgary. Dans sa préparation finale pour les Jeux paralympiques, il s’est aussi entraîné dans les installations des Jeux panaméricains de 2015, au centre de cyclisme de Milton, en Ontario.

Sametz a commencé le cyclisme il y a sept ans quand des amis de ses parents lui ont parlé du programme de paracyclisme à l’Anneau olympique de Calgary. Dès les tout débuts, Sametz, qui est atteint de la paralysie cérébrale du côté droit de son corps, a été intégré à des cyclistes valides et a couru régulièrement dans des compétitions d’athlètes valides et d’athlètes paralympiques. « C’est un modèle d’intégration des sportifs valides et paralympiques. Dans le passé, on ne faisait pas toujours les choses comme ça », explique Abbott.

Tranquille et doux quand il n’est pas sur son vélo, Sametz est très compétitif quand le signal de départ est donné. « Sa personnalité à vélo n’est pas du tout la même », observe Abbott. « Il est très timide, sauf quand il court. Il aime gagner et être le meilleur, mais il n’aime pas être le centre de l’attention. Personne ne peut deviner qu’il est si féroce. »

Sametz lui-même nourrit son côté compétitif en se fixant des objectifs ambitieux. « Quand j’ai commencé le cyclisme, mon objectif a toujours été d’aller à Rio », confie-t-il. « Je suis une personne très déterminée et quand je me fixe un but, je fais tout mon possible pour l’atteindre. »

À 20 ans, Sametz est le plus jeune membre de l’équipe de paracyclisme, qui se rend à Rio pour représenter Équipe Canada aux Jeux paralympiques de 2016. Il est aussi plus jeune que la plupart de ses concurrents, qui ont surtout entre 30 et 40 ans. Son âge n’a toutefois pas été un obstacle. À ce jour, ses principaux accomplissements comprennent une médaille d’argent en poursuite individuelle aux Jeux parapanaméricains de 2015 et une médaille de bronze à la course contre la montre individuelle à la Coupe du monde, en Belgique.

Selon Abbott, Sametz est bien placé pour atteindre le podium dans deux de ses quatre épreuves. « Si les astres s’alignent, il pourrait arriver troisième en poursuite individuelle et troisième à la course contre la montre individuelle. C’est définitivement à sa portée », affirme Abbott.

Sametz est modeste dans ses prédictions. Il préfère se concentrer sur ce qu’il doit faire pour obtenir une bonne performance à Rio. « Je me suis amélioré dans les trois derniers mois », dit-il. « Je vais essayer et faire de mon mieux dans toutes mes courses. Je connais mes concurrents. Ce sont les mêmes que j’ai affrontés en Coupe du monde et aux Championnats du monde. Je sais quelles positions j’ai obtenues et je veux les améliorer. »

L’ICS Calgary est fier d’appuyer les athlètes paralympiques d’Équipe Canada. Voici d’autres athlètes de l’ICS Calgary à surveiller : Jenn Brown et Alister McQueen en paraathlétisme; Ross Wilson en paracyclisme; Morgan Bird en paranatation; Stefan Daniel en paratriathlon; Chad Jassman et Arinn Young en basketball en fauteuil roulant; Zak Madell en rugby en fauteuil roulant; et les femmes de l’équipe féminine de volleyball assis : Angelena Dolezar, Leanne Muldrew, Jennifer Oakes, Shacarra Orr, Heidi Peters, Tessa Popoff, Amber Skyrpan et Katelyn Wright.

Les cérémonies d’ouverture des Jeux paralympiques de Rio 2016 débutent à 16 h 30, HNR, le mercredi 7 septembre 2016.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto
07/09/16

Mike Sametz set to Compete in Rio

The 2016 Paralympic Games are set to set to run from September 7-18 in Rio de Janiero. Over four thousand athletes from more than 160 countries will compete in 526 medal events in 22 sports. The Canadian Team is comprised of 155 athletes competing in 19 sports. One of those Canadians is a young, up and coming cyclist from Calgary, Mike Sametz.

Sametz trains at CSI Calgary with head coach of the Para-Cycling Program Phil Abbott. In addition to training, Sametz also pursues an education in business and kinesiology at the University of Calgary. In his final preparations for the Paralympic Games he also trained at the 2015 Pan Am Games venue for track cycling track in Milton, Ontario.

Sametz started cycling seven years ago when some friends of his parents told them about the para cycling program at the Calgary Olympic Oval. From the very beginning, Sametz, who has cerebral palsy on the right side of his body, was integrated with able-bodied cyclists and competes regularly in both able-bodied and Paralympic competitions. “He’s a model for integrating para and able bodies athletes, which in the past was not always the way things were done,” says Abbott.

Usually quiet and mild-mannered off the bike, Sametz is fiercely competitive once racing starts. “His personality on the bike is completely different,” observes Abbott. “He’s very shy except when he’s racing. He likes to win and to be the best but doesn’t like the attention. Nobody would guess he’s super competitive.”

Sametz himself keeps his competitive drive alive through setting big goals. “When I first started cycling, my goal was always to go to Rio,” he says. “I’m a very dedicated person and when I find a goal I want to achieve I’ll do everything I can to achieve it.”

At 20 years old, Sametz is the youngest member of the para cycling team heading to Rio to compete for Team Canada at the 2016 Paralympic Games. He’s also younger than most of his competitors, who tend to range from 30-40 years old. His age however, has not held him back – to date his major accomplishments include a silver medal in the Individual Pursuit at the 2015 Parapan Am Games and a bronze medal in the Individual Time Trial at a 2016 World Cup in Belgium.

According to Abbott, Sametz is well poised to reach the podium in two of his four events. “If all the stars align he could get third in the Individual Pursuit and third in the Individual Time Trial. He’s definitely within striking distance,” says Abbott.

Sametz is more modest in his predictions, preferring to focus on what he needs to do to perform well in Rio. “The last three months I noticed myself getting better,” he says. “I’m going to try and do my very best in all my races. My competitors are not new to me. They are the same guys I’ve raced against at World Cups and World Championships. I know where I’ve placed before and want to improve on those placings.”

CSI Calgary is proud to support Team Canada Para athletes. Other CSI Calgary supported athletes to watch: Jenn Brown and Alister McQueen in para athletics; Ross Wilson para cycling; Morgan Bird, para swimming; Stefan Daniel, para triathlon; Chad Jassman and Arinn Young, wheelchair basketball; Zak Madell, wheelchair rugby; and athletes from the women’s sitting volleyball team Angelena Dolezar, Leanne Muldrew, Jennifer Oakes, Shacarra Orr, Heidi Peters, Tessa Popoff, Amber Skyrpan, and Katelyn Wright.

The Opening Ceremonies for the Rio 2016 Paralympic Games kick off at 4:30pm MST Wednesday September 7, 2016.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
07/09/16

More Than One Way to Support an Olympic Dream

Career Management, which is part of Game Plan, aims to help athletes explore and engage in different career paths. The Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary) takes it a step further by directly helping current and retired Olympic, Paralympic, and National Team athletes find work experiences that are flexible and purposeful.

Cara Button, Director, Stakeholders Relations at the CSI Calgary, has been instrumental in the implementation of Game Plan, a program that ensures athletes are well prepared for life beyond their sport.

Strongly believing that part of being prepared is having confidence in the workplace, she discussed the opportunity to provide a more meaningful experience to athletes by offering something different than the typical sponsorship package with Christoph Faig, Founder, Chief Executive Officer and Director of the Calgary based software development company aclaro softworks.

Faig jumped at the chance, and team aclaro currently sponsors individual athletes directly. As part of the sponsorship program, they offer the ‘team aclaro’ athletes the opportunity for part-time work experience. The team is comprised of skeleton athlete Micaela Widmer, biathlete Christian Gow, biathlete Scott Gow, speed skater Gilmore Junio, and track cyclist Monique Sullivan.

“We are not a huge company, and you don’t need to be to hire athletes and to have an impact,” says Faig. “Offering employment to athletes has not been charity for aclaro – we have benefitted hugely from having athletes at our company.”

Skeleton athlete Sarah Reid was sponsored by aclaro for the 2013/2014 season. Forced to take the 2014/2015 season off due to injury, Reid began working in the aclaro office. Blogging about the value the employment program provided her with, Reid writes, “It can be a pretty frightening thing to take that big step off of the ice and into the office. I had no post-secondary education, no work experience, and a very short resume. What I did have though, what we [athletes] all have, is an abundance of very unique life experiences to bring to the table. Through sport we have learned what it means to work as a team. To succeed and to fail. To persevere. To accept criticism and to commit to something.”

As aclaro has shown, there are many ways that a company can invest in an athlete’s Olympic dream. Faig insists that the key to success when employing athletes is flexibility with hours and using the resources available through the CSI Calgary to ensure the correct athlete-company match is made.

If your company is interested in gaining a valuable employee while helping an athlete prepare for their life beyond sport, please contact Cara Button at 403-220-8184 or Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Further information and resources can be found at www.csialberta.ca/game-plan.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @BSchussler

Nous sommes en avance d’une centaine d’années

« The clock is ticking but there is no time for regrets (Le temps passe, mais il n’y a aucune place pour les regrets). » Ces paroles de la chanson « Heroes Tonight » de Janji, résonnent en trame de fond de la vidéo illustrant les points forts des Jeux paralympiques de 2016 que les nouveaux et anciens athlètes de l’ICS de Calgary regardent. Tout l’auditoire a la chair de poule en regardant le montage de la CBC, est-ce de la peur ou de l’inspiration?

Le message est poignant pour les athlètes qui se sont réunis, tout comme les membres distingués du personnel de l’ICS de Calgary, pour le deuxième événement de réseautage de l’industrie organisé par l’ICS au centre-ville de Calgary afin d’apprendre les meilleures façons d’assurer la transition vers la prochaine étape de leur vie. Le temps passe réellement et il n’y a aucune place pour les regrets.

Ces événements de l’ICS de Calgary visent à offrir des possibilités de réseautage aux athlètes et de faciliter les discutions à propos de la transition difficile entre la vie d’athlètes et une nouvelle vie professionnelle. Seyi Smith, athlète olympique en 2012 et ingénieur électrique, est l’un des athlètes qui s’est engagé à suivre une profession très tôt lors de la carrière sportive.

Seyi a partagé des anecdotes sur son parcours professionnel, un parcours long et parsemé d’histoires humoristiques qui a éventuellement mené à un travail d’ingénieur en formation à gestionnaire de projet chez AltaLink, la plus importante entreprise de transport d’électricité réglementée.

On peut supposer qu’il est facile pour un olympien ayant un diplôme en génie électrique de se trouver un emploi, mais Seyi a rencontré de nombreux obstacles avant de trouver l’emploi de ses rêves chez AltaLink. Cette histoire n’est pas exceptionnelle, les athlètes olympiques ont souvent de la difficulté à trouver un emploi, et ce, même s’ils se font souvent répéter qu’ils ont les qualités que les employeurs recherchent.

Seyi a obtenu son diplôme à l’étranger et à son retour au pays, il était préoccupé par la possibilité que son diplôme devienne désuet avant de pouvoir trouver un emploi, pendant qu’il s’entraînait pour les Jeux olympiques. « J’ai commencé à établir des relations, mais j’étais incapable de trouver un emploi. Après un certain temps, j’ai arrêté craignant la désuétude et de ne pas avoir les compétences nécessaires » affirme-t-il.

Scott Thon, président et directeur général de AltaLink, a embauché Seyi après une série de rencontres de réseautage. Il mentionne en toute franchise aux athlètes pourquoi ils sont si précieux en tant qu’employés. « Le secret que vous devez connaître, c’est que nous voulons tous être comme vous, dit-il. Nous voulons tous être des athlètes olympiques. » Un commentaire fait en plaisantant, mais qui explique à quel point les traits des athlètes sont admirés et recherchés par les entreprises.

M. Thon énumère les traits qu’il recherche le plus, un esprit d’équipe, une solide éthique de travail, une attitude axée sur les objectifs et faire preuve de résilience. Il admire également l’attitude des athlètes sérieux, ils sont toujours disposés à recevoir des rétroactions et travaillent dans le but de s’améliorer. Seyi est d’accord, « les athlètes veulent toujours s’améliorer, c’est comme cela qu’ils gagnent. »

Au cours de la soirée, le groupe d’athlètes a travaillé ensemble afin de répondre à certaines questions fondamentales. Quels sont les défis et les possibilités d’embaucher des athlètes qui ont besoin d’un horaire de travail souple? Quels sont les trois éléments les plus importants que les athlètes devraient suivre afin de se préparer pour leur prochain emploi? Pouvez-vous nous donner des exemples concrets de compétences polyvalentes?

Il n’y a pas de réponses simples, mais un thème est ressorti : le besoin simple et essentiel d’agir, selon la capacité de l’athlète, dans le but d’avoir la carrière qu’ils ont envisagée. M. Thon souligne l’importance de mettre en place un réseau et de se faire connaître. « Si vous envisagez avoir une carrière, vous devez vous commercialiser, qu’elles sont vos compétences et quel est votre public cible? »

Le monde regorge de possibilités. En bout de compte, le message essentiel qui ressort est le même que celui dans les sports, travaillez fort et vous obtiendrez les résultats, éventuellement.

Un deuxième moment marquant de la vidéo de la CBC clôture la soirée, celui-là tiré des Jeux olympiques d’été de 2016. Une vidéo montrant Erica Wiebe, Penny Oleksiak et Andre De Grasse donne encore plus la chair de poule, le groupe the Tragically Hip le mentionne dans sa chanson : we are ahead by a century (Nous sommes en avance d’une centaine d’années). Il est parfois difficile de partager ce sentiment, compte tenu de ce que nous avons appris ce soir sur le long chemin qui se dresse devant nous.

La transition peut s’avérer insurmontable, mais tout comme le combat et la persévérance dont font preuve les athlètes dans un sport, ils en feront également preuve dans la vie. Malgré les obstacles qui nous attendent, le grand Gord Downie nous chante « you are ahead by a century... no dress rehearsal, this is our life (vous êtes en avance d’une centaine d’années... aucune répétition, il s’agit de votre vie. »

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
12/10/16

Onwards and Upwards with the Smith School of Business

Nelson Mandela said, “Education is the most powerful weapon which you can use to change the world.” Combine education with the qualities gained in high-performance sport and the result is no doubt a profound capacity to achieve great success in life, and even change the world.

Facilitating the acquisition of a world-class education is an eight-year partnership established in 2015 between the Canadian Olympic Committee (COC) and the Smith School of Business at Queen’s University.

The program is offered through Game Plan, powered by Deloitte, Canada’s total athlete wellness program, where eligible athletes (Olympians, Paralympians and National Team Athletes) can apply for scholarships to pursue a number of programs at Smith, including an MBA. Several CSI Calgary athletes have earned full ride scholarships at Smith through the program, like Nathaniel Miller (water polo) and Jessica Zelinka (athletics).

Elspeth Murray, Associate Professor and Associate Dean of MBA and Masters Programs at the Smith School of Business, says the partnership provides a great opportunity for the COC and Smith to add value to each other’s organizations.

“Both the COC and Smith share a high-performance coaching culture,” she explains. “Each partner brings a unique and highly successful approach to coaching to the partnership, sharing best practices through workshops and networking.”

Long Track speed skater Lauren McGuire is transitioning out of a lifetime in high-performance sport and is one of the latest CSI Calgary athletes to be awarded a scholarship at the Smith School of Business via the Game Plan program, along with ski jumper Eric Mitchell, who won a scholarship to the Accelerated MBA program.

After two frustrating years of dealing with a herniated disc in her back, McGuire realized she needed to explore her options outside of sport. She learned about the Game Plan scholarships at Smith through CSI Calgary and her curiosity was piqued.

McGuire, who has an undergraduate degree in Biological Sciences and Italian from the University of Calgary, will begin the one-year MBA program in January.

Although she had never really considered pursuing an MBA – she initially wanted to pursue either medicine or dentistry – it was an experience working as a national team mentor for girls aged 8-15 in winter sport through the Girls Only Athletic Leadership program at WinSport that made her realize she was passionate about mentorship and helping others achieve their potential.

“It was super empowering to help these girls pursue sport, whether they were athletic or not,” affirms McGuire. She says the experience changed the direction she wanted to take. “I realized I wasn’t going to get this feeling doing surgery in people’s mouths,” she laughs.

McGuire credits her commitment to taking full advantage of the life skills workshops available to CSI Calgary athletes (like public speaking and self-marketing) with building her skillset with skills that programs like the MBA at Smith are looking for. “A small investment of time over the years accumulated to a very strong resumé,” says McGuire. “They were looking for people with my skills and everything lined up.”

Murray says that high-level athletes possess many of the characteristics that Smith looks for in students. “They have skills in leadership, determination, collaboration, resilience,” she says. “We also know that these athletes will thrive in our team-based approach to learning. They “get” how to contribute to a high-performance team and have and will continue to be an asset to all our programs.”

McGuire is most interested in the field of organizational development and enhancing team environments in business and human resources. She says is looking forward to working with like-minded students in the MBA program. “I’m thrilled and grateful to have the opportunity to step from one great team to another great team,” she says.

As part of the eight-year strategic partnership, up to 1,200 Game Plan athletes are eligible for scholarships across 11 different programs. In the two years since the partnership was announced, 11 Canadian athletes have joined the Smith alumni family. Another 49 are currently enrolled in graduate programs.

Scholarships cover all program fees associated with the full-time Queen’s MBA program, Accelerated MBA, Executive MBA, Executive MBA Americas, Master of Management Innovation & Entrepreneurship, Master of Finance – Toronto, Master of International Business, Master of Management Analytics, Master of Management in Artificial Intelligence, Graduate Diploma in Business, Certificate in Business and Executive Education offerings.

Applications can be made through Game Plan, https://www.mygameplan.ca/resources/education. * Not all applicants receive a scholarship

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by: Dave Holland @csicalgaryphoto
11/10/18

Passer des Olympiques à un doctorat en comportement directorial

Cari (Read) Din a obtenu une médaille d'argent olympique en nage synchronisée. Elle a en outre reçu un doctorat en comportement directorial et peut relier ces deux réussites à son rôle au sein de l'Institut canadien du sport de Calgary (ICSC). Cari Din est d'avis que l'ICSC a eu une incidence sur sa carrière en nage synchronisée et, forte de ses connaissances en comportement directorial, désire maintenant faire profiter les autres de son expérience.

Paving the Pathway to the Podium

Budding athletes dream of the Olympic podium, but from a distance – it’s a long way off. This precious dream is held deep down in their young hearts by the belief that it is possible to one day step up and earn that glorious, coveted medal on the day it matters most. That the prize remains a distant goal is not a concern, in fact it is the great distance that must still be traveled that drives the next generation of Canada’s best.

It is not just through dreams that Olympic medals are won – it is the end result of years, if not decades, of dogged and meticulous preparation. This preparation begins long before the young athletes reach the elite level, at a time when they are the most malleable, adaptable and willing to learn.

The CSI Calgary, alongside a network of seven Alberta Sport Development Centres (ASDCs), recognizes this timeframe as an opportunity to help prepare young athletes for the next level. In Alberta, the pathway to the podium is being intentionally and methodically paved, by a joint CSI Calgary-ASDC effort that aims to enable emerging athletes reach their goals. Since 2009, the ASDCs have worked closely with both the CSI Calgary and the Provincial Sport Organizations (PSOs) of nineteen targeted sports to identify needs and deliver the right services and resources.

One of the primary goals is to introduce athletes to sport science services at a younger age. By partnering with the CSI Calgary, the ASDCs are able to introduce the kind of philosophy, language and science to the emerging athlete so that when they progress to the next level, it’s not all new. Reid Bilben, Manager of the ASDC in Calgary, says, “Bringing sport science to the forefront of the development pathway is a key factor in preparing the athletes.” He adds, “We are more intentional with what we are doing, we are more targeted and strategic than we have ever been.”

According to Miranda Sallis, Manager of Performance Services at CSI Calgary, the partnership also aims to extend the CSI Calgary approach to the PSO level. “The goal is to standardize the system by filtering down those best practices, like identifying gaps in an athlete’s performance or implementing the correct testing protocol and how to interpret results. The result is that there is a pathway for them to succeed,” she says.

Sallis also recognizes the importance of a targeted approach that best serves the athletes. “There are so many layers of influence on a young athlete,” she says, “We are trying to answer the question – ‘What do the athletes actually need?’ We are looking at laying the right foundation instead of just throwing everything at them and hoping something works.” This intentional approach has led to systematic alignment throughout the athlete development pathway.

The impact of the partnership extends to the five rural ASDCs as well. Scott Fraser, Director of High Performance Sport at Alberta Sport Connection, says, “ASDC is a good opportunity for the clubs to have their athletes have access to sport science.” Additionally, there is a component of knowledge sharing and educating local coaches, which Sallis says “opens their eyes to what is potentially available to them.”

It’s not just the young athletes that have big dreams, the proponents of this partnership have a dream too. Says Sallis, “In a perfect world, the pathway would lead from the ASDC, to Next Gen to National Team to the Olympic Podium.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
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15/06/16

Paving the Way: Kelly Anne Erdman

The Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary) congratulates Kelly Anne Erdman on her recent publication, an accomplishment she deems to be, “The greatest achievement of my career.” Erdman has been a source of knowledge in Canadian athletes’ lives for over two decades. Always up-to-date on cutting-edge research, Erdman has been a Performance Dietitian at the 2012 and 2014 Olympic Games as well as the 2011 Pan Am Games.

Erdman began working at the CSI Calgary in 1994, paving the way in the field of sports nutrition. An Olympian in track cycling, Erdman continues to be aligned with the CSI Calgary, working predominantly with the speed skating team and Hockey Canada as the lead dietitian for both the women’s and sledge hockey programs and consulting with the men’s team. She also consults with a variety of sports including luge, heptathlon, and nordic skiing.

For her recent publication, Erdman was hand-picked by Dietitians of Canada to be a co-author on the February 2016 position paper titled Nutrition and Athletic Performance: Position of Dietitians of Canada, the Academy of Nutrition and Dietetics and the American College of Sports Medicine. The publication is an in-depth report on the role of nutrition as a critical piece of high performance sport and shares the authors’ expertise by outlining evidence-based current recommendations for athletes’ nutrition.

As one of three authors who spent a year and a half re-writing the paper based on current evidence, Erdman’s co-authors were American D. Travis Thomas from the Academy of Nutrition and Dietetics and Australian Louise M. Burke representing the American College of Sports Medicine. As science and sport are always evolving, this is the third time the paper has been re-written to update the information. Last published in 2011, the joint position paper will go through its next re-write in 2019.

Erdman says that this re-write is more focused on the need for athlete nutrition to be customized. She believes that it is critical for athletes and their support teams to be aware of how an athlete’s nutrition needs vary on a daily basis. When asked the one piece of advice that she would give to her fellow Sport Dietitians, Erdman stresses that she believes in tailoring the message, customizing it for each athlete’s needs.

Ultimately, it is evident that Erdman loves what she does and is an integral component to the success of Canada’s athletes. While the CSI Calgary knows that Erdman is very deserving of this recognition, she humbly emphasizes, “It was a huge honour for me to represent sport dietitians in Canada, and I would not have been given the opportunity to work on this piece of literature had I not been affiliated with a high performance institute such as the CSI Calgary.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Brittany Schussler: @BSchussler
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Percée

Pour certains athlètes, la vie après le sport peut signifier terminer leurs études et trouver un emploi. Pour d’autres, la transition peut devenir une crise existentielle aux proportions colossales. Abandonner le sport de compétition est une dure pilule à avaler.

Lors des semaines et des mois suivant les Jeux olympiques, beaucoup d’athlètes ressentent un malaise post-olympique caractérisé par une déprime après l’anticipation intense de ce qui s’avère souvent la compétition la plus importante de leur carrière. Peu importe si l’athlète revient nouvellement médaillé olympique ou déçu de ses performances, un doute quant à son avenir s’installe.

Cette période post-olympique peut être ponctuée de changements dans l’organisation, le personnel d’entraîneurs et la structure du programme. Tous ces facteurs, combinés avec la quête identitaire et le désir de poursuivre la compétition d’un athlète peuvent rendre cette période très chaotique.

À l’approche de cette étape, le Sommet Plan de match 2016 la fin de semaine dernière avait pour but d’explorer les cinq composantes de Plan de match : carrière, éducation, santé, réseau et perfectionnement des compétences. Plan de match est un programme collaboratif du Comité olympique canadien (COC), du Comité paralympique canadien (CPC), du Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (RISOP), Deloitte et de Sport Canada. L’événement, deuxième du genre, a rassemblé les partenaires de Plan de match et les athlètes des équipes nationales dans la toute nouvelle Université Deloitte, un campus d’apprentissage dans l’immeuble Deloitte, au centre-ville de Toronto.

Le Sommet donnait la chance aux athlètes de réseauter avec d’anciens athlètes et des dirigeants d’entreprise, de revoir d’autres athlètes, d’assister à des ateliers de perfectionnement et de repartir avec des outils et des expériences concrètes. Le thème de l’événement était « Percée », et l’objectif était de donner accès à des connaissances et à des ressources aux athlètes pour qu’ils offrent leur meilleur rendement, tant dans le sport que dans la vie.

Jessica Zelinka, double olympienne en heptathlon et athlète de l’ICS Calgary, a tout juste raté son objectif de participer aux Jeux de Rio. Malgré sa déception, son amour du sport persiste et elle n’est pas prête à jeter l’éponge. Alors qu’elle prépare son avenir, elle poursuit l’entraînement et a accepté deux emplois.

En plus des séances et des ateliers du Sommet ciblant les aspects pratiques de la transition, Jessica a vraiment aimé pouvoir tisser des liens avec d’autres athlètes. « C’était vraiment une belle occasion de voir tout le monde et d’entendre leurs histoires, de savoir que je ne suis pas seule et qu’il y a beaucoup de soutien offert. »

Erica Wiebe, championne olympique de 2016 en lutte et athlète de l’ICS Calgary, partage ce sentiment. Bien que l’horaire d’Erica déborde d’apparitions publiques et de conférences, lui laissant peu de temps pour planifier son avenir, elle a saisi l’occasion de rencontrer les autres athlètes.

« Mes pairs m’inspirent tellement, a-t-elle déclaré. Nous faisons tous la même chose, mais nous avons chacun notre propre histoire. C’est génial de découvrir comment tout le monde gère les défis dans sa vie. »

Cara Button, directrice des relations avec les intervenants à l’ICS Calgary, était conférencière lors du Sommet. Elle a remarqué que l’événement a permis à de nombreux athlètes de découvrir une ressource. « On a présenté aux athlètes le programme Plan de match et la richesse des ressources qui leur sont offertes alors qu’ils préparent leur avenir », a-t-elle souligné.

Les défis associés aux transitions ne touchent pas que les athlètes. L’un des messages récurrents du Sommet était que la transition touche tout le monde à un moment ou à un autre et que le besoin de s’y adapter est perpétuel et universel. Pour certains athlètes, faire preuve d’honnêteté face à leurs véritables émotions est difficile.

« Le Sommet a facilité le début du questionnement intérieur que je redoutais et m’a permis de découvrir les options et ressources qui me sont offertes, a souligné Jessica. Je sais qu’il existe d’autres choses que je pourrais aimer, mais je ne sais pas encore quoi. »

Le programme Plan de match permet de rehausser la force mentale des athlètes qui appliquent ensuite à titre de leaders les connaissances qu’ils ont acquises afin de s’améliorer et d’améliorer leur communauté.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
09/11/16

 

Plan de match à long terme

Se préparer à la vie après la retraite sportive est rarement la priorité des athlètes. La majorité de leur énergie et de leur concentration est consacrée aux exigences pressantes liées à l’entraînement et à la compétition, ce qui ne laisse que peu de place au perfectionnement professionnel en dehors du sport. Toutefois, un effort concerté est déployé à l’ICS Calgary pour offrir aux athlètes une variété d’ateliers et de séminaires par l’intermédiaire de Plan de match; l’objectif consiste à stimuler le perfectionnement des compétences dans des domaines qui les aideront à réussir après leur retraite sportive.

Dans le cadre de son poste de responsable des services aux athlètes à l’ICS Calgary, Amy Van Buskirk est appelée à informer les athlètes des programmes qui leur sont offerts et à les encourager à s’y inscrire. Selon elle, « bien que les athlètes ne connaissent pas toujours ces programmes et qu’ils aient parfois besoin d’un petit coup de pouce pour s’inscrire, ils sont toujours ravis de le faire et sont extrêmement reconnaissants ». Les cours offerts comprennent la planification financière, le réseautage, l’art oratoire, LinkedIn, la formation sur les médias ainsi que la stratégie de marque et le marketing.

Il y a un athlète récemment à la retraite qui n’a besoin d’aucun coup de pouce : Rudy Swiegers, patineur artistique en couple et athlète olympique des Jeux de 2014, s’inscrit à tous les cours qu’il peut suivre. « En ce moment, je suis ouvert à toute possibilité; il est bon d’évoluer en tant qu’athlète et en tant que personne », dit-il. Un des principaux avantages que M. Swiegers a remarqué est qu’il peut immédiatement appliquer les compétences qu’il apprend. « Le cours sur l’art oratoire m’a appris des compétences que je peux utiliser lors d’un entretien d’embauche; je peux ainsi trouver rapidement des idées et les communiquer », dit-il. C’est quelque chose qu’il espère faire dans un avenir proche.

Pour la lugeuse Arianne Jones, qui s’entraîne pour les Jeux olympiques de 2018, les cours ne sont pas réservés à la vie après la retraite sportive. « Ils sont utiles pour le futur, mais aussi vraiment utiles maintenant, dit-elle. Avec ces ateliers et événements, je peux tisser des liens qui déboucheront sur des commandites pendant ma carrière sportive ainsi que sur des emplois potentiels quand je prendrai ma retraite. » Selon elle, se préparer au futur ne risque pas de détourner son attention de sa carrière en luge. « Je crois que penser au futur est une bonne chose et que cela ne nuit pas à la compétitivité. Il est possible de préparer l’avenir et d’être compétitif de manière synchrone. »

Ce que les athlètes apprennent peut se transmettre. Selon Mme Van Buskirk, il existe une influence entre pairs qui aide à faire évoluer le programme et à toucher plus d’athlètes. « Les athlètes voient d’autres athlètes aller aux ateliers et partager ce qu’ils ont appris; cela donne envie aux autres de participer. Cela en vaut vraiment la peine », dit-elle. En fin de compte, l’objectif consiste à aider les athlètes à développer des compétences qu’ils peuvent utiliser dans le cadre de leurs nouvelles carrières après leur retraite sportive.

Mme Jones reconnaît que la transition après sa carrière sportive représentera un défi, quel que soit le nombre d’ateliers auxquels elle participe ou son niveau de préparation. « Aucun athlète n’arrête le sport et dit que tout s’est bien passé! Cela n’arrive jamais », rit-elle. En effet, cette transition peut être difficile pour un grand nombre d’athlètes, si ce n’est la plupart d’entre eux. Mais selon Mme Jones, il est quand même important de travailler sur son perfectionnement professionnel pour l’avenir quand on est encore un athlète. « Cela vous donne l’impression de faire ce qu’il faut maintenant et quand vous prendrez votre retraite, vous aurez quelques compétences et formations sur lesquelles vous appuyer », dit-elle.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
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06/07/16

Plus d’une façon d’appuyer un rêve olympique

La gestion de carrière, un élément de Plan de match, vise à aider les athlètes à explorer divers choix de carrière et à en faire l’expérience. L’Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary) pousse le tout un peu plus loin en aidant les athlètes actifs et à la retraite ayant participé aux Jeux olympiques ou paralympiques, ou ayant fait partie des équipes nationales à vivre des expériences professionnelles pertinentes et flexibles.

Cara Button, directrice, Relations avec les intervenants à l’ICS Calgary, a joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre de Plan de match, un programme qui assure la bonne préparation des athlètes à leur vie après le sport.

Comme elle était convaincue que la confiance en milieu de travail faisait partie intégrante d’une bonne préparation, elle a discuté de la possibilité d’offrir des expériences plus significatives que le forfait de commandite habituel avec Christoph Faig, fondateur, chef de la direction et directeur d’aclaro softworks, une entreprise de développement de logiciels établie à Calgary.

M. Faig a sauté sur l’occasion : en ce moment, son entreprise commandite directement quelques athlètes et une partie du programme de commandite comprend la possibilité de travailler à temps partiel. L’équipe aclaro est formée de la skeletoneuse Micaela Widmer, des biathloniens Christian et Scott Gow, du patineur de vitesse Gilmore Junio et de la coureuse cycliste sur piste Monique Sullivan.

« Notre entreprise n’est pas énorme, et ce n’est pas nécessaire pour embaucher des athlètes et faire une différence, mentionne M. Faig. Offrir un emploi à des athlètes n’est pas une œuvre de bienfaisance pour aclaro. Nous avons profité grandement de la présence d’athlètes dans notre entreprise. »

La skeletoneuse Sarah Reid a été commanditée par aclaro lors de la saison 2013-2014. Contrainte au repos par une blessure lors de la saison 2014-2015, Sarah a accepté un emploi de bureau à aclaro. Sur son blogue, Sarah souligne les bienfaits du programme d’emploi : « C’est une grande étape de passer de la glace à un bureau, et ça fait assez peur. Je n’avais aucune étude postsecondaire, aucune expérience de travail et un CV très court. Toutefois, je pouvais – nous [les athlètes] pouvons tous – mettre à profit la foule d’expériences de vie très uniques qu’offre une carrière sportive. En effet, nous y apprenons à travailler en équipe. À faire face à la réussite tout comme aux échecs. À persévérer. À accepter la critique et à s’engager pleinement. »

Comme l’a démontré aclaro, une entreprise peut investir dans le rêve olympique d’un athlète de bien des façons. M. Faig souligne avec force que le succès de l’embauche d’un athlète réside dans la flexibilité de l’horaire et l’utilisation des ressources disponibles à l’ICS Calgary pour s’assurer que l’entreprise et l’athlète sont compatibles.

Si votre entreprise souhaite embaucher un employé talentueux tout en aidant un athlète à préparer sa vie en dehors du sport, veuillez communiquer avec Cara Button au 403 220-8184 ou à l’adresse Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Vous trouverez plus de renseignements et de ressources à l’adresse www.csialberta.ca/fr/life-services/plan-de-match 

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler

Pour les derniers Jeux, il y a Plan de match

(De gauche à droite: Chandra Crawford, Neil Smith, Blythe Hartley, Will Dutton)

De nombreux points en commun unissent les athlètes d’une façon tacite, mais profonde : la souffrance physique volontaire, les palpitations cardiaques sur la ligne de départ, l’ivresse de la victoire. Mais les liens les plus partagés et les plus unificateurs sont sans doute les inévitables derniers Jeux : la fin, qu’elle arrive par choix ou par la force des choses, d’une vie consacrée à la poursuite de l’excellence dans le sport.

La transition de vie constitue un défi qui ne ressemble à aucun autre dans le sport, une traversée que tous les athlètes doivent entreprendre. Blythe Hartley, médaillée de bronze au Jeux olympiques de 2004, décrit sa transition du plongeon au « vrai monde » comme le défi le plus difficile à relever de toute sa carrière. « Je savais que j’allais prendre ma retraite après 2008, mais je ne m’étais pas préparée. Je savais que c’était imminent, même si j’ai terminé sur une bonne note et que j’aime mon sport. Ce fut une période difficile, j’étais dans le flou. »

Pour Will Dutton, 26 ans, patineur de vitesse sur longue piste et athlète de l’ICS, la fin est arrivée par choix après une décevante saison 2014-2015, au cours de laquelle son amour du sport a périclité et les blessures ont avalé ses progrès. Il a étudié la menuiserie, mais le désir de la compétition est revenu rapidement. « Le sport me manque. Mon amour du patinage de vitesse est revenu, mais je me demandais aussi “Qu’est-ce que je veux faire de ma vie?”.»

Pour Blythe Hartley, Will Dutton et d’innombrables autres athlètes de l’ICS Calgary qui cherchent une réponse à cette question, il y a Cara Button, conseillère Plan de match. Plan de match, le programme canadien axé sur le bien-être global des athlètes, soutient et responsabilise les athlètes de haut niveau dans leur quête de l’excellence pendant et après leur carrière sportive.

Madame Button s’occupe des relations avec les athlètes tout au long de leurs carrières, ce qui lui a permis de développer une approche individuelle afin de soutenir chacun dans son passage du sport à la vie après le sport, qui peut parfois s’avérer éprouvant. « Je suis la mère de 300 jeunes adultes! » s’exclame-t-elle.

Les compétences acquises par les athlètes durent toute la vie, mais les athlètes en transition ne voient pas toujours ou n’apprécient pas toujours comment les appliquer à leur nouvelle carrière. C’est le travail de madame Button d’aider les athlètes à réaliser leur potentiel après le sport. « Nous offrons les ressources, mais la responsabilité demeure celle de l’athlète. Ils oublient qu’ils ont toutes les compétences. Parfois, ils ont simplement besoin d’une petite poussée et de rencontres individuelles pour les aider à établir leurs priorités. », ajoute-t-elle.

Neil Smith, le chef de l’exploitation de Crescent Point Energy de Calgary, appuie les athlètes de l’ICS Calgary depuis des années. Il travaille avec madame Button pour aider à créer des occasions d’emplois pour les athlètes et les athlètes en transition. « L’une des choses les plus importantes pour moi est que les athlètes sont prêts à risquer l’échec », explique-t-il. « Je garantis que les compétences acquises en tant qu’athlète sont exactement celles qui sont nécessaires dans une nouvelle carrière. »

Lors d’une récente activité de réseautage organisée conjointement par l’ICS Calgary et Crescent Point Energy, des athlètes et des athlètes retraités ont eu l’occasion de rencontrer des professionnels de l’industrie et d’apprendre des leçons d’un groupe de discussion formé de Dutton, Hartley et Smith.

Pour monsieur Hartley, devenu conseiller en RH à ARC Resources, le soutien de madame Button et de l’ICS Calgary est précieux. « J’ai été très chanceux de bénéficier du soutien de l’ICS Calgary à cette époque, cela m’a été très utile. C’est possible de passer à travers. »

Avec un plan pour l’avenir, monsieur Dutton fréquente maintenant une école et s’entraîne pour les prochains Jeux olympiques. À sa première saison après son retour, il a remporté cinq médailles de coupe du monde, qu’il attribue à sa nouvelle motivation. « J’ai commencé à croire en moi-même. Croire en quelque chose a beaucoup amélioré mes performances. J’avais autre chose sur quoi je pouvais me concentrer. »

Si vous êtes intéressé à embauche un athlète, communiquez avec Cara Button à l’adresse Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto 

Prêt pour le feu des projecteurs

Debout en chaussettes, devinant instinctivement la prochaine manœuvre, suivant la performance de l’athlète corps et âme. C’est comme ça qu’on retrouvera Kyle Shewfelt, médaillé d’or olympique en 2004, travaillant comme analyste en gymnastique pour la CBC lors des prochains Jeux olympiques d’été de Rio. Son approche est peut-être inhabituelle, mais elle est honnête : il a découvert qu’il n’est simplement pas à l’aise assis à un bureau.

« Les paroles ne me viennent pas lorsque je suis assis, je me sens dégonflé. Alors, j’ai commencé à me tenir debout. Je suis libre, et les paroles me viennent avec plus d’énergie », raconte Kyle, qui animera ses troisièmes Jeux. « En tant qu’ancien gymnaste, j’ai développé un sixième sens pour les prochaines manœuvres, poursuit-il. J’attrape la barre avec l’athlète. » Kyle est ravi d’avoir l’occasion de partager ses connaissances – il connaît la plupart des routines des athlètes par cœur – ainsi que sa passion pour la gymnastique avec les milliers de téléspectateurs regardant les Jeux.

Pour Kyle, l’un de six anciens de l’ICS Calgary jouant le rôle d’animateur pour la CBC à Rio, deux facteurs clés contribuent au succès d’un animateur : des recherches et de la préparation exhaustives ainsi qu’un réel enthousiasme pour la compétition qui se déroule. Le plus grand défi, toutefois, et souvent le plus difficile à relever, c’est de réussir à transmettre aux téléspectateurs ses connaissances et sa passion efficacement et de façon divertissante.

« La concision est très importante et extrêmement difficile à atteindre », confirme Kelly VanderBeek, athlète olympique et skieuse alpine devenue animatrice. À la télévision, les commentaires longs ou complexes n’ont pas leur place. Kyle abonde en ce sens : « Il faut savoir quand parler et quand laisser l’action parler d’elle-même. Il faut mettre le doigt sur les moments où l’action est plus éloquente que les paroles. Je veux que mes commentaires complètent la performance plutôt que de distraire de celle-ci. »

En plus de sensibiliser les téléspectateurs, les analystes racontent des histoires et réagissent à ce qui se passe à l’instant, c’est-à-dire qu’ils doivent parfois changer rapidement et fluidement la trame, délaissant l’histoire qu’ils racontent sur un athlète pour expliquer une erreur subite ou un changement de jeu. À bien des égards, les analystes doivent performer sur demande comme lorsqu’ils étaient athlètes. Pour Blythe Hartley, médaillée de bronze olympique en plongeon, « lorsque je suis sur les ondes, les sentiments que j’éprouve reflètent ceux des athlètes – je dois réagir à l’instant et performer quand ça compte. Je deviens nerveuse et je ressens la poussée d’adrénaline. »

Mais le passage du sport à l’animation télévisée n’est pas toujours facile. Un bon athlète ne fait pas forcément un bon analyste ou une bonne personnalité. Or, bon nombre des qualités et compétences qui les ont propulsés au sommet de leur sport assurent également leur succès à la télévision, notamment la pratique sans cesse, l’ouverture à l’entraînement et la croyance qu’il y a toujours place à l’amélioration. Un peu de vedettariat ne fait pas de tort non plus!

Kelly n’a pas cherché une carrière comme animatrice. Par un heureux hasard, une blessure dévastatrice au genou l’a obligée à se retirer avant les Jeux olympiques d’hiver en 2010. Elle a donné une prestation notable en ondes lors de ces Jeux, et a depuis animé trois autres Jeux olympiques ainsi que le Calgary Stampede et la Coupe Rogers de tennis. « J’y suis arrivé par hasard, et j’ai découvert que j’ai un réel talent pour ça », raconte-t-elle en riant.

Mais tout comme Kyle et Blythe, Kelly travaille extrêmement fort pour se perfectionner, amassant des piles de dossiers remplis de recherches de fond avant tous les nouveaux Jeux. Elle se concentre principalement sur les histoires des gens et des familles derrière les athlètes. Elle nous présente les athlètes au-delà de leur sport, tissant un lien entre eux et les téléspectateurs.

Et c’est là le but ultime : ces anciens athlètes nous racontent les Jeux et nous transmettent leurs connaissances, compétences et personnalité. C’est un honneur pour chacun d’entre eux d’avoir cette occasion, et ils ne la prennent pas à la légère. Kyle va encore plus loin : « J’essaie de me rappeler qu’il y a un jeune qui regarde les jeux et qui va tomber en amour avec la gymnastique. Je veux l’inspirer. »

Que les Jeux commencent!

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo: Kelly VanderBeek
13/07/16

Ready for Prime Time

Shoes off, standing in socked feet, instinctively sensing the next move, following the athlete’s performance with his body and mind. This is how you will find Kyle Shewfelt, 2004 Olympic gold medalist, doing his job as the CBC gymnastics analyst at the upcoming Summer Olympics in Rio de Janiero. Shewfelt’s approach is unusual, but one he comes by honestly after discovering he just doesn’t feel right sitting behind a desk.

“The words don’t come to me when I sit, I feel flat. So I started standing. I’m free and the words started to come out with more energy” says Shewfelt, who’s heading to his third Olympics as a broadcaster. He adds, “You get a sixth sense as a former gymnast of what move is coming next. I’m there grabbing the bar with them.” Shewfelt relishes the opportunity to share this knowledge – he knows most of the athletes’ routines by heart – and his passion for gymnastics with the thousands of viewers at home watching the Games.

For Shewfelt, one of six CSI Calgary alumni filling television roles for the CBC in Rio, there are two key things that contribute to broadcasting success: extensive research and preparation, and being genuinely excited to see it all unfold. The biggest challenge though, and often the most difficult to learn, is being able to communicate that knowledge and passion effectively to the viewer in an entertaining way.

“Economy of language is so important and it’s exceptionally difficult to do” says Kelly VanderBeek, Olympian and alpine skier-turned-broadcaster. In television, there is no room for long-winded or technically complex commentary. Shewfelt agrees, “It’s knowing when to talk and when to let the action breathe. It’s pinpointing the moments when the action speaks louder than my words. I want my comments to add to the performance rather than distract from it.”

In addition to educating viewers, analysts weave in storytelling and react to what is happening in the moment, meaning they may have to change their tack quickly, and smoothly, from telling a story about an athlete to explaining a sudden error or change in play. In many respects, the analysts need to perform on demand in much the same way they did as athletes. Blythe Hartley, Olympic bronze medalist in diving finds, “when I’m on the air, the feelings I have mimic what athletes feel – I have to respond in the moment, perform when it counts. I get nervous and feel the adrenaline rush.”

However, the switch from sport to broadcasting isn’t necessarily an easy one. Good athletes don’t inevitably make good TV analysts or personalities. But many of the qualities and skills that propelled them to the top of their sport are what make them good broadcasters, too. Namely, endless practice, being coachable and an attitude that they can always improve and get better. A little bit of star power helps too.

VanderBeek didn’t seek out a career as a broadcaster. It was a happy accident borne out of a devastating knee injury that forced her to the sidelines before the 2010 Winter Olympics. Her on-air performance during those Games was notable and noticed and since then she has been to three Olympics and taken on the Calgary Stampede and Rogers Cup Tennis. “I just fell into this and it turns out I’m really good at it,” she says with a laugh.

Still, VanderBeek, like Shewfelt and Hartley, works incredibly hard to hone her new craft, collecting stacks of binders full of background research prior to each Games. Her work is primarily centred on telling the human story of the games and about the families behind the athletes. She helps bring the athletes to life beyond their sport, connecting them with the viewers.

This is ultimately the end goal – these former athletes telling the story of the Games and engage Canadians with their knowledge, skill and personality. For all, it is an honour to have the opportunity and one they take very seriously. For Shewfelt, it goes one step further, “I try to remember that there is some kid out there watching who’s going to fall in love with gymnastics. I want to connect with that kid.”

Let the Games begin!

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo: Kelly VanderBeek
13/07/16

S’attaquer aux commotions cérébrales

Les blessures peuvent être synonymes de désastre pour les athlètes, surtout si elles sont graves. Les athlètes les redoutent, car elles représentent des obstacles inhabituels pour eux : repos forcé, récupération et exercices uniquement dans le but de retrouver les capacités perdues. Il y a une blessure en particulier qui est très pénible à surmonter, car elle peut ébranler un athlète indéfiniment et compromettre sa qualité de vie : la commotion cérébrale.

Une commotion cérébrale est une lésion cérébrale qui survient lorsqu’un athlète reçoit un coup à la tête, au cou ou à toute autre partie de son corps qui transmet une impulsion au cerveau. Elle entraîne une multitude de symptômes immédiats, souvent à long terme, comme des maux de tête, des étourdissements, des nausées, de la fatigue, une sensibilité à la lumière et une vision trouble. Les athlètes peuvent aussi souffrir d’un temps de réaction réduit, d’irritabilité, de confusion ou de l’impression de se trouver dans une sorte de brouillard.

La commotion cérébrale affaiblit des fonctions cérébrales, ce qui nuit à des aptitudes que nous tenons pour acquises, celles à l’origine de la performance des athlètes, comme le temps de réaction, l’équilibre, la concentration et le jugement. Elle compromet la capacité de l’athlète à prendre des décisions, alors qu’il attend avec impatience le moment de guérir et de revenir à la compétition. Un sentiment de désespoir et d’impuissance envahit l’athlète, qui ne se pose qu’une seule question : « Quand me sentirai-je normal à nouveau? »

Heureusement, les athlètes souffrant d’une commotion cérébrale peuvent compter sur le chef de file mondial en la matière, le Dr Brian Benson, médecin-chef et directeur de la médecine du sport de l’ICS Calgary. Le Dr Benson s’efforce d’améliorer continuellement les normes en matière de soin des athlètes victimes d’une commotion cérébrale. Au cours des dernières années, lui et son équipe de recherche ont mis en place un nouveau protocole novateur pour évaluer les symptômes des commotions cérébrales chez les athlètes à l’aide d’un appareil robotisé nommé KINARM (Kinesiologic Instrument for Normal and Altered Reaching Movements).

Avec l’appui d’À nous le podium, de WinSport, de l’ICS Calgary et du Hotchkiss Brain Institute, le KINARM fit créé pour mesurer les fonctions cérébrales de manière objective, fiable, précise et chiffrable. Lorsqu’un athlète subit une commotion cérébrale, on vérifie la présence de symptômes en comparant les résultats enregistrés après la blessure avec ceux obtenus lors de tests précédents servant de référence.

« Cette technologie et les tests que nous avons conçus changent la donne pour les athlètes de haut niveau, a souligné le Dr Benson. Nous pouvons mesurer les capacités de l’athlète comme la prise de décisions en une fraction de seconde, la planification visuelle spatiale et la coordination des mouvements. Nous les comparons ensuite aux tests de référence, ce qui nous aide à déterminer si un athlète est complètement rétabli de sa commotion cérébrale ou s’il est à risque de blessures supplémentaires. »

Les tests sont plus objectifs que l’observation humaine. Ils peuvent révéler des anomalies subtiles qui pourraient passer inaperçues lors d’un examen clinique et d’une évaluation cognitive. Donc, le KINARM clarifie et rend plus objectifs les aspects vagues du rétablissement à la suite d’une commotion cérébrale. Comme l’explique le Dr Benson : « Les tests facilitent le travail difficile de l’équipe de gestion multidisciplinaire pour décider du moment où l’athlète est en mesure de revenir à la compétition. »

Jon Kolb, directeur, Science du sport, médecine et innovation d’À nous le podium, mentionne que le besoin de combler une lacune en matière de soins après une commotion cérébrale est à l’origine de son appui de la recherche du Dr Benson et du KINARM. « Nous l’avons fait parce qu’aucune mesure de référence valide n’existait dans le monde, a-t-il expliqué. Nous sentions que c’était notre responsabilité d’avoir des mesures de référence valides pour pouvoir aider les athlètes victimes d’une commotion cérébrale. »

Grâce à ce nouvel outil, le Dr Benson et son équipe ont révolutionné le diagnostic, le suivi et la gestion des commotions cérébrales. C’est d’une valeur inestimable pour les athlètes de haut niveau parce qu’il définit clairement le rétablissement tout en les protégeant des risques sur la santé à long terme d’une nouvelle commotion cérébrale. Selon le Dr Benson, même si le processus de rétablissement est très pénible, c’est l’un des principaux avantages de cette technologie. « On ne peut pas tromper la machine », conclut-il.

Cette technologie est maintenant à la disposition du public par le biais du nouveau programme de commotion sport WinSport et Benson Concussion Institute. Pour en savoir plus sur ce programme, www.winsport.ca.

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Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
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Stoked to Host Freestyle skiers

The Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary) recently witnessed a boost of youthful energy as members of the Slopestyle team made use of the facilities for a training camp.

The team took advantage of a wide range of CSI Calgary services, including physiology testing, mental performance training, nutrition workshops, medical assessments and a Game Plan presentation.

National team athlete Mark Hendrickson found great value in the experience. He said that his highlights were “learning healthy recipes that even someone who is not skilled at cooking can whip up. We also worked with strength and conditioning coach Jamie McCartney. He taught us skills and techniques to improve our dryland training. I enjoyed his approach because of his experience in various sports.”

Olympic Champion Dara Howell also utilized the CSI Calgary services in conjunction with the WinSport facilities. She credits the training facilities for being a component to her Olympic success, saying, “Calgary has always been a great spot for me! Coming into the Olympic year, the training facilities that were open to me were amazing. It’s really neat to see the CSI Calgary and WinSport taking slopestyle under their wing.”

Leading into the 2018 Olympic Winter Games, the younger generation will likely be able to gain even more from the facilities. There are promising discussions about offering a fully integrated training base for Canadian slopestyle athletes in Calgary. The advantages to this type of relationship are evident, with WinSport providing an ideal facility, the WinSport Academy contributing technical and tactical coaching, and the CSI Calgary contributing to the athletes’ training, sport science and medical requirements.

Adrian King, Director of Sport Science and Medicine for the Canadian Freestyle Ski Association, emphasizes that this partnership would be a big win for his team. “We want to link as closely as possible with the CSI Calgary because of the professional expertise. They are major players with respect to sport science services. This is complimented by the terrain at WinSport, which is ideal for slopestyle.”

Hendrickson agrees, saying, “I love the idea of having WinSport as our home training facility. The features on the hill keep getting bigger and more precise year after year. Having all the resources in one place such as physiotherapy, strength training and trampolines make it an amazing place for our athletic development. I am stoked to be able to utilize these resources."

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Written by Brittany Schussler: @BSchussler
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The Best of the Best: 2016 Year in Review

2016 was a memorable year in the world of sport. The 2016 Olympic and Paralympic Games were the major highlight and there were exciting performances in winter sport too – keeping us hungry for more leading into the next Olympic and Paralympic Winter Games in 2018.

Although there were many great stories to choose from, below are a selection of human interest and performance stories coming out of CSI Calgary:

5. Mike Sametz: Young Upstart Para-cyclist Wins Bronze in Rio

In a Paralympic sport typically dominated by older athletes in their thirties and even forties, this 20-year old cyclist has risen through the ranks quickly, winning a bronze in the Individual Time Trial at the 2016 Paralympic Games. His first international podium result came at the 2015 ParaPan Am Games with a silver medal, which led to his first ever World Cup medal, a bronze at a 2016 World Cup in Belgium.

4. Tara Whitten Overcomes All Odds with an Amazing Recovery and Performance in Rio

After a serious and bizarre crash on her bike during a ride in Rio at a training camp in March, Whitten made a remarkable recovery from a concussion and a broken bone in her neck. Whitten was able to train on an adapted bike, designed and built by a CSI Calgary exercise physiologist allowing her to ride in an upright position to protect her neck. Over a 10-week period Whitten was able to build up her endurance enabling her to compete successfully one week after her brace came off. Several weeks later she dominated the National Championships and qualified for Rio. Whitten placed 7th in the Individual Time Trial – a fantastic result by an athlete who persevered through injury with fierce determination.

3. Ivanie Blondin: Mass Start Star

Blondin originally started out in short track speed skating, honing her ability to skate in a pack. This experience has served her well in a new long track speed skating event that is now on the Olympic program – the Mass start. She beat her Dutch rival, Irene Schouten, at the World Single Distance Championships, bringing home the gold medal. Blondin is skating successfully again this fall, with two gold and a silver to date in the ladies Mass start.

2. Bloeman Wins Prestigious Oscar Mathisen Award

Transplanted Dutchman, now Canadian, Ted Jan Bloemen has been a boon to the men’s long track speed skating team. In 2015 he broke his former countryman, Sven Kramer’s, longstanding world record in the 10,000m by almost five seconds. For his efforts, Bloemen won the 2016 Oscar Mathisen Award for the most outstanding speed skating performance of the season worldwide. He is the 5th Canadian to win the award in 57 years. Bloemen has continued to lead the men’s distance team, winning silver in the 10,000m and bronze in the Team Pursuit at the 2016 World Single Distance Championships.

1. Wiebe Wrestles her Heart Out

One of the most enduring images of a Canadian athlete from the 2016 Olympic Games in Rio is that of Erica Wiebe, standing atop the Olympic podium with a gold medal around her neck, singing Oh Canada, tears streaming unabashedly down her face. The gold medal performance by Wiebe was an outstanding example of preparation, execution and confidence. Always one to wear her heart on her sleeve, Wiebe’s performance was dominating and inspiring.

Other Noteworthy Stories from the CSI Calgary:

Rio Olympic and Paralympic Performances: Medals won by CSI Calgary supported athletes include Allison Beveridge, Stefan Daniel, Jennifer Kish, Stephanie Labbe, Kirsti Lay, Alister McQueen, Mike Sametz and Ashley Steacy

Comeback from Injury: Two notable athletes that are making a comeback for the 2016-2017 winter season are alpine skier Dustin Cook, who tore his ACL/MCL in 2015 and speed skater Denny Morrison, who narrowly survived a motorcycle crash in 2015 and a stroke in 2016.

Talent Transfer: Kate O’Brien and Kirsti Lay both transferred into cycling from other sports, both qualified for Rio Summer Olympics with Kirsti winning a Bronze medal in the Team Pursuit.

Luge Podium Sweep: Alex Gough and Kim McRae won Silver and Bronze at Lake Placid World Cup, followed up by Gold in the Team Relay.

Historic Biathlon Bronze: The men’s Biathlon team won Canada’s first ever World Championship Relay medal in the heartland of the sport in Oslo, Norway.

Assistant Chef de Mission: Carol Huynh, CSI Calgary Next Gen Wrestling Coach and 2008 Olympic Champion, joined Team Canada in Rio as an Assistant Chef de Mission.

CBC All Stars: Six CSI Calgary alumni were broadcasters in Rio: Blythe Hartley, Clara Hughes, Kyle Shewfelt, Mike Smith, Mark Tewksbury and Kelly VanderBeek.

Humphries’ Podium Streak Continues: Kaillie Humphries and Melissa Lotholz won Silver at the Bobsleigh World Championships.

New Bobsleigh Star: Cynthia Appiah set a bobsleigh start record at her first ever World Cup with new partner Kaillie Humphries.

New at the CSI Calgary in 2016

Game Plan Networking Events: CSI Calgary held two Game Plan networking events, at Crescent Point Energy with more than 75 current and alumni athletes attending each event.

Sharing Knowledge: 15 CSI Calgary professionals presented at the 2016 OTP SPIN Conference.

Concussion Research: Launch of the KINARM robot, research by Dr. Brian Benson, CSI Calgary’s Director of Sport Medicine, supported by CSI Calgary, OTP, WinSport, Hotchkiss Brain Institute, Mitacs Acelerate-OTP post-doctorate scholar research award for Dr. Tara Whitten.

Education: Strength and Power Performance Course delivered in May.

Coaching Support: CSI Calgary became a regional hub for coaching delivery with a new D2L platform.

New Lead: Tanya Dubnicoff, one of the most decorated cyclists in Canadian history joined CSI Calgary in January 2016 as CSI Calgary Cycling, Athlete Development Lead.

Recognition: CSI Calgary staff recognized for their achievements – Phil Abbott wins a Petro Canada Coaching Excellence Award for work with Paralympic cyclist Mike Sametz; Kelly Ann Erdman, February 2016 position paper titled ‘Nutrition and Athletic Performance: Position of Dietitians of Canada’, published by the Academy of Nutrition and Dietetics and the American College of Sports Medicine.

Practicum and Internship: CSI Calgary supported 13 practicum students and one internship position, working to integrate CSI Calgary knowledge and experience, teaching students, coaches and sport science professionals in the fields of Strength and Conditioning, Sport Science, Biomechanics and Nutrition, to help put Canadians on the podium.

Technology: CSI Calgary launched Edge 10, a web-based platform to capture, monitor and store daily training environment and para medical information. Users include NSFs, athletes, coaches and Service Providers.

New Programs: NextGen programs for Ski Cross, Freestyle Park and Pipe.

Partnerships: ASDC & CSI Calgary partnered to support a new Para Sport Training Program.

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Written by Kristina Groves: @kngrover
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16/12/16

The Future of Triathlon: Emily Wagner

Emily Wagner did not always have her heart set on becoming a triathlete. The 18-year-old Calgarian grew up playing a wide range of community sports including ringette, soccer, and gymnastics. However, it was her prowess in competitive swimming and cross country running that prompted someone to suggest she test her abilities in a triathlon at the age of fifteen.

Three years later, the Canadian Sport Institute Calgary (CSI Calgary) athlete has been named Junior Triathlete of the Year. Wagner admits, “I really was not expecting it! There were a lot of other strong junior triathletes who had a great year as well.”

Wagner has been supported by the CSI Calgary since September 2013, only three months after she competed in her first triathlon. She was seen as an athlete with great potential by the CSI Calgary’s Lead of Athlete Development Paula Jardine and became part of the Talent Lab program. Wagner says the program has been “a great platform that provided me with the resources necessary to initiate my triathlon career. The services have been a great help to my success thus far. Testing in the Sport Performance Laboratory has helped my training, giving me a base line to work with and improve on throughout the season while allowing exercise physiologists to monitor and plan my program.”

Jardine notes, "The CSI Calgary recognized Emily's potential right away and we have been working with her since she started her triathlon career to build up her structural tolerance for training. Many good female triathletes are prone to overtraining injuries and fail to sustain their performances. We put in place a long term program for Emily designed to help her make the transition from Junior athlete to Olympian by making her a more resilient athlete."

Funding provided by B2Ten helped to support the CSI Calgary Talent Lab Project in 2015. Thanks in part to their support, up and coming athletes such as Wagner have had access to strength training and physiology support, as well as medical and paramedical services through the Talent Lab. For Wagner, meeting with Registered Dietitian Kelly Drager about questions or concerns regarding her diet, working on strength training with coach Anna Aylwin, and paramedical treatment with Shayne Hutchins have been crucial.

Wagner says, “The services provided from the CSI Calgary have allowed me to grow and develop as an athlete.” Moving forward, Wagner is looking to improve on her eighth place result from last year’s Junior World Championship by finishing in the top five in Cozumel, Mexico. Next season, she will advance to the Elite category and begin training for the 2020 Olympic Games.

For more information on the Talent Lab Project, please contact Paula Jardine at Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler
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The Right Thing To Do

The impact that a coach can have on an athlete is profound. From nurturing development to guiding performance to fostering success – the coach is integral to the athlete experience and undoubtedly has the greatest influence on an athlete’s career. Ensuring that the experience remains positive and encouraging is an enormous responsibility for any coach.

This responsibility has recently been bolstered by a new initiative coordinated by the Coaching Association of Canada (CAC) and the Canadian Centre for Ethics in Sport (CCES). The Responsible Coaching Movement (RCM) is a system-wide movement designed to address the role coaches play with issues relating to the health and safety of athletes, both on and off the field of play.

National, provincial, territorial and community sport organizations are encouraged to sign the pledge and adopt new policies to ensure the impact of coaches is a positive one for athletes and for Canadian sport. The CSI Calgary has recently become the first multi-sport organization in Canada to sign on to the RCM.

By making the pledge, the CSI Calgary has committed to implementing supportive policies and processes that adhere to the three key areas of focus: the Rule of Two, Background Screening (including Criminal Record Checks) and Respect and Ethics Training. The Rule of Two ensures that two adults are present at competitions and training camps with minor athletes, which serves to protect minor athletes in potentially vulnerable situations.

For Dale Henwood, President and CEO of the CSI Calgary, the RCM represents an opportunity for the institute and its coaches to uphold the highest standard of care for its athletes. “The RCM helps coaching as a profession, to ensure that we have good quality, ethical people working with our athletes,” says Henwood.

The CSI Calgary has always worked towards providing a motivating encouraging and enjoyable environment for the athletes. Henwood says that the coach is an essential part of helping to create that. “We want to ensure that athletes are safe and that coaches are protected,” says Jason Sjostrom, CSI Calgary Coaching Program Director. “The CSI Calgary has a responsibility to support these policies.” Additionally, the RCM can increase awareness for all staff and volunteers involved in sport. According to Sjostrom, “when there are violations you have a vehicle to say ‘this isn’t right’. This RCM demands that accountability.”

To date, the RCM has had great success, with more than forty NSOs, P/TSOs, and community clubs taking the pledge. Luge Canada was one of the first NSOs to take the pledge and nine others have since joined as well. The long-term goal is to see all NSOs take the pledge.

Ultimately, the RCM is about providing a positive sport experience for athletes of all ages, from grassroots and community programs right up to high performance elite sport. Henwood says that from the beginning the CSI Calgary has worked to make sure coaches are having a positive impact on their athletes.

Simply put, the RCM speaks to the heart of what is good and right. For Henwood, the decision to sign the pledge was easy. “When we went to the CSI Calgary board with this, it was strongly felt it was the right thing to do.”

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29/03/17

The Side Hustle

On June 22, the Canadian Sport Institute Calgary is hosting the first ever Game Plan YYC Summit for Alberta athletes with the theme of Side Hustle. The summit is a full day of presentations for athletes on topics covering Effective Communication, Financial Literacy, Entrepreneurship and Positive Self Coaching. It is intended to help athletes acquire new skills and open their mind to potential education and career paths. The Summit also includes a keynote presentation by Jamie Clark, a Calgary-based adventurer, CEO and speaker.

Careers, it can be said, are not what they used to be. It is rare these days to find a lifetime nine-to-five job that pays the bills and fulfills all of life’s big goals. The evolution of the workplace and the workforce has necessitated a whole new approach to work, one that is all about versatility, creativity and adaptability.

Today, without job security or even a job in one’s field, the need for diverse streams of income has made way for what’s known as the ‘side hustle’.

The side hustle is a way to earn extra income outside of one’s main job, but it’s about pursuing life passion’s, too. Catering, dog walking, freelancing, teaching English online – the examples are endless. However, for athletes pursuing Olympic dreams a side hustle might seem like a distraction or hindrance to performance.

Not so, says Russell Reimer, President of Manifesto, a Calgary-based sport management company. “I believe that athletes have more time than they realize, it’s not a 40-hr week with kids,” he quips.

More seriously, he’s concerned about the lack of attention to personal and professional development in athletes that he thinks is systemic in sport, where focus on performance has become omnipotent. “We want to encourage athletes to do the necessary work while in sport so they don’t have moments after sport where they are completely lost, you don’t want to be in a fragile position,” he says.

Game Plan, Canada’s national athlete total wellness program, is the natural, constructive response to that focus on performance. “We need athletes to understand that they can’t defer – start early, you have the time,” adds Reimer. “It’s an ongoing process of discovery. Develop a side hustle, go to university, discover what you really believe in.”

Cara Button, Game Plan Advisor at CSI Calgary, says many athletes are already tackling other pursuits outside of sport, some out of necessity. “Many athletes have a side hustle to support themselves while competing,” she says. “But they are also developing the beginning of something they could pursue further once retired.” It’s a fine balance – be well-rounded but don’t burn out. Athletes need to know what works for them.

The Side Hustle theme fits well with what Reimer calls the ‘parallel path’. “The parallel path is a pillar on which to build an identity outside of sport,” explains Reimer. This path can greatly facilitate transition out of sport and ease the shock of competitive withdrawal. He stresses the importance of pursuing other interests, skills and plans throughout their careers. “Don’t wait for Plan A to expire to start working on Plan B.”

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Written by Kristina Groves: @kngrover
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22/06/17

This Means Everything

Juggling full-time school, training, and working a part-time job at a local coffee shop is a lot to manage for a young athlete. Slalom kayaker Ryley Penner is doing just that - which is why he’s thrilled about recently getting a little boost to help him on his way. The U23 national team member and CSI Calgary athlete is one of this year’s three recipients of the ARC Resources Inspiring Excellence Scholarship.

In partnership with the Canadian Sport Institute Calgary, ARC Resources, a leading conventional oil and gas producer located in Calgary, awards three $2,500 scholarships annually. The goal is to inspire excellence by enhancing academic and athletic opportunities available to student athletes. The purpose of the scholarship is to lower financial barriers and enable student athletes to reach their full potential while also being strong and valuable members of the community.

Wayne Lentz, ARC Resources Vice President of Strategy and Business Development, says the scholarship targets youth sport and education. “We are looking for genuinely passionate athletes who are pursuing sport and education as well as giving back to their communities,” he explains. “They are humble about their accomplishments and show balance in their lives.”

This year, ARC Resources is proud to award three scholarships to CSI Calgary athletes:

  • Ryley Penner, Slalom Kayak
  • Carla Shibley, Para Cycling
  • Matthew Soukup, Ski Jumping


For Penner, who is in his first year of a Bachelor of Science degree in Geology at Mount Royal University, this scholarship means everything. “My sport is not well funded in Canada and I rely on scholarships like this to do my sport. I need to cover my expenses all on my own, which is really challenging,” he says.

Penner plans to use the funds for races next year, including the World Championships in Slovakia. The scholarship will also allow him to do more training camps and attend the senior national team trials in Whistler next May.

Carla Shibley is a Paralympic cyclist who was diagnosed at age ten with Stargardt disease, an inherited form of juvenile macular degeneration that causes progressive vision loss. Shibley has big goals of representing Canada at the Paralympics in Tokyo in 2020 and is working towards qualifying for a World Cup this season. She plans to use the scholarship to help fund her education – she is pursuing a Youth Justice diploma in Criminology at Bow Valley College.

Despite her disability, Shibley has never been one to let herself be limited by her vision loss and credits her mom with not letting her use it as a crutch. “My vision is deteriorating and I’m slowly going blind,” she says. “Deep down it’s a scary feeling but I’m not going to let it get me down.” This kind of attitude and optimism are qualities that ARC Resources is proud to support.

The scholarships are awarded on both merit and financial need. It can be a huge relief for athletes like Shibley and Penner to receive financial support like this. “All the costs add up,” says Shibley. “It’s a choking feeling.” Penner agrees, “My sport is not very high profile so it’s difficult to attract sponsors. I have to work really hard to make it happen.”

It’s for this reason that ARC Resources keeps on giving. After six years of awarding the scholarships, the company has welcomed and enjoyed updates from past recipients, many of whom have moved on to successful new careers and are active members in their community.

ARC Resources is also grateful for the opportunity to partner with the CSI Calgary. Says Lentz, “We are very proud of this initiative and thankful to the CSI Calgary for helping us to keep it going,”

 

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
16/11/16

 

Under Peer Pressure

When the last shot is taken, the last finish line is crossed or the final race is won, athletes have to create new lives for themselves. For some this task comes easily, for others it can be an exercise in despair. Fortunately, with Game Plan, powered by Deloitte, there is now a wealth of resources available to retiring athletes to help them take those first few, sometimes difficult, steps.

However, even though Game Plan is there and ready for the taking, athletes don’t always know about it or have time to engage with the services offered prior to retirement. So, Elise Marcotte, Marketing and Communications Manager for Game Plan, developed a new pilot project to help bridge the gap between athletes and Game Plan.

The idea is to recruit Champions who will act as role models within the Game Plan community by sharing their experience and positively influencing their peers with tangible actions of their own choice. The campaign also aims to raise awareness of the program beyond Game Plan’s current audience through social media.

Six Champions were selected from across Canada, including Monique Sullivan, 2012 & 2016 Olympian in track cycling, who is the Game Plan Champion at CSI Calgary. Her plan is to reach out to newly carded athletes and support or encourage activities outside of sport that will ultimately helped them when they retire.

Sullivan says she recognizes that not all athletes feel supported in their desire to pursue things outside of sport, like education or work opportunities. “I always had a couple of things outside of sport to keep me balanced while I was competing,” she says. “I want to be the voice for those athletes wishing to do the same.”

The pilot program runs from May 1 to July 31 and Marcotte says that each Champion has a different project that will be monitored to ensure they are implemented and then measured for impact. The goal of the program is to involve the athletes and encourage word-of-mouth to engage athletes with what Game Plan offers.

For most athletes, the thought of retirement or pursuing extracurricular activities is completely foreign and Sullivan says Game Plan tends to be one of those things you don’t realize you need until it’s too late. “Sport is pretty full-on and some athletes aren’t able to take on anything else or don’t need to,” she says. “But when sport is suddenly gone you have no idea how you’ll react to that.”

Sullivan says her transition out of sport has gone well – she’ll begin graduate work this fall in the new field of engineering education and is currently working full-time in community outreach for the Schulich School of Engineering at the University of Calgary, where she recruits women into engineering.

She credits her commitment to education while competing, using Game Plan and the relationship she has with CSI Calgary-based Game Plan Advisor, Cara Button, with helping her find her way in a post-sport world. Now as a Game Plan Champion she wants to help others do the same. She sums it up well: “It’s all about planning for the unknown.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
07/06/17

We Are Ahead by a Century

“The clock is ticking but there is no time for regrets.” These lyrics, from ‘Heroes Tonight’ by Janji, float softly alongside video highlights from the 2016 Paralympics, as current and alumni CSI Calgary athletes look on. The CBC montage prompts goosebumps throughout the audience, and maybe a little fear – or is that inspiration?

The message is a poignant one for these athletes, who came together – along with esteemed members of Calgary’s workforce – for the CSI Calgary’s second industry networking event in downtown Calgary to learn about how they can best navigate the next phase of their lives. Indeed, the clock is ticking and there is no time for regrets.

The goal of these CSI Calgary events is to provide networking opportunities for athletes and facilitate conversation about the challenging transition from athlete to new career. One athlete who committed to a profession very early in his athletic career is Seyi Smith, a 2012 Olympian and an electrical engineer.

Smith shared stories about his career path – a long and sometimes humourous journey that eventually led to a job as an engineer-in-training and now project manager at AltaLink, Alberta’s largest regulated electricity transmission company.

One might assume that it was easy for an Olympian with an electrical engineering degree to find a job, but Smith met endless dead ends before finally landing his dream job at AltaLink. The story is not uncommon – Olympic athletes often have a difficult time finding a job, despite constantly being told they have the attributes that employers are looking for.

Smith earned his degree overseas and was worried when he came back home that it would become obsolete before he could find work, while he took time to train for the Olympics. “I started networking but I couldn’t seem to get a job. After a while I stopped fearing obsolescence and worried more about not having any skills,” he says.

Scott Thon, President and CEO of AltaLink, hired Smith after a series of networking meetings. He is up front about telling athletes why they are so valuable as employees. “The one secret you need to know” he says, “we all dreamed of being you guys. We all wanted to be Olympians.” A comment made in jest, but one that elucidates how strongly athlete traits are admired and sought after in business.

Thon lists those traits he values most – team player, strong work ethic, goal-oriented, resilient. He also admires how coachable athletes are, how willing they are to receive feedback and work to improve. Smith agrees, “athletes always want to get better, it’s how they win.”

Throughout the evening the group of athletes worked together to answer some pressing questions. What are challenges/opportunities to hiring athletes who need a flexible work schedule? What are the top three things athletes should be doing to prepare for their next job? What are concrete examples of transferable skills?

There are no easy answers but one theme emerged: the simple, essential need to take action, in whatever capacity an athlete is able to, towards the career they envision. Thon emphasizes the importance of building a network and putting yourself out there. “If you’re thinking about that career, market yourself – what are those attributes and who do you want to market them to?”

A sense of possibility abounds. In the end, the crucial message that resonates is the same as in sport – do the work and you will see results, eventually.

A second CBC highlight reel closes out the evening – this one from the 2016 Summer Olympics. As clips of Erica Wiebe, Penny Oleksiak and Andre De Grasse induce more goosebumps, the Tragically Hip tell us in song: we are ahead by a century. Sometimes it’s hard to feel this way, given what was learned this night about the long road ahead.

Transition can be overwhelming, but just as athletes persevere and struggle in sport, so too will they do so in life. Despite the challenges that await, we are told by the great Gord Downie himself, “you are ahead by a century... no dress rehearsal, this is our life.”

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
12/10/16

Winning The Right Way

(Arianne Jones, Luge)

In a world where we have never been so connected, many of us have moments, days, weeks or months where we feel wholly disconnected and utterly alone. This disconnect is evident across a broad spectrum of mental health issues – sometimes it means having a bad day, sometimes it means struggling with severe depression.

In high performance sport, athletes are generally perceived as strong and unbreakable. But like everyone else, athletes are not immune to mental illness. Many struggle with issues such as eating disorders, substance abuse, anxiety or depression and may feel that seeking help for mental or emotional problems will make them appear weak.

Today however, the landscape surrounding mental health is shifting dramatically. In fact, mental illness has emerged as a legitimate and serious medical issue in society.

One of Canada’s most successful Olympians has worked tirelessly to bring the issue of mental illness to the fore. Clara Hughes, cyclist, speed skater and CSI Calgary alumnus, has spearheaded the Bell Let’s Talk campaign for the past five years, aimed at raising awareness and erasing the stigma of mental illness. By sharing her personal struggles with depression, Hughes has humanized mental illness and inspired countless others to speak up and seek the help they need.

At the CSI Calgary, mental health and well-being has long been upheld as a priority and support services have been readily available through Game Plan. “We’ve always had a good ability to provide mental health services to athletes,” says Cara Button, Director of Stakeholder Relations and administrator of the Game Plan Program. “Athletes have appreciated it because it has given them a place to go when they need help. President and CEO Dale Henwood deserves a lot of credit for enabling this process.”

Frank van den Berg, Director of Mental Performance, has worked with his team to incorporate general mental health into their scope of practice. This has led to the development of intervention and programming options in areas such as optimizing performance enhancement, managing performance dysfunction and addressing performance impairment.

“We focus on ‘Winning the Right Way’,” says van den Berg. “We pay attention to the human side of sport.” This holistic approach ensures that the “winning at any cost” mentality does not sacrifice an athlete’s long-term health, relationships, and well-being.

Both van den Berg and Button have seen an increase in athletes’ willingness to come forward with mental health issues. “It’s much easier to bring up the topic of mental health or illness now,” says Button. “I see way more athletes initiating the conversation with me than before.” Adds van den Berg, “I have these conversations regularly with athletes to address their mental health – what is their passion, what do they want to accomplish in sport, are they able to cope and respond to expectations and pressures in sport and life?”

When problems do arise, van den Berg stresses that early intervention is critical. “It should not be underestimated that a lot of cases can be dealt with effectively before issues become severe.” Button agrees, “There is evidence to support that depression can be well managed if it is caught early enough.”

Today, the CSI Calgary is supporting Bell Let’s Talk Day by hosting a lunch with the ultimate comfort food – grilled cheese and tomato soup – for CSI Calgary staff and athletes. The idea is to come together for a meal, share some time together and have a conversation. Simple, yes, but sometimes all it takes is a communal experience to open the door for each other to share.

“It’s a way for us to support Bell Let’s Talk Day and to encourage that sense of community at CSI Calgary,” says Button. “We want to recognize the day and work on building our own community.”

On January 25, 2017, Bell will donate $.05 more towards mental health initiatives in Canada when you use social media. For more information: Bell Let’s Talk.

Canadian Sport Institute Calgary: @csicalgary
Written by Kristina Groves: @kngrover
Photo by Dave Holland: @csicalgaryphoto
25/01/17

Zak Madell mène l’équipe canadienne aux Jeux parapanaméricains

L’Institut canadien du sport de Calgary (ICSC) aimerait féliciter tous les athlètes ayant pris part aux Jeux parapanaméricains à Toronto, tenus du 7 au 15 août 2015. Équipe Canada a terminé au deuxième rang du classement des médailles, avec un total de 50 médailles d’or, 63 d’argent et 55 de bronze. Les athlètes de l’ICSC ont joué un rôle déterminant dans ces succès : Morgan Bird, Zachary McAllister et Zach Madell ont remporté l’or; Jennifer Brown a remporté l'or et l'argent, Michael Sametz, Kirstie Kasko, Chad Jassman, Peter Won et Arinn Young se sont mérités l’argent; et Aron Ghebreyohannes, Tiana Knight, Blair Nesbitt, Tammy Cunnington, de même que les équipes féminine et masculine de volleyball assis, ont obtenu le bronze.

Zak Madell, membre de l’équipe de rugby en fauteuil roulant, a été choisi pour porter le drapeau canadien lors des cérémonies de clôture. L’athlète de 21 ans a décrit son expérience des Jeux en sol canadien comme étant « mieux que tout ce que j’aurais pu imaginer. Le soutien de la foule et l’énergie de la ville de Toronto étaient fantastiques. On a annoncé à l’équipe de rugby que je serais le porte-drapeau quelques minutes à peine après avoir reçu nos médailles d’or : j’ai été vraiment subjugué par le flot d’émotions. »

Membre de l’ICSC depuis 2011, Zak dit tirer pleinement profit des services de l’Institut, en faisant notamment appel à « un entraîneur de développement de la force et de la forme trois fois par semaine, de même qu’en bénéficiant des soins de réadaptation et de prévention des blessures, que ce soit l’acupuncture, les ultrasons ou les massages, pour garder le corps en forme optimale. » Zak se dit très reconnaissant envers « l’équipe de l’ICSC pour son soutien, de même qu’à mon commanditaire personnel, Vesco Metal Craft, pour tous mes fauteuils roulants. »

Chris Osmond, l’entraîneur de développement de la force et de la forme de Zak, n’est pas surpris par les succès de son protégé. Il considère comme un privilège de travailler avec lui : « Zak est un athlète et une personne formidable. Il est passionné par sa discipline, hautement déterminé, et il se donne toujours à 100 % à l’entraînement comme en compétition. Il est généreux et empathique, et cherche toujours à être une meilleure personne, au gym comme partout ailleurs. »

En réalisant son objectif de remporter une médaille d’or aux Jeux parapanaméricains, l’équipe de rugby en fauteuil roulant s’est qualifiée pour les Jeux paralympiques de 2016. Fort d’une médaille d’argent aux Jeux paralympiques de 2012, Zak déclare que ses coéquipiers et lui « connaissent maintenant le sentiment de se trouver sur la plus haute marche du podium et comptent profiter de l’élan des Jeux pour continuer de rouler sur l’or! »

Nous sommes impatients de voir l’équipe de rugby à l’œuvre à Rio l’été prochain!

Institut canadien du sport de Calgary : @csicalgary

Rédigé par Brittany Schussler: @BSchussler

Photo de Dave Holland: @CSICalgaryPhoto


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